Les 3 temps aiôn, chronos et kairos
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Les 3 temps aiôn, chronos et kairos
Extraits d’un article sur Les trois types de temps
Les premières réflexions autour du temps sont apparues chez les Grecs de l’Antiquité. Ils ont ainsi défini 3 types de temps :
Aiôn : le temps cyclique.
Chronos : le temps physique. C’est le temps que nous mesurons chronologiquement.
Kairos : le temps métaphysique. C’est le point de basculement décisif, avec un « avant » et un « après ».
Le temps Aiôn
Aiôn était une divinité grecque associée au temps, au cercle englobant l’univers (selon les croyances grecques) et au zodiaque.
C’est le temps des cycles, comme les saisons, la respiration, le sommeil, etc.
Il n’a pas de bornes et peut également signifier la destinée, l’âge, la génération ou l’éternité.
On retrouve notamment le terme Aiôn en géologie. Il désigne une période indéfiniment longue, telle que les phases géologiques de formation de la Terre.
Le temps Chronos
Dans la mythologie grecque, Chronos était le dieu représentant la personnification du temps, et notamment des douze heures du jour ou de la nuit.
Le temps Chronos, c’est celui que nous connaissons tous, c’est le temps physique. Il permet de segmenter le temps en passé, présent et futur, grâce aux unités de mesure telles que la seconde, la minute, l’heure, etc.
Ce temps est quantitatif et linéaire.
Le temps Kairos
Le temps Kairos est un temps métaphysique. C’est le point de basculement décisif, avec une notion d’avant et d’après, où quelque chose de spécial arrive.
Par exemple, vous êtes-vous déjà dit : « Maintenant est le bon moment pour agir », sans qu’il n’y ait d’éléments objectifs validant cette affirmation ? Cela est en fait l’expression de la sensation du temps Kairos.
Contrairement à Chronos, le temps Kairos n’est pas linéaire, il est qualitatif, c’est le temps « entre ». Il ne se mesure pas, il est immatériel et se ressent. C’est une autre dimension du temps qui crée de la profondeur dans l’instant.
Images de gauche à droite :
Mosaïque représentant Aion et Tellus (Musée Glyptothek, Munich)
Statue de Chronos au cimetière de Staglieno
Kairos représenté dans une fresque du XVIe siècle par Francesco Salviati
Les premières réflexions autour du temps sont apparues chez les Grecs de l’Antiquité. Ils ont ainsi défini 3 types de temps :
Aiôn : le temps cyclique.
Chronos : le temps physique. C’est le temps que nous mesurons chronologiquement.
Kairos : le temps métaphysique. C’est le point de basculement décisif, avec un « avant » et un « après ».
Le temps Aiôn
Aiôn était une divinité grecque associée au temps, au cercle englobant l’univers (selon les croyances grecques) et au zodiaque.
C’est le temps des cycles, comme les saisons, la respiration, le sommeil, etc.
Il n’a pas de bornes et peut également signifier la destinée, l’âge, la génération ou l’éternité.
On retrouve notamment le terme Aiôn en géologie. Il désigne une période indéfiniment longue, telle que les phases géologiques de formation de la Terre.
Le temps Chronos
Dans la mythologie grecque, Chronos était le dieu représentant la personnification du temps, et notamment des douze heures du jour ou de la nuit.
Le temps Chronos, c’est celui que nous connaissons tous, c’est le temps physique. Il permet de segmenter le temps en passé, présent et futur, grâce aux unités de mesure telles que la seconde, la minute, l’heure, etc.
Ce temps est quantitatif et linéaire.
Le temps Kairos
Le temps Kairos est un temps métaphysique. C’est le point de basculement décisif, avec une notion d’avant et d’après, où quelque chose de spécial arrive.
Par exemple, vous êtes-vous déjà dit : « Maintenant est le bon moment pour agir », sans qu’il n’y ait d’éléments objectifs validant cette affirmation ? Cela est en fait l’expression de la sensation du temps Kairos.
