La tragédie du suicide
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La tragédie du suicide
Le suicide n'est ni plus ni moins qu'une infection de l'esprit humain par des forces spirituelles négatives que l'on appelle intelligences ou entités négatives. L'ego (ou autrement dit, l'identité mentale inférieure de l'être humain est une quantité énergétique, mentale, émotive qui se suffit à elle-même dans la mesure où elle n’est pas désabusée par un autre niveau d’intelligence plus subtile qu’elle-même) ne se suicide jamais, ce sont des forces sur les autres plans qui l’influencent et qui, en raison du manque de volonté de l'être humain, l’amènent à la destruction de son corps physique afin qu’il se retrouve de l’autre côté en compagnie de ces mêmes êtres qui l’ont amené au suicide.
L'être humain ne se suicide donc pas seul, il n'en a pas la force mais on peut la lui donner et il ne se suicide pas consciemment. Si nous allions plus loin dans l'explication de ce qu'est une entité négative, nous la définirions comme une mémoire karmique de la personne. C'est donc cette force qui influence l'ego parce que l'ego n'a pas suffisamment de volonté et c'est cela qui amène l'être humain à l'acte. L'être humain n’a pas la force de se suicider parce que sur le plan matériel, tant que l’âme est enracinée et habite le corps matériel, à travers le biais du corps astral et du corps éthérique qui est l'énergie du corps physique, elle ne peut se séparer de ce dernier que par le choc de la mort.
L'être humain qui se détruit n'a pas de résistance suffisante car il est influencé par des courants d'énergie négative qui influencent son corps émotionnel et son corps mental pour l'amener finalement à la destruction de son corps physique. Pour bien comprendre le suicide, il faut comprendre le phénomène de la voix intérieure qui se manifeste chez certaines personnes de manière différente, en fonction du taux vibratoire de leur mental qui leur permet de recevoir cette voix d’une façon très subliminale ou très présente, ou encore dans une certaine subjectivité personnelle. Le phénomène de la voix est capital dans la compréhension du suicide et si vous demandiez des personnes qui ont voulu se suicider ou qui ont été poussées au suicide, si elles en avaient la mémoire, elles vous diraient qu'elles sentaient une poussée, une suggestion, la promesse d'une situation meilleure.
L'être humain n'a pas la force de se suicider, il ne se suicide donc jamais, il est amené à se suicider. Les pensées qui lui viennent ne viennent pas de son ego, quel être humain serait assez stupide pour se suicider mais, si son caractère est faible, il recevra cette énergie destructrice et passera à l'acte.
Ensuite, il y celui qui manque son coup après avoir reçu une impulsion dans son psychisme et ceci à partir du plan supérieur pour l'amener à une reconnaissance plus grande de la valeur de la vie, etc. Mais cela fait partie de l'expérience de l'âme parce qu'un être humain qui se suicide retarde son évolution sur le plan de l'âme.
Conséquences d'un suicide :
L'activité qui régit le retour à l'Astral de l'être humain après son suicide, est la pire de toutes les peines. Prisonnier du temps pendant une période particulièrement très longue, il ne connaît pas le moment où il pourra en sortir. Et quand il est libéré, il l'est avec des egos de très bas niveau, d'où une grande souffrance en perspective. Cependant, il y a un châtiment pire encore, celui de la destruction de l'âme, mais à ce moment-là, l'ego n'est pas impliqué.
La différence entre le suicide et l'euthanasie est que le premier est une manipulation et une prise de décision sur le plan Astral, tandis que la seconde est une libération et donc une décision égoïque sur le plan matériel. Il ne faut donc pas confondre les deux.
L'être humain ne se suicide donc pas seul, il n'en a pas la force mais on peut la lui donner et il ne se suicide pas consciemment. Si nous allions plus loin dans l'explication de ce qu'est une entité négative, nous la définirions comme une mémoire karmique de la personne. C'est donc cette force qui influence l'ego parce que l'ego n'a pas suffisamment de volonté et c'est cela qui amène l'être humain à l'acte. L'être humain n’a pas la force de se suicider parce que sur le plan matériel, tant que l’âme est enracinée et habite le corps matériel, à travers le biais du corps astral et du corps éthérique qui est l'énergie du corps physique, elle ne peut se séparer de ce dernier que par le choc de la mort.
