Des croyances obsolètes aux interprétations erronées
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Des croyances obsolètes aux interprétations erronées
Croyances et postulats scientifiques
La physique, et à sa suite les autres sciences, sont dans une impasse due à des croyances inappropriées qui aboutissent en cascades à des erreurs d’interprétation.
Une croyance première d’ordre logique :
La vérité est unique. Ce qui diffère du vrai est faux.
De cette croyance, d’origine aristotélicienne résulte l’unilatéralité des croyances suivantes :
Une croyance d’ordre ontologique ou métaphysique :
Le monde est existant, il est fait de choses qui sont observables et mesurables. Le devenir, les mouvements et transformations, ne sont que des attributs des choses qui existent.
Deux croyances d’ordre méthodologique:
Croire que la réalité est telle que la révèle l’observation ou l’expérimentation.
Croire que les lois mathématiques gouvernent l’univers et le décrivent tel qu’il est.
Trois croyances d’ordre épistémologique :
Ce sont trois postulats simplificateurs nécessaires à l’expérimentation et qui sont aussi à la base de la formulation mathématique des théories.
L’analyse proposée par Descartes, qui isole le problème à étudier de l’environnement naturel global. C’est la condition du dispositif expérimental.
Le déterminisme ou principe de causalité dans le sens restreint, mécanique, de la raison suffisante de Leibniz, condition de la formulation mathématique.
Le matérialisme mécanique de Newton selon lequel l’univers est constitué de matière sous forme masses et de particules en mouvement.
Ces croyances et postulats, énoncés au 17ème siècle régissent aujourd’hui encore les théories de la physique contemporaine. Ils ne sont pas faux mais incomplets. Néanmoins ils ont conduit à des erreurs d’interprétation et à des spéculations mathématiques afin d’accorder l’observation aux théories présupposées. Ceci a conduit à des visions du monde de plus en plus virtuelles, voire monstrueuses, s’écartant des évidences du bon sens et de l’expérience de la Tradition.
Je vais tenter dans la suite, en tant qu’épistémologiste plutôt que physicien, de mettre en évidence de manière simple et compréhensible les contradictions et erreurs d’interprétation, conséquences des insuffisances et unilatéralités de ces croyances.
La physique, et à sa suite les autres sciences, sont dans une impasse due à des croyances inappropriées qui aboutissent en cascades à des erreurs d’interprétation.
Une croyance première d’ordre logique :
La vérité est unique. Ce qui diffère du vrai est faux.
De cette croyance, d’origine aristotélicienne résulte l’unilatéralité des croyances suivantes :
Une croyance d’ordre ontologique ou métaphysique :
Le monde est existant, il est fait de choses qui sont observables et mesurables. Le devenir, les mouvements et transformations, ne sont que des attributs des choses qui existent.
Deux croyances d’ordre méthodologique:
Croire que la réalité est telle que la révèle l’observation ou l’expérimentation.
Croire que les lois mathématiques gouvernent l’univers et le décrivent tel qu’il est.
Trois croyances d’ordre épistémologique :
Ce sont trois postulats simplificateurs nécessaires à l’expérimentation et qui sont aussi à la base de la formulation mathématique des théories.
L’analyse proposée par Descartes, qui isole le problème à étudier de l’environnement naturel global. C’est la condition du dispositif expérimental.
Le déterminisme ou principe de causalité dans le sens restreint, mécanique, de la raison suffisante de Leibniz, condition de la formulation mathématique.
Le matérialisme mécanique de Newton selon lequel l’univers est constitué de matière sous forme masses et de particules en mouvement.
Ces croyances et postulats, énoncés au 17ème siècle régissent aujourd’hui encore les théories de la physique contemporaine. Ils ne sont pas faux mais incomplets. Néanmoins ils ont conduit à des erreurs d’interprétation et à des spéculations mathématiques afin d’accorder l’observation aux théories présupposées. Ceci a conduit à des visions du monde de plus en plus virtuelles, voire monstrueuses, s’écartant des évidences du bon sens et de l’expérience de la Tradition.
Je vais tenter dans la suite, en tant qu’épistémologiste plutôt que physicien, de mettre en évidence de manière simple et compréhensible les contradictions et erreurs d’interprétation, conséquences des insuffisances et unilatéralités de ces croyances.
Re: Des croyances obsolètes aux interprétations erronées
Doctrines obsolètes et perspectives nouvelles
La science qui influence toute la civilisation occidentale et contamine les autres cultures est influencée elle-même par la pensée aristotélicienne introduite dans la scolastique par Thomas d’Aquin au 13ème siècle.
