Critique de la relativité restreinte et de ses conséquences
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Critique de la relativité restreinte et de ses conséquences
Remarque préliminaire:
Je ne me permettrais pas une critique de la théorie de la relativité restreinte sans connaître une alternative meilleure, celle que propose Yuri Ivanov et que j’ai expliquée déjà au sujet Rythmodynamique
La relativité existe, mais c’est une relativité de l’observation due à l’effet Doppler et non pas une relativité des référentiels d’espace et de temps.
La problématique de l’expérience de Michelson
Depuis Galilée on sait que la Terre tourne autour du soleil à la vitesse d’environ 30 km/s et depuis, on a évalué la vitesse du système solaire dans la galaxie à environ 300 km/s.
On supposait depuis l’antiquité que la vitesse de la lumière était limitée et constante et des mesures ont été tentées depuis Galilée selon une douzaine de méthodes (lien wiki)). Michelson lui-même l’avait mesurée avant de concevoir son interféromètre qui devait mesurer la vitesse de la Terre dans l’espace.
L’expérience de Michelson a échoué ; elle n’a enregistré aucune différence de vitesses dans aucune des directions de mesure et selon aucune des différentes phases de rotation ou de gravitation de la Terre. L’échec pouvait être attribué :
La première hypothèse était celle de H.A. Lorentz. Il concevait qu’une contraction proportionnelle des bras de l’instrument annulait la diminution attendue des longueurs d’onde lumineuse. Mais il n'a pas pu donner une explication physique de cette contraction.
La seconde hypothèse est celle de la relativité restreinte (RR) qui fait confiance à la méthode d’observation et attribue l’échec à la lumière qui semblait s’obstiner dans l’expérience à rester inchangée quelle que soit la position ou vitesse de l’observateur qui la mesure.
Le principe de relativité et la relativisation de l’espace
La RR élève l’échec de l’expérience de Michelson en loi, en principe de relativité : en affirmant que la vitesse de la lumière est la même pour tout observateur parce que « les lois physiques s'expriment de manière identique dans tous les référentiels inertiels ».
Cette première erreur épistémologique fondamentale fut associée à une seconde erreur épistémologique : le rejet de l’espace comme milieu de propagation d’ondes électromagnétiques. et la relativisation des référentiels classiques d’espace et de temps.
Pour obtenir un résultat juste, une erreur peut être masquée par une seconde erreur (comme un train peut en cacher un autre). Mais le résultat juste ne peut pas être dit vrai, il est seulement accommodé mathématiquement à l’observation, car les prémisses restent des erreurs et les erreurs se répercutent dans les conséquences.
De cette manière, la relativité restreinte (RR) conduisit à des prédictions vérifiées qui levèrent le scepticisme des physiciens de l’époque bien qu’aucun d’eux ne comprenait les formulations mathématiques compliquées de l’auteur présumé de la théorie.
La mathématisation de la physique.
La première conséquence de la RR est la mathématisation de la physique théorique.Un opposant qualifié majeur de la RR, le professeur Dingle écrivit dans son livre «Science at the Crossroads » :
http://poincare.et.la.relativite.pagesperso-orange.fr/
http://www.annales.org/archives/x/marchal2.pdf
http://allais.maurice.free.fr/Einstein.htm
Peu importe la polémique concernant les auteurs de la RR qui agite les historiens. Ce qu’il faut comprendre, c’est que la science officielle repose sur un consensus social où les considérations de politique nationalistes ou religieuses, derrière lesquelles se cachent des intérêts financiers, ne sont jamais absentes.
Mais la fiabilité des théories scientifiques ne dépend pas des autorités institutionnelles qui les proclament. Les théories ne valent que ce que valent leurs bases épistémologiques et logiques. Or la RR, en relativisant les référentiels d’espace et de temps, a sabordé les bases même de la physique.
La physique n’a désormais plus de base autre que l’observation par l’instrument d’observation fondée sur les seuls référentiels d’observation. L’erreur n’est pas une faute personnelle d’Einstein ou de Poincaré mais le piège de la méthode expérimentale elle-même. Le principe de relativité est la conséquence de l’empirisme naïf qui consiste à prendre le résultat expérimental pour la réalité elle-même. La mathématisation de la physique en est la première conséquence. Désormais privée de l’espace, base de la géométrie, et du temps, base de la dynamique, la physique devient entièrement dépendante de l’outil mathématique. Le serviteur a remplacé le maître.