L'être humain qui se détruit n'a pas de résistance suffisante car il est influencé par des courants d'énergie négative qui influencent son corps émotionnel et son corps mental pour l'amener finalement à la destruction de son corps physique. Pour bien comprendre le suicide, il faut comprendre le phénomène de la voix intérieure qui se manifeste chez certaines personnes de manière différente, en fonction du taux vibratoire de leur mental qui leur permet de recevoir cette voix d’une façon très subliminale ou très présente, ou encore dans une certaine subjectivité personnelle. Le phénomène de la voix est capital dans la compréhension du suicide et si vous demandiez des personnes qui ont voulu se suicider ou qui ont été poussées au suicide, si elles en avaient la mémoire, elles vous diraient qu'elles sentaient une poussée, une suggestion, la promesse d'une situation meilleure.
L'être humain n'a pas la force de se suicider, il ne se suicide donc jamais, il est amené à se suicider. Les pensées qui lui viennent ne viennent pas de son ego, quel être humain serait assez stupide pour se suicider mais, si son caractère est faible, il recevra cette énergie destructrice et passera à l'acte.
Ensuite, il y celui qui manque son coup après avoir reçu une impulsion dans son psychisme et ceci à partir du plan supérieur pour l'amener à une reconnaissance plus grande de la valeur de la vie, etc. Mais cela fait partie de l'expérience de l'âme parce qu'un être humain qui se suicide retarde son évolution sur le plan de l'âme.
Conséquences d'un suicide :
L'activité qui régit le retour à l'Astral de l'être humain après son suicide, est la pire de toutes les peines. Prisonnier du temps pendant une période particulièrement très longue, il ne connaît pas le moment où il pourra en sortir. Et quand il est libéré, il l'est avec des egos de très bas niveau, d'où une grande souffrance en perspective. Cependant, il y a un châtiment pire encore, celui de la destruction de l'âme, mais à ce moment-là, l'ego n'est pas impliqué.
La différence entre le suicide et l'euthanasie est que le premier est une manipulation et une prise de décision sur le plan Astral, tandis que la seconde est une libération et donc une décision égoïque sur le plan matériel. Il ne faut donc pas confondre les deux.
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
Localisation : Vosges
Re: La tragédie du suicide
Le suicide peut être non seulement justifiable mais aussi honorable.
Il est excusable dans des situations physique, psychique ou sociale ne laissant aucun espoir.
Il est justifiable comme euthanasie en fin de vie, ou lors d’une maladie sans espoir, pour éviter un prolongement inutile de la vie sous soins intensifs.
Il peut être honorable, par exemple le suicide de militaires ou de résistants pendant les guerres, pour ne pas risquer de trahir sous la torture.
Le sacrifice pour la patrie, la communauté ou la famille est aussi un suicide honorable.
Le sacrifice est l’idéal du guerrier, du samuraï ou kamikaze au Japon.
Le suicide par hara kiri, (appelé seppuku au Japon) est une mort particulièrement honorable.
Le terme seppuku vient de Chine, où les femmes de l’aristocratie accusées à tort d’adultère s’ouvraient le ventre pour laver leur honneur. (source)
La mort est la fin naturelle de la vie. Aucune doctrine ne peut affirmer ce qui se passe après. Ce ne sont que des spéculations.
J’estime que le droit de choisir la manière de mourir est équivalent au droit de choisir la manière de soigner sa santé et sa vie. C’est un droit de l’homme individuel qui ne devrait pas être soumis aux lois ou doctrines.
Il est excusable dans des situations physique, psychique ou sociale ne laissant aucun espoir.
Il est justifiable comme euthanasie en fin de vie, ou lors d’une maladie sans espoir, pour éviter un prolongement inutile de la vie sous soins intensifs.
Il peut être honorable, par exemple le suicide de militaires ou de résistants pendant les guerres, pour ne pas risquer de trahir sous la torture.
Le sacrifice pour la patrie, la communauté ou la famille est aussi un suicide honorable.
Le sacrifice est l’idéal du guerrier, du samuraï ou kamikaze au Japon.
Le suicide par hara kiri, (appelé seppuku au Japon) est une mort particulièrement honorable.
