L'énigme de la basilique de St Pierre
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L'énigme de la basilique de St Pierre
La tradition chrétienne ainsi que des textes remontant au 1er siècle de notre ère, affirment que le corps de l'apôtre saint-Pierre fut enseveli après son supplice à proximité des jardins de Néron. Plus tard, l'empereur Constantin fit ériger sur la tombe de l'apôtre, la première basilique sur laquelle se dresse l'édifice actuel. Mais les jardins de Néron ne se situaient pas à cet endroit là, mais bien plus loin. Des recherches furent entreprises qui permirent de mettre à jour une nécropole avec une sépulture centrale entourée de tombes chrétiennes. Cependant, cette tombe centrale s'avéra vide.
Le Pape Pie XII commanda donc des fouilles sous la basilique. Sous les fondations d'un mur de couleur rouge et datant de l'époque de l'empereur Constantin, on dégagea les ossement d'un homme âgé, sans tête, et enveloppé de ce qui fut un vêtement pourpre, la couleur des empereurs. Les particules de terre prélevées sur ces restes humains se révélèrent identiques à la terre de la sépulture vide du cimetière sis à l'écart des jardins de Néron.
La basilique du Latran se targue de receler les têtes des apôtres Pierre et Paul. Mais alors qui était ce personnage revêtu de pourpre et d'or ? L'empereur Constantin aurait-il fait exhumer et déplacer le corps de l'apôtre Pierre à l'endroit où il allait faire ériger la première basilique ?
Le Pape Pie XII commanda donc des fouilles sous la basilique. Sous les fondations d'un mur de couleur rouge et datant de l'époque de l'empereur Constantin, on dégagea les ossement d'un homme âgé, sans tête, et enveloppé de ce qui fut un vêtement pourpre, la couleur des empereurs. Les particules de terre prélevées sur ces restes humains se révélèrent identiques à la terre de la sépulture vide du cimetière sis à l'écart des jardins de Néron.
La basilique du Latran se targue de receler les têtes des apôtres Pierre et Paul. Mais alors qui était ce personnage revêtu de pourpre et d'or ? L'empereur Constantin aurait-il fait exhumer et déplacer le corps de l'apôtre Pierre à l'endroit où il allait faire ériger la première basilique ?
Freya- Messages : 1338
Date d'inscription : 24/08/2012
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Troublante découverte dans les Grottes de Grimaldi (Vintimille)
D'importantes fouilles ont démontré que ces grottes furent occupées dès la préhistoire. Un nombre important de couches archéologiques correspondent à différentes périodes d'occupation des lieux furent mises à jour. Partant de la couche supérieure la plus récente, on remonta le temps jusqu'à l'ère dite "aurignacienne" soit environ 20.000 ans avant notre ère.
A ce niveau là, des squelettes furent mis à jour appartenant tous à des individus de la race de Cro-Magnon faisant partis des premiers Homo sapiens d'Europe.
Ces squelettes avaient été inhumés avec grand soin et leurs os avaient conservé la couleur ocre qui fut répandue au cours d'un rituel lors de leur inhumation. Tous portaient des colliers et des bracelets de coquillages et de dents d'animaux.
Dans la première fosse, on découvrit trois squelettes, ceux d'un homme, d'une femme et d'un adolescent inhumés ensemble. Mais la découverte la plus surprenante fut celle de la deuxième fosse où deux autres squelettes furent découverts, inhumés eux aussi ensemble, celui d'une femme âgée et d'un jeune garçon. Leurs têtes étaient protégées par une dalle horizontale reposant sur deux pierres verticales. La forme de leurs crânes et la morphologie de leurs os faciaux ainsi que la longueur des cubitus et des radius (os de l'avant-bras) les classaient avec une certitude indiscutable parmi les races négroïdes.
Ainsi, dans nos contrées au temps du paléolithique, il existait des communautés noires. Mais d'où pouvaient-elles bien venir ? S'agit-il d'une race autochtone dont on ne devait plus trouvé aucune trace à l'époque suivante ?
