Lignes de force.
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Lignes de force.
Ceci est une fresque sumérienne. vers -2300
Gilgamesh est à gauche, Humbaba est au milieu, Enquidu est à droite. C'est toujours dans cet ordre sur toutes les fresques ou sont ces trois personnages.
Gilgamesh représente Vénus, Humbaba la lune, Enquidu le soleil.
J'ai rajouté les lignes blanches pour manifester une partie du contenu ésotérique de l'image.
Encore Guilagamesh, humbaba et Enquidu.
Les sept boules en haut sont les sept astres visibles dans le ciel sans instrument optique qui ont donnés les sept jours de la semaine.
Lundi = lune
Mardi = mars
Mercredi = mercure
Jeudi = Jupiter
Vendredi = vénus
Samedi = saturne
Dimanche = soleil
La triade des dieux d'Uruk est toujours dessinée de façon à représenter une étoile à sept branche en filigrane.
Les trois même dans une fresque plus tardive et plus élaborée réalisée vers -1500
Une fresque assyrienne faite vers -650: le roi chasseur, Assurbanipal, il est le Dieu unique qui représente l'univers, dans sa main il tient les cieux et les étoiles.
Il est également la mesure de la quadrature du cercle.
L'arc est une portion du cercle principal, il le représente. La corde de l'arc (dans la main du chasseur) est une portion du carré de la quadrature qui est un carré de même centre et surface que le cercle principal. La flèche passe par l'intersection du cercle et du carré, la flèche représente une droite parallèle a la diagonale du carré de la quadrature et distante du centre d'une distance équivalente au rayon du cercle de proportion. Pour un cercle principal du 1 m de diamètre, on utilise un cercle de construction de 0.3 m de diamètre. On utilise le cercle de construction selon sa taille ou selon sa forme pour obtenir deux points sur le cercle principal, ces deux points permettent de tracer deux carrés de même centre que le cercle principal. Ces deux carrés sont un encadrement de la quadrature du cercle.
Gilgamesh est à gauche, Humbaba est au milieu, Enquidu est à droite. C'est toujours dans cet ordre sur toutes les fresques ou sont ces trois personnages.
Gilgamesh représente Vénus, Humbaba la lune, Enquidu le soleil.
J'ai rajouté les lignes blanches pour manifester une partie du contenu ésotérique de l'image.
Encore Guilagamesh, humbaba et Enquidu.
Les sept boules en haut sont les sept astres visibles dans le ciel sans instrument optique qui ont donnés les sept jours de la semaine.
Lundi = lune
Mardi = mars
Mercredi = mercure
Jeudi = Jupiter
Vendredi = vénus
Samedi = saturne
Dimanche = soleil
La triade des dieux d'Uruk est toujours dessinée de façon à représenter une étoile à sept branche en filigrane.
Les trois même dans une fresque plus tardive et plus élaborée réalisée vers -1500
Une fresque assyrienne faite vers -650: le roi chasseur, Assurbanipal, il est le Dieu unique qui représente l'univers, dans sa main il tient les cieux et les étoiles.
Il est également la mesure de la quadrature du cercle.
L'arc est une portion du cercle principal, il le représente. La corde de l'arc (dans la main du chasseur) est une portion du carré de la quadrature qui est un carré de même centre et surface que le cercle principal. La flèche passe par l'intersection du cercle et du carré, la flèche représente une droite parallèle a la diagonale du carré de la quadrature et distante du centre d'une distance équivalente au rayon du cercle de proportion. Pour un cercle principal du 1 m de diamètre, on utilise un cercle de construction de 0.3 m de diamètre. On utilise le cercle de construction selon sa taille ou selon sa forme pour obtenir deux points sur le cercle principal, ces deux points permettent de tracer deux carrés de même centre que le cercle principal. Ces deux carrés sont un encadrement de la quadrature du cercle.
Golem- Messages : 64
Date d'inscription : 23/04/2016
Age : 57
Localisation : Soissons
Re: Lignes de force.
Ils étaient tout simplement géniaux ! Et ils l’ont fait sans calculette, sans ordinateur ! Nous leur devons la division des 24h de la journée, le nycthémère comme l’appelaient les Grecs, en parties égales ; ils le répartirent en 12 danna (doubles heures) de 30 gesh ; cette division est déjà rapportée par une tablette de l’époque de la dynastie d’Akkad (2500 avant l’ère vulgaire au plus bas).
Dans la métrologie, seuls avant la création du système métrique, les Sumériens constituèrent un véritable système où les mesures pondérales étaient reliées aux mesures de longueur par des rapports définis, ces rapports sont basés sur les deux systèmes essentiellement sur l’ordre sexagésimal dans le système pondéral.
On sait que les Sumériens reconnaissaient trois parallèles principaux : équatorial ou chemin des étoiles d’Anou, tropicaux chemin d’Enlil (Cancer), et d’Ea (Capricorne). Or ces chemins se divisaient aussi en 12 danna et 360°. La division de l’écliptique, par contre, fut tardive et intervint vers l’époque achéménide ; on donna alors aux divisions en arcs égaux les noms des constellations traversées ou approchées par le soleil dans sa course annuelle ; c’est le zodiaque dont chaque signe est divisé en trente degrés comptés depuis l’origine du signe.
De ce système cohérent, il nous reste un témoignage dans la statue de Goudéa dite « l’architecte au plan ». Sur la tablette portée sur ses genoux et qui servira à recevoir le dessin de son temple, se trouve la règle graduée qui est l’étalon de mesure déterminant le « doigt » et la « coudée » ; grâce à quoi on fixait les mesures de surface et de volume, comme les nôtres grâce au mètre.
Dans la métrologie, seuls avant la création du système métrique, les Sumériens constituèrent un véritable système où les mesures pondérales étaient reliées aux mesures de longueur par des rapports définis, ces rapports sont basés sur les deux systèmes essentiellement sur l’ordre sexagésimal dans le système pondéral.
On sait que les Sumériens reconnaissaient trois parallèles principaux : équatorial ou chemin des étoiles d’Anou, tropicaux chemin d’Enlil (Cancer), et d’Ea (Capricorne). Or ces chemins se divisaient aussi en 12 danna et 360°. La division de l’écliptique, par contre, fut tardive et intervint vers l’époque achéménide ; on donna alors aux divisions en arcs égaux les noms des constellations traversées ou approchées par le soleil dans sa course annuelle ; c’est le zodiaque dont chaque signe est divisé en trente degrés comptés depuis l’origine du signe.
De ce système cohérent, il nous reste un témoignage dans la statue de Goudéa dite « l’architecte au plan ». Sur la tablette portée sur ses genoux et qui servira à recevoir le dessin de son temple, se trouve la règle graduée qui est l’étalon de mesure déterminant le « doigt » et la « coudée » ; grâce à quoi on fixait les mesures de surface et de volume, comme les nôtres grâce au mètre.
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
Localisation : Vosges
Re: Lignes de force.
Parce que le ciel personnifié (An en sumérien ou Anu en akkadien) est l’expression absolue du divin, dont le signe, l’étoile à sept branches, sert à noter tout ce qui est divin et, a certainement été conçu quelques fois, comme une abstraction ; il est cependant d’une haute antiquité.La triade des dieux d'Uruk est toujours dessinée de façon à représenter une étoile à sept branche en filigrane.
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
Localisation : Vosges
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