Le terme seppuku vient de Chine, où les femmes de l’aristocratie accusées à tort d’adultère s’ouvraient le ventre pour laver leur honneur. (source)
La mort est la fin naturelle de la vie. Aucune doctrine ne peut affirmer ce qui se passe après. Ce ne sont que des spéculations.
J’estime que le droit de choisir la manière de mourir est équivalent au droit de choisir la manière de soigner sa santé et sa vie. C’est un droit de l’homme individuel qui ne devrait pas être soumis aux lois ou doctrines.
Re: La tragédie du suicide
Mourir pour une valeur, pour l'honneur, le déshonneur ou autre, c’est mourir pour RIEN ! La valeur fait partie de l’astralisation de notre mental à partir des plans subtils de notre conscience spiritualisée. Un Samouraï, en relation avec les valeurs de son art martial, va vivre l’expérience de l’âme. Cela fait partie de son illusion spirituelle. Il se détruit pour un déshonneur qui fait partie de l’affabulation des valeurs de sa société qui font partie de l'illusion spirituelle de la conscience sociale qui elle, fait partie de l’illusion collective de l’inconscience globale de sa société. Cela fait partie du cercle vicieux où l’Homme n’a aucune individualité. Un Homme conscient ne se détruit pas.
Il n'y a pas de différence entre honneur et déshonneur, c'est pareil. L'honneur n'est rien d'autre que la perception de ce que l'on devrait être et que l'on n'est pas. Le déshonneur est la perception de ce que l'on est et qui est une l'illusion. Dans les deux cas il s'agit d'une illusion, c’est simplement la polarité d’une valeur qui est totalement inconsistante avec la réalité de l’être humain. Un être humain conscient n’a besoin ni d’honneur ni de déshonneur. Le déshonneur n’existe pas dans le mental humain, l’honneur n’existe pas dans le mental humain. Le déshonneur, c’est la polarisation d’une valeur humaine préconçue par l’ego pour la satisfaction de quoi ? De sa conscience personnelle par rapport à la valeur sociale, donc c’est le résultat et le reflet intégral de l’absence d’individualité, que l'on soit Samouraï ou maquereau d'un quartier chaud !
Il n'y a pas de différence entre honneur et déshonneur, c'est pareil. L'honneur n'est rien d'autre que la perception de ce que l'on devrait être et que l'on n'est pas. Le déshonneur est la perception de ce que l'on est et qui est une l'illusion. Dans les deux cas il s'agit d'une illusion, c’est simplement la polarité d’une valeur qui est totalement inconsistante avec la réalité de l’être humain. Un être humain conscient n’a besoin ni d’honneur ni de déshonneur. Le déshonneur n’existe pas dans le mental humain, l’honneur n’existe pas dans le mental humain. Le déshonneur, c’est la polarisation d’une valeur humaine préconçue par l’ego pour la satisfaction de quoi ? De sa conscience personnelle par rapport à la valeur sociale, donc c’est le résultat et le reflet intégral de l’absence d’individualité, que l'on soit Samouraï ou maquereau d'un quartier chaud !
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
Localisation : Vosges
Re: La tragédie du suicide
Tout être vivant tend à conserver sa vie qui dépend aussi de son intégration sociale.
Ce ne sont pas des « entités » négatives occultes, issues de « mémoires karmiques » et liées à l’égo qui poussent au suicide. Il ne faut pas réduire le suicide à quelque croyance métaphysique.
Ce sont des souffrances concrètes, physique, psychiques dans un environnement social négatif qui poussent les gens au suicide, en particulier l’exclusion du réseau familial (divorce), professionnel (chômage, faillite) ou sociétal par perte de dignité.
Les puissances négatives actuelles résultent de la dégénérescence de la société.
Ce ne sont pas des « entités » négatives occultes, issues de « mémoires karmiques » et liées à l’égo qui poussent au suicide. Il ne faut pas réduire le suicide à quelque croyance métaphysique.
Ce sont des souffrances concrètes, physique, psychiques dans un environnement social négatif qui poussent les gens au suicide, en particulier l’exclusion du réseau familial (divorce), professionnel (chômage, faillite) ou sociétal par perte de dignité.
Les puissances négatives actuelles résultent de la dégénérescence de la société.