Les conséquences confuses
La relativité de l’espace-temps a conduit à quelques applications technologiques utiles dans le domaine des relations et communications spatiales qui pourraient avantageusement être converties à une nouvelle théorie, celle de la Rythmodynamique d'Ivanov, qui attribue la relativité aux mesures et non pas à l'espace-temps.
Mais en physique théorique, en cosmologie et même en philosophie, elle a conduit à la confusion totale. D’une seule absurdité fondamentale, de nombreuses autres sont les conséquences :
Je n’ai énuméré que quelques-unes des absurdités les plus connues, conséquences des erreurs de base épistémologique. Il en existe de nombreuses autres, et aussi des erreurs de formulation mathématique. Quand les bases sont mauvaises les possibilités d’erreurs n’ont pas de limites.
Les dogmes qui défendent l’erreur.
Dans un article du journal GSJ, qui est ouvert aux scientifiques sans la censure habituelle des revues scientifiques « reconnues », un scientifique allemand, Ekkehard Friebe présente un catalogue d’environ 130 erreurs sérieuses des deux relativités, répertorisées par un autre chercheur, G.O. Müller :
http://gsjournal.net/Science-Journals/Research%20Papers-Relativity%20Theory/Download/5641
Sur son propre blog, Friebe dénonce cinq dogmes qui empêchent l’innovation en physique.
Premier dogme: "La croyance en l'infaillibilité des mathématiques".
Des mathématiciens croient que les lois de l’univers sont mathématiques et les physiciens qui ne maîtrisent pas cet outil de l’esprit humain font confiance aux mathématiciens et se font manipuler « de manière éhontée » par eux.
Deuxième dogme: "La croyance en l'infaillibilité de l'expérience"
Le principe de relativité résulte en effet de la croyance en l’infaillibilité de l’expérience de Michelson qui en fait était un échec. L’auteur remarque que toute expérience se fait dans un cadre limité et les formules mathématiques utilisées dans ces cadres ne sont que des approximations. Il faudrait ajouter la croyance en la prédictivité comme critère de la méthode expérimentale.
Le troisième dogme: la croyance à l'infaillibilité de l'autorité.
Le quatrième dogme: la croyance à la fiabilité des scientifiques.
Le cinquième dogme: la croyance à l'inutilité de la philosophie.
L’auteur ajoute que "Ce cinquième dogme nous semble être de la plus grande importance ...". Il fustige par ailleurs toute tentative de chercher une « formule universelle ».
En effet, l’unité de la science ou des connaissances en général se situe dans des principes épistémologiques universels d’ordre métaphysique, applicables par analogie aux axiomes particuliers de chaque domaine scientifique nécessairement limité.
Je ne me permettrais pas une critique de la théorie de la relativité restreinte sans connaître une alternative meilleure, celle que propose Yuri Ivanov et que j’ai expliquée déjà au sujet Rythmodynamique
La relativité existe, mais c’est une relativité de l’observation due à l’effet Doppler et non pas une relativité des référentiels d’espace et de temps.
La problématique de l’expérience de Michelson
Depuis Galilée on sait que la Terre tourne autour du soleil à la vitesse d’environ 30 km/s et depuis, on a évalué la vitesse du système solaire dans la galaxie à environ 300 km/s.
On supposait depuis l’antiquité que la vitesse de la lumière était limitée et constante et des mesures ont été tentées depuis Galilée selon une douzaine de méthodes (lien wiki)). Michelson lui-même l’avait mesurée avant de concevoir son interféromètre qui devait mesurer la vitesse de la Terre dans l’espace.
L’expérience de Michelson a échoué ; elle n’a enregistré aucune différence de vitesses dans aucune des directions de mesure et selon aucune des différentes phases de rotation ou de gravitation de la Terre. L’échec pouvait être attribué :
- à une erreur de l’observateur, c’est-à-dire à la méthode d’observation,
- à une aberration de l’objet observé, la lumière.
La première hypothèse était celle de H.A. Lorentz. Il concevait qu’une contraction proportionnelle des bras de l’instrument annulait la diminution attendue des longueurs d’onde lumineuse. Mais il n'a pas pu donner une explication physique de cette contraction.