Contrairement à Chronos, le temps Kairos n’est pas linéaire, il est qualitatif, c’est le temps « entre ». Il ne se mesure pas, il est immatériel et se ressent. C’est une autre dimension du temps qui crée de la profondeur dans l’instant.
Images de gauche à droite :
Mosaïque représentant Aion et Tellus (Musée Glyptothek, Munich)
Statue de Chronos au cimetière de Staglieno
Kairos représenté dans une fresque du XVIe siècle par Francesco Salviati
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Re: Les 3 temps aiôn, chronos et kairos
Essai d’interprétation des trois types de temps
"Aiôn : le temps cyclique."
Temps universel : Fondé sur une périodicité élémentaire et raison de la simultanéité.
Période minimale élémentaire: -Il existe une période fondamentale, celle de l’oscillation minimale de l’espace-éther, le moment cinétique minimal défini par la constante de Planck h. On a calculé une longueur de Planck et un temps de Planck dont le rapport est égal à la vitesse c constante de la lumière.
Selon la transformation de Fourier, toutes les autres formes périodiques ou non possibles sont des multiples du moment cinétique de Planck.
Giordano Bruno déjà écrivait : Sans minimum il n’y aurait rien du tout.
Fondement de la simultanéité : - Conséquence du paradoxe EPR prouvé par l’expérience Aspect et appelée intrication quantique ou non-localité. Explicable par l’onde de phase de Louis de Broglie.
"Chronos : le temps physique. C’est le temps que nous mesurons chronologiquement."
"Temps mesuré : - La durée définie par le nombre de cycles ou de périodes d’horloge.
Temps de l’évolution : - C’est le temps linéaire, irréversible de la thermodynamique, le temps de l’évolution de la mémoire et du passé que nous connaissons par notre expérience
"Kairos : le temps métaphysique. C’est le point de basculement décisif, avec un « avant » et un « après ». "
La bifurcation de la théorie des chaos : - Issue de l’état indéterminé du système instable et sensible dans l’interaction entre les données du passé et un choix de possibilités futures multiples présentées par les influences aléatoires ou informations de l’environnement.
L’instant présent conscient: - Le moment de la décision et de l’action, temps du présent éternel de la conscience.
"Aiôn : le temps cyclique."
Temps universel : Fondé sur une périodicité élémentaire et raison de la simultanéité.
Période minimale élémentaire: -Il existe une période fondamentale, celle de l’oscillation minimale de l’espace-éther, le moment cinétique minimal défini par la constante de Planck h. On a calculé une longueur de Planck et un temps de Planck dont le rapport est égal à la vitesse c constante de la lumière.
Selon la transformation de Fourier, toutes les autres formes périodiques ou non possibles sont des multiples du moment cinétique de Planck.
Giordano Bruno déjà écrivait : Sans minimum il n’y aurait rien du tout.
Fondement de la simultanéité : - Conséquence du paradoxe EPR prouvé par l’expérience Aspect et appelée intrication quantique ou non-localité. Explicable par l’onde de phase de Louis de Broglie.
"Chronos : le temps physique. C’est le temps que nous mesurons chronologiquement."
"Temps mesuré : - La durée définie par le nombre de cycles ou de périodes d’horloge.
Temps de l’évolution : - C’est le temps linéaire, irréversible de la thermodynamique, le temps de l’évolution de la mémoire et du passé que nous connaissons par notre expérience
"Kairos : le temps métaphysique. C’est le point de basculement décisif, avec un « avant » et un « après ». "
La bifurcation de la théorie des chaos : - Issue de l’état indéterminé du système instable et sensible dans l’interaction entre les données du passé et un choix de possibilités futures multiples présentées par les influences aléatoires ou informations de l’environnement.
L’instant présent conscient: - Le moment de la décision et de l’action, temps du présent éternel de la conscience.
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