Re: La tragédie du suicide
En métaphysique il n'y a pas de croyance. On fait l'expérience de quelque chose et on sait ou, on ne sait pas.Il ne faut pas réduire le suicide à quelque croyance métaphysique.
Les personnes qui se rencontrent dans la vie, qu'elles en soient conscientes ou non, se rencontrent dans le cadre de l'expérience de l’âme. Et dans ce cas, cette expérience n'est pas nécessairement une expérience intelligente, c'est une expérience de mémoire qui, pour la plupart des êtres humains, est reliée à un passé qu'ils ont déjà oublié, parce que la vie de l’être humain s’étend sur plusieurs vies antérieures, que cela plaise ou non. Et les Lois de la Vie demandent que tout s’équilibre au cours de l'évolution.
Dans l'expérience de l’âme il y a la dualité, il y a la mémoire et il y a des forces magnétiques extrêmement puissantes. Et ce sont ces forces qui conditionnent le flux et le reflux de l'énergie émotive et mentale de l’ego de l'être humain alors que, si l'être humain était dans sa parfaite individualité, ce mouvement de flux et reflux n'existerait pas.
Un être humain qui vit une émotion, peu importe laquelle : divorce, mort, perte d'emploi, etc., donne automatiquement une valeur à une mémoire et le mécanisme qui crée cette valorisation d'un passé est l'Astral bien que ce soit l'ego qui l'accepte. L'être humain n'a pas été éduqué en fonction de la nature des lois événementielles qui frappent la psyché. Donc, quand un événement se produit, l’être humain vit toujours le choc, comme une personne qui meurt. Et c'est toujours l'être humain vivant qui est le dindon de la farce parce que c'est lui qui souffre. Alors pourquoi souffre-t-il ? Parce qu'il vit du mémoriel par rapport à l'émotion qui utilise sa mémoire pour astraliser sa conscience, pour lui faire penser émotivement à un lien brisé ou perdu, à un amour perdu, à un travail perdu, etc. Lorsque mon frère est décédé, mon père se serait jeté à sa suite dans la fosse si je n'avais eu le réflexe de le retenir. Il n'était tout simplement pas capable d'encaisser le choc sans y mettre de l'émotion. Il n'était pas capable de mentaliser l'événement, donc il astralisait, chose qui nous arrive tout le temps. Comme l'être humain vit toujours le mouvement entre l'Astral et sa conscience, il ne peut vivre la paix de l'Esprit.
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
Localisation : Vosges
Re: La tragédie du suicide
En effet, la métaphysique est définie comme la « recherche rationnelle ayant pour objet la connaissance de l'être (ontologie), des causes de l'univers et des principes premiers de la connaissance (épistémologie).En métaphysique il n'y a pas de croyance.
Par contre la cause première (Dieu) et le destin de l’univers ou de l’homme dépassent la raison humaine car hors de l’espace et du temps. C’est l’objet de croyances ou opinions toujours sujettes au doute.
Comme le disait Nicolas de Cues : « ce qui concerne Dieu ne peut être décrit que par des négations » .
L’expérience est sujette au ressenti personnel. Elle conduit à des certitudes dont la valeur est affectée par l’inconscient personnel et n’est pas nécessairement universelle. Même en science il faut se méfier des certitudes.
On fait l'expérience de quelque chose et on sait ou, on ne sait pas.
Le sage dit « celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas »
C’est sûr que le passage à l’acte de suicide dépend de l’attitude psychique et résulte malheureusement souvent de mémoires conscientes et inconscientes et de puissances émotionnelles que Jung appelait archétypes. Mais les archétypes se rapportent à l’hérédité ancestrales et non pas à la métempsychose ou réincarnation que tu associes à l’Astral selon la croyance théosophique, alors que tu la refusais dans "la loi du karma",quand il s’agissait du bouddhisme.
Un être humain qui vit une émotion, peu importe laquelle : divorce, mort, perte d'emploi, etc., donne automatiquement une valeur à une mémoire et le mécanisme qui crée cette valorisation d'un passé est l'Astral bien que ce soit l'ego qui l'accepte
Mais le suicide peut être sereinement réfléchi dans l’euthanasie et justifié dans certaines situations dont j’ai donné des exemples.
