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Phytothérapie contre Pharmacologie

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Message  patanjali Lun 12 Nov 2012 - 6:04

Alors que Big Pharma s'apprête à faire interdire toute thérapie naturelle, il peut être utile de défendre les médecines traditionnelles et leur pratique de la phytothérapie sur le plan théorique, celui de la conception globale et systémique de l'être vivant et non pas seulement sur le plan expérimental qui est le terrain de la méthode scientifique.

Du point de vue pharmacologique, les médicaments proprement dits sont des substances chimiquement définies, qui interviennent selon un mode d'action plus ou moins connu dans les mécanismes physiologiques ou biochimiques. L'étude scientifique des plantes consiste donc à les analyser, à les réduire en composantes, pour isoler des "principes actifs" sous une forme chimiquement pure, afin de pouvoir élucider leur mode d'action et pour pouvoir établir avec précision le rapport entre doses et effets. Beaucoup de médicaments importants et indispensables de la pharmacopée moderne ont été développés ainsi à partir de plantes (cardiotoniques, anticoagulants, antibiotiques, antimitotiques, salicylés etc.).

Par contre, les médecines des traditions orientales (chinoise, indienne et tibétaine) conçoivent la plante comme un tout dont l'effet global est destiné à rétablir l'équilibre globalement perturbé du patient et secondairement seulement à rétablir des fonctions organiques. Pour cela, elles possèdent une conception claire des relations fonctionnelles globales exprimées symboliquement, de manière différente selon le contexte culturel, mais toujours fondée sur l'équilibre de trois principes indissociables de causalité et exprimée par un spectre circulaire de propriétés qualitatives qui en résultent, représentées par des "éléments". (lien)

Les médecines traditionnelles n'utilisent pas de méthode analytique pour isoler des principes actifs. La fabrication d'un médicament traditionnel consiste au contraire à neutraliser la toxicité des constituants par des procédés physiques et à harmoniser l'effet global par des recettes associant plusieurs substances végétales ou minérales. Les procédés traditionnels sont en quelque sorte l'inverse des méthodes de la pharmacologie. Alors que celle-ci produit des substances chimiquement pures, pour obtenir chez la grande majorité des personnes traitées un effet localement limité aussi intense que possible, les médecines orientales composent au contraire des formules complexes, dont l'effet doit être ajusté aussi harmonieusement que possible à l'état global d'un patient individuel. C'est ainsi qu'est appliqué dans leur pratique le principe premier du médecin, celui de ne pas nuire au patient.

Le reproche de la pharmacologie, que la phytothérapie des médecines traditionnelles serait empirique et non fiable s'applique à nos conditions occidentales où une conception globale de l'être vivant fait défaut ou a été oubliée. Il est fondé sur l'ignorance de ce qui fait d'un être vivant une unité individuelle conservant son unité en s'adaptant à l'environnement. Le refus de reconnaître la prévalence du tout sur les parties organiques qui en sont un reflet, et le refus de tenir compte des capacités d'auto-organisation et donc de résistance aux agressions chimiques conduit à une pharmacologie déterministe, inhumaine qui nuit au patient, non seulement financièrement, mais surtout dans son intégrité physique et psychique par suite des effets secondaires inévitables dans ces conditions

Ceci dit, il ne s'agit pas de "jeter le bébé avec l'eau du bain". Il ne s'agit pas de condamner en bloc la pharmacologie ni de rejeter les médecines traditionnelles et la phytothérapie suivant les préjugés cartésiens et zététiciens, mais de les appliquer en complémentarité. Le danger de la pharmacologie est son application exclusive de la méthode analytique en médecine; de même le danger de la phytothérapie est son utilisation sur des bases exclusivement empiriques et organiques. La méthode analytique et expérimentale devrait être associée à la méthode systémique avec ses principes universels, transculturels, bien connus de la Tradition. Les bases holographiques et fractales ainsi que l'auto-organisation des systèmes vivants sont clairement établies aussi en science. Des méthodes de diagnostic global biochimiques CEIA) et biophysiques ou quantiques (biophotons) existent ou pourraient être développées, aussi bien pour le diagnostic global du patient que pour le diagnostic de l'effet global du remède. Elles devraient seulement être interprétées selon les critères systémiques.
(Des explications plus détaillées de la méthode systémique se trouvent dans la page "biomédical" de mon site et dans le sujet "Les bases systémiques de la biologie et de la médecine")
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Message  Leela Mar 13 Nov 2012 - 0:21

j'avais lu un article (ou vu un reportage ?) qui expliquait que les chercheurs avaient remarqué que les plantes prises complètes (tisane, feuilles...) étaient plus efficaces que les extraits "actifs".
Comme si la plante nous apportait un ensemble harmonieux mieux assimilé.
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Message  Freya Mar 13 Nov 2012 - 9:41

Selon le Professeur Malcolm Wilkins du département de botanique de l'Université de Glasgow, les plantes peuvent faire pratiquement tout ce qu'un animal sait faire, sauf se déplacer. Elles peuvent compter, dire l'heure, demander à boire et elles réagissent au son. En outre, elles ont une mémoire, un système nerveux, une vision colorée et un sens du goût.