A ce niveau là, des squelettes furent mis à jour appartenant tous à des individus de la race de Cro-Magnon faisant partis des premiers Homo sapiens d'Europe.
Ces squelettes avaient été inhumés avec grand soin et leurs os avaient conservé la couleur ocre qui fut répandue au cours d'un rituel lors de leur inhumation. Tous portaient des colliers et des bracelets de coquillages et de dents d'animaux.
Dans la première fosse, on découvrit trois squelettes, ceux d'un homme, d'une femme et d'un adolescent inhumés ensemble. Mais la découverte la plus surprenante fut celle de la deuxième fosse où deux autres squelettes furent découverts, inhumés eux aussi ensemble, celui d'une femme âgée et d'un jeune garçon. Leurs têtes étaient protégées par une dalle horizontale reposant sur deux pierres verticales. La forme de leurs crânes et la morphologie de leurs os faciaux ainsi que la longueur des cubitus et des radius (os de l'avant-bras) les classaient avec une certitude indiscutable parmi les races négroïdes.
Ainsi, dans nos contrées au temps du paléolithique, il existait des communautés noires. Mais d'où pouvaient-elles bien venir ? S'agit-il d'une race autochtone dont on ne devait plus trouvé aucune trace à l'époque suivante ?
Freya- Messages : 1338
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L'énigme de l'Hydre de Lerne (Argos/Grèce)
Parmi les mythes grecs, nous trouvons les douze travaux d'Héraclès dont fait partie celui de l'Hydre de Lerne. Mais qu'en est-il exactement ?
A 10 km au sud d'Argos en Grèce, les marais de Lerne existent toujours, mais ils n'ont plus l'importance qu'ils avaient jadis, et pour être franc, il faut vraiment les chercher.... Et ce fut là que, selon la légende, Héraclès tua l'hydre qui dévastait les alentours. Les archéologues fouillèrent les lieux et dégagèrent d'importants vestiges datant de 6000 ans à 1000 avant notre ère. Lerne ne fut jamais une cité importante, 150 maisons donc tout au plus 800 âmes qui habitaient là à l'époque où les Mycéniens occupèrent le pays.
Une enceinte avec un escalier, un palais à un étage appelé « la maison aux tuiles» aux murs revêtus de stuc incisé, et des maisons d’habitations ordinaires furent mis à jour et fouillés.
L’haleine épouvantable d’une seule des sept têtes de l’hydre pouvait tuer un homme. S’agit-il des miasmes marécageux et les travaux d’Héraclès consistèrent-ils à assécher les marais qui rendaient la région particulièrement malsaine ? Ou bien l’Hydre était-elle l’un de ces monstres antédiluviens hantant les lieux comme le fait encore de nos jours le monstre du Loch Ness ?
A 10 km au sud d'Argos en Grèce, les marais de Lerne existent toujours, mais ils n'ont plus l'importance qu'ils avaient jadis, et pour être franc, il faut vraiment les chercher.... Et ce fut là que, selon la légende, Héraclès tua l'hydre qui dévastait les alentours. Les archéologues fouillèrent les lieux et dégagèrent d'importants vestiges datant de 6000 ans à 1000 avant notre ère. Lerne ne fut jamais une cité importante, 150 maisons donc tout au plus 800 âmes qui habitaient là à l'époque où les Mycéniens occupèrent le pays.
Une enceinte avec un escalier, un palais à un étage appelé « la maison aux tuiles» aux murs revêtus de stuc incisé, et des maisons d’habitations ordinaires furent mis à jour et fouillés.
L’haleine épouvantable d’une seule des sept têtes de l’hydre pouvait tuer un homme. S’agit-il des miasmes marécageux et les travaux d’Héraclès consistèrent-ils à assécher les marais qui rendaient la région particulièrement malsaine ? Ou bien l’Hydre était-elle l’un de ces monstres antédiluviens hantant les lieux comme le fait encore de nos jours le monstre du Loch Ness ?
Freya- Messages : 1338
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