Re: La tragédie du suicide
On ne peut rien apprendre intellectuellement, on apprend tout par vibration, on appelle cela l’expérience.patanjali a écrit:
On fait l'expérience de quelque chose et on sait ou, on ne sait pas.
L’expérience est sujette au ressenti personnel. Elle conduit à des certitudes dont la valeur est affectée par l’inconscient personnel et n’est pas nécessairement universelle. Même en science il faut se méfier des certitudes.
Le sage dit « celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas »valeur à une mémoire et le mécanisme qui crée cette valorisation d'un passé est l'Astral bien que ce soit l'ego qui l'accepte
Il ne faut jamais croire qui que ce soit et tout expérimenter soi-même car, avant cela, on ne sait pas.
Le savoir est donc la mise en vibration de la lumière de l’être humain, la connaissance et l’accumulation de cette vibration deviennent éventuellement une réflexion, un système de penser.
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
Localisation : Vosges
Re: La tragédie du suicide
Tout à fait d'accord, l'intuition ou le ressenti précède toute compréhension, création ou invention.
La réflexion critique suit nécessairement pour mettre à l'épreuve, exprimer et mettre en pratique ce qui est compris.
Intuition et réflexion sont complémentaires.
La réflexion critique suit nécessairement pour mettre à l'épreuve, exprimer et mettre en pratique ce qui est compris.
Intuition et réflexion sont complémentaires.
Re: La tragédie du suicide
C'est ma conclusion, quand on sait, on sait. Savoir est un état.
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
Localisation : Vosges
Re: La tragédie du suicide
Quel sujet délicat et douloureux mais ô combien philosophique ! Depuis que je suis convaincu de l'éternité de l'âme j'estime que le suicide est un très mauvais choix et qu'il conduit l'âme à souffrir plus encore que si elle avait vaille que vaille enduré les épreuves que lui amènent l'existence.
Et puis c'est une catastrophe pour l'entourage, laissé seul face à un trou béant et un ensemble de questions qui ne trouveront jamais de réponses.
Le suicide est certainement un choix où manque de volonté, altération du jugement et méconnaissance se combinent à une douleur physique, psychique ou spirituelle... difficilement supportable.
En terme de souffrance physique face à la maladie incurable, il existe aujourd'hui et sous nos latitudes les soins palliatifs si bien que selon moi, cela écarte l'option du suicide pour un certain nombre de ces cas.
En terme de souffrance psychique dont les causes s'étendent sur une panoplie immense : divorce, désamour, abandon, blessure d'amour-propre, exclusion et d'autres sujet plus sordides encore... je pense qu'il existe très souvent des solutions et des parades mais que le psychisme est un plan assez fragile qui se méconnaît. Une aide extérieure amicale, bienveillante ou de sagesse peut s'avérer salutaire.
Enfin sur les plans spirituels on peut évoquer les cas de possession ou d'allégeance à des forces malicieuses qui nous conduisent à la destruction et l'anéantissement du fait d'un manque de volonté, d'une méconnaissance des lois de la nature ou d'un penchant excessif pour les passions par lesquelles les forces malicieuses parviennent à nous enferrer.
Pour ce qui est de l'euthanasie je suis contre pour des raisons anthropologiques et politiques, cela s'apparente à un suicide assisté même si j'entends leur différence de nature évoquée par Freya.
En général j'ai de la compassion pour les personnes qui font ce choix mais je ne peux m'empêcher de penser qu'ils se sont trompés, sauf cas limites où je suspend mon jugement.
Et puis c'est une catastrophe pour l'entourage, laissé seul face à un trou béant et un ensemble de questions qui ne trouveront jamais de réponses.
Le suicide est certainement un choix où manque de volonté, altération du jugement et méconnaissance se combinent à une douleur physique, psychique ou spirituelle... difficilement supportable.
En terme de souffrance physique face à la maladie incurable, il existe aujourd'hui et sous nos latitudes les soins palliatifs si bien que selon moi, cela écarte l'option du suicide pour un certain nombre de ces cas.