Les plantes restaurent l'harmonie et l'équilibre du règne minéral qui est un échelon au-dessous d'elles dans "l'évolution" qu'elles contrôlent, transmutent et expriment à un niveau supérieur de vibration. Les Amérindiens avaient une connaissance très étendue de ce l'on appelle la "médecine populaire" et qui constitue de nos jours une part importante de la "Médecine alternative" et l'industrie chimique a adopté une grande partie de ce qui fut la pharmacopée amérindienne. Selon V.J. Vogel dans son livre North American Medicine, on remarque qu'un très grand nombre de remèdes amérindiens avaient une valeur curative considérable. Le Dr Frederik Banting, le père de l'insuline, se dit redevable aux Amérindiens des "travaux préliminaires pharmaceutiques" qui lui permirent de faire cette "découverte".

En 1787, un médecin allemand, le Dr Johann David Schopt, publia une liste de plus de trois cents remèdes phytothérapiques utilisés dans l'est des Etats-Unis, dont la majeure partie était empruntée aux Amérindiens. Par ailleurs, une liste de plus de deux cents remèdes indigènes utilisés par une voire plusieurs tribus amérindiennes, a été publiée dans The Pharmacopoeia of the United States of America, dans sa première publication de 1820, ainsi que dans le National Formulary, également dans sa première édition de 1888.

Dans un remède naturel, l'agent curatif n'est pas une substance physique, mais la force vitale, invisible de la plante. Les plantes sont de grandes donatrices d'énergie. Les chimistes utilisant l'approche matérialiste, tombent dans le piège de la croyance selon laquelle si une chose ne peut être vue ou mesurée, elle ne peut exister. Les Amérindiens avaient compris qu'il existe un pouvoir dans toutes les entités vivantes, et particulièrement dans celles du règne végétal.

Nous aimons tous les fleurs, elles sont un véritable plaisir pour les sens car leurs vibrations sont destinées à être une nourriture pour l'esprit. Leur parfum peut être considéré comme une éthérisation des rochers, de la terre ainsi que des substances minérales transmutées par la plante et portées à un haut effet vibratoire.
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Message  patanjali Mar 13 Nov 2012 - 10:33

Leela a écrit:Comme si la plante nous apportait un ensemble harmonieux mieux assimilé.
Freya a écrit:Dans un remède naturel, l'agent curatif n'est pas une substance physique, mais la force vitale, invisible de la plante. Les plantes sont de grandes donatrices d'énergie ...
Les Amérindiens avaient compris qu'il existe un pouvoir dans toutes les entités vivantes, et particulièrement dans celles du règne végétal.
En effet, parce que la plante est un être vivant qui est à la fois matière, énergie et information, la phytothérapie est la reine de toutes les thérapies naturelles, - à condition de conserver dans le remède l'intégrité vitale de la plante et de respecter dans l'utilisation médicale l'harmonie entre l'intégrité globale de la plante et l'intégrité globale du patient.
L'individualisation du traitement est un art difficile d'harmonisation des fréquences et qualités, comparable à la musique, qui ne peut pas être réduite de manière simpliste à des "principes actifs" et des "effets organiques".
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Message  Leela Mar 13 Nov 2012 - 22:30

quand je soigne les plantes de mon jardin ou que je parle aux plantes de la forêt, je suis sûre qu'un échange se fait déjà au niveau énergétique.
La Vie est Une: si on en isole un petit morceau ou un composant, ça ne peut pas être bon...
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Message  Freya Mer 14 Nov 2012 - 8:18

Patanjali a écrit :
En effet, parce que la plante est un être vivant

Leela a écrit :
quand je soigne les plantes de mon jardin ou que je parle aux plantes de la forêt
Oui, et une fois que nous aurons acquis une affinité avec elles, nous découvrirons qu'elles nous répondent.
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Message  Freya Mer 14 Nov 2012 - 8:27

Le Dr bach dont les remèdes sont très employés de nos jours, se rendit compte que les Amérindiens connaissaient depuis fort longtemps les troubles psychiques causés par notre mode de vie conflictuel avec la nature. Le désordre crée dans la psyché à un niveau subtil se manifeste comme trouble physique, état qui peut être éliminé grâce au contact effectué avec le monde naturel, dont la force vitale ramène la psyché dans l'harmonie. La guérison peut alors survenir.
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