Le monothéisme et la logique aristotélicienne qui exigent des vérités uniques et monopolaires constituent la maladie mentale de la civilisation occidentale, une dégénérescence qui affecte les relations politiques et sociales aussi bien que la science.
Les principes logiques, ontologiques et empiriques d’Aristote, déjà restrictifs, ont été dénaturés par la science.
La méthode expérimentale produit des applications technologiques et divise le savoir en spécialisations au gré de ses techniques, mais elle empêche de comprendre la nature réelle et la vie. De nouvelles découvertes invalident partiellement les croyances et principes du 17ème siècle. Mais le prestige et le conservatisme des autorités universitaires et la résistance des intérêts corporatistes élèvent des obstacles qui empêchent une révision des croyances et principes fondamentaux.
En marge des institutions reconnues, les recherches de scientifiques indépendants et dissidents reviennent aux évidences du bon sens retrouvées par de nouvelles découvertes. En premier lieu, la nature doit être comprise comme un fonctionnement, un devenir, au lieu d’un être. La logique doit donc être élargie au fonctionnement dans le sens de la complémentarité des contraires, comme Stéphane Lupasco l’a proposé par son principe d’antagonisme. Il faut réviser les principes unilatéraux de la méthode expérimentale en dualités complémentaires :
Suite dans un nouveau sujet: - Dogmes, erreurs d'interprétation et impasses en physique
La science qui influence toute la civilisation occidentale et contamine les autres cultures est influencée elle-même par la pensée aristotélicienne introduite dans la scolastique par Thomas d’Aquin au 13ème siècle.
Le monothéisme et la logique aristotélicienne qui exigent des vérités uniques et monopolaires constituent la maladie mentale de la civilisation occidentale, une dégénérescence qui affecte les relations politiques et sociales aussi bien que la science.
Les principes logiques, ontologiques et empiriques d’Aristote, déjà restrictifs, ont été dénaturés par la science.
- Sa logique a été réduite aux constats mesurés et mathématiques.
- Son ontologie fondée sur la substance définie comme principe philosophique d’existence, a été réduite au concept de matière grossière mesurée sous l’aspect de masse inertielle.
- Son empirisme a été réduit au dispositif expérimental artificiel fermé, défini conformément à sa logique par des postulats simplificateurs unilatéraux - analytique, déterministe et matérialiste, - nécessaires pour obtenir des résultats reproductibles.
La méthode expérimentale produit des applications technologiques et divise le savoir en spécialisations au gré de ses techniques, mais elle empêche de comprendre la nature réelle et la vie. De nouvelles découvertes invalident partiellement les croyances et principes du 17ème siècle. Mais le prestige et le conservatisme des autorités universitaires et la résistance des intérêts corporatistes élèvent des obstacles qui empêchent une révision des croyances et principes fondamentaux.
En marge des institutions reconnues, les recherches de scientifiques indépendants et dissidents reviennent aux évidences du bon sens retrouvées par de nouvelles découvertes. En premier lieu, la nature doit être comprise comme un fonctionnement, un devenir, au lieu d’un être. La logique doit donc être élargie au fonctionnement dans le sens de la complémentarité des contraires, comme Stéphane Lupasco l’a proposé par son principe d’antagonisme. Il faut réviser les principes unilatéraux de la méthode expérimentale en dualités complémentaires :
- L’analyse supposait déjà pour Descartes une recomposition, une synthèse. La partie est en effet inconcevable sans un tout. La mécanique quantique, fondée pourtant sur le concept de particule, a du reconnaître par l’intrication quantique que que l’univers est un tout. Aujourd’hui des méthodes systémiques et des mouvements écologiques et holistiques cherchent à compléter la méthode analytique.
- Le déterminisme imposé par le passé défini est opposé à l’indétermination des possibilités futures indéfinies dans l’évolution de la nature, de la vie et de la conscience humaine. Après la thermodynamique classique, les théories du chaos ont introduit une conception de l’indétermination qui n’a rien de commun avec l’ignorance du hasard. Elles ouvrent l’opportunité à une meilleure connaissance de l’évolution par auto-organisation de la vie .
- Le matérialisme mécanique de la particule ne renseigne en rien sur l’énergie et les propriété fréquentielles de la matière. Les diversités qualitatives de la nature émergent de l’onde associée qui est à l’origine des informations et. La mécanique ondulatoire complète et explique même le modèle standard des particules de la mécanique quantique.
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