En terme de souffrance psychique dont les causes s'étendent sur une panoplie immense : divorce, désamour, abandon, blessure d'amour-propre, exclusion et d'autres sujet plus sordides encore... je pense qu'il existe très souvent des solutions et des parades mais que le psychisme est un plan assez fragile qui se méconnaît. Une aide extérieure amicale, bienveillante ou de sagesse peut s'avérer salutaire.
Enfin sur les plans spirituels on peut évoquer les cas de possession ou d'allégeance à des forces malicieuses qui nous conduisent à la destruction et l'anéantissement du fait d'un manque de volonté, d'une méconnaissance des lois de la nature ou d'un penchant excessif pour les passions par lesquelles les forces malicieuses parviennent à nous enferrer.
Pour ce qui est de l'euthanasie je suis contre pour des raisons anthropologiques et politiques, cela s'apparente à un suicide assisté même si j'entends leur différence de nature évoquée par Freya.
En général j'ai de la compassion pour les personnes qui font ce choix mais je ne peux m'empêcher de penser qu'ils se sont trompés, sauf cas limites où je suspend mon jugement.
SFuchs- Messages : 135
Date d'inscription : 29/05/2015
Re: La tragédie du suicide
Bonjour SFuchs,
Le suicide, est une tragédie pour la famille et les amis, mais qu’en est-il du défunt ? La réponse dépend des conceptions téléologiques qui sont controversées.
Les différents points de vue religieux sur le suicide sont très bien expliqués sur Wikipédia.
Mon opinion est proche du bouddhisme qui condamne le suicide mais pas le suicidé et qui le justifie dans certaines circonstances.
Pour des raisons philosophiques, psychologiques et biologiques, je ne crois pas à la réincarnation.
La philosophie bouddhiste réfute l’existence permanente de l’égo (au-delà de l’état de transition entre vie et mort du Bardo) conformément à l’enseignement premier de Bouddha que toute souffrance psychique est fondée sur l’illusion de l’existence permanente du Moi. En effet l’Esprit ou Soi dont l’âme est un reflet éphémère, est Un et indivisible.
Mais toute croyance téléologique est contestable car ce qui est au-delà de l’existence dans l’espace et le temps est inaccessible à l’intelligence humaine.Je reste prudemment agnostique.
La psychologie jungienne attribue le suicide au vécu non assumé d’une situation ressentie comme une profonde indignation qui reste enfouie dans l’inconscient personnel. Celui-ci est influencé par l’inconscient collectif d’un milieu social moralement corrompu. C'est donc la société qui est à blamer et non pas la personne suicidaire qui en est la victime.
Les proches, la famille, les amis et les collègues peuvent et doivent soutenir et protéger les personnes fragiles, mais je ne compte pas sur la psychologie moderne qui a beaucoup contribué à la dissolution morale de la société.
Le suicide, est une tragédie pour la famille et les amis, mais qu’en est-il du défunt ? La réponse dépend des conceptions téléologiques qui sont controversées.
Les différents points de vue religieux sur le suicide sont très bien expliqués sur Wikipédia.
Mon opinion est proche du bouddhisme qui condamne le suicide mais pas le suicidé et qui le justifie dans certaines circonstances.
Pour des raisons philosophiques, psychologiques et biologiques, je ne crois pas à la réincarnation.
La philosophie bouddhiste réfute l’existence permanente de l’égo (au-delà de l’état de transition entre vie et mort du Bardo) conformément à l’enseignement premier de Bouddha que toute souffrance psychique est fondée sur l’illusion de l’existence permanente du Moi. En effet l’Esprit ou Soi dont l’âme est un reflet éphémère, est Un et indivisible.
Mais toute croyance téléologique est contestable car ce qui est au-delà de l’existence dans l’espace et le temps est inaccessible à l’intelligence humaine.Je reste prudemment agnostique.
La psychologie jungienne attribue le suicide au vécu non assumé d’une situation ressentie comme une profonde indignation qui reste enfouie dans l’inconscient personnel. Celui-ci est influencé par l’inconscient collectif d’un milieu social moralement corrompu. C'est donc la société qui est à blamer et non pas la personne suicidaire qui en est la victime.
Les proches, la famille, les amis et les collègues peuvent et doivent soutenir et protéger les personnes fragiles, mais je ne compte pas sur la psychologie moderne qui a beaucoup contribué à la dissolution morale de la société.
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