La seconde hypothèse est celle de la relativité restreinte (RR) qui fait confiance à la méthode d’observation et attribue l’échec à la lumière qui semblait s’obstiner dans l’expérience à rester inchangée quelle que soit la position ou vitesse de l’observateur qui la mesure.
Le principe de relativité et la relativisation de l’espace
La RR élève l’échec de l’expérience de Michelson en loi, en principe de relativité : en affirmant que la vitesse de la lumière est la même pour tout observateur parce que « les lois physiques s'expriment de manière identique dans tous les référentiels inertiels ».
Cette première erreur épistémologique fondamentale fut associée à une seconde erreur épistémologique : le rejet de l’espace comme milieu de propagation d’ondes électromagnétiques. et la relativisation des référentiels classiques d’espace et de temps.
Pour obtenir un résultat juste, une erreur peut être masquée par une seconde erreur (comme un train peut en cacher un autre). Mais le résultat juste ne peut pas être dit vrai, il est seulement accommodé mathématiquement à l’observation, car les prémisses restent des erreurs et les erreurs se répercutent dans les conséquences.
De cette manière, la relativité restreinte (RR) conduisit à des prédictions vérifiées qui levèrent le scepticisme des physiciens de l’époque bien qu’aucun d’eux ne comprenait les formulations mathématiques compliquées de l’auteur présumé de la théorie.
La mathématisation de la physique.
La première conséquence de la RR est la mathématisation de la physique théorique.Un opposant qualifié majeur de la RR, le professeur Dingle écrivit dans son livre «Science at the Crossroads » :
C’est que le véritable auteur-créateur de la RR n’était ni physicien ni Einstein mais le mathématicien Poincaré.« La grande majorité des physiciens, incluant pratiquement tous ceux qui conduisent des expériences de physique et qui sont connus dans le monde comme des leaders scientifiques admettent, dès qu'ils sont confrontés à une critique implacable de la Relativité Restreinte, qu'ils la considèrent comme des balivernes. Ils l'admettent parce que quelques mathématiciens spécialistes du sujet disent qu'ils doivent l'accepter, ou parce que bien que ne la comprenant pas du tout ils acceptent la théorie établie par d'autres et donc l'admettent comme un cadre sûr pour leurs expériences. La réponse des spécialistes dans ce domaine est soit le silence complet soit une variété de dérobades formulées en langage mystique qui sert à convaincre les autres que la théorie est trop abstruse pour qu'ils la comprennent et qu'ils peuvent à coup sûr faire confiance aux hommes ayant le talent mathématique de rédiger avec assurance en termes intelligents. »
http://poincare.et.la.relativite.pagesperso-orange.fr/
http://www.annales.org/archives/x/marchal2.pdf
http://allais.maurice.free.fr/Einstein.htm
Peu importe la polémique concernant les auteurs de la RR qui agite les historiens. Ce qu’il faut comprendre, c’est que la science officielle repose sur un consensus social où les considérations de politique nationalistes ou religieuses, derrière lesquelles se cachent des intérêts financiers, ne sont jamais absentes.
Mais la fiabilité des théories scientifiques ne dépend pas des autorités institutionnelles qui les proclament. Les théories ne valent que ce que valent leurs bases épistémologiques et logiques. Or la RR, en relativisant les référentiels d’espace et de temps, a sabordé les bases même de la physique.
La physique n’a désormais plus de base autre que l’observation par l’instrument d’observation fondée sur les seuls référentiels d’observation. L’erreur n’est pas une faute personnelle d’Einstein ou de Poincaré mais le piège de la méthode expérimentale elle-même. Le principe de relativité est la conséquence de l’empirisme naïf qui consiste à prendre le résultat expérimental pour la réalité elle-même. La mathématisation de la physique en est la première conséquence. Désormais privée de l’espace, base de la géométrie, et du temps, base de la dynamique, la physique devient entièrement dépendante de l’outil mathématique. Le serviteur a remplacé le maître.
Les conséquences confuses
La relativité de l’espace-temps a conduit à quelques applications technologiques utiles dans le domaine des relations et communications spatiales qui pourraient avantageusement être converties à une nouvelle théorie, celle de la Rythmodynamique d'Ivanov, qui attribue la relativité aux mesures et non pas à l'espace-temps.
Mais en physique théorique, en cosmologie et même en philosophie, elle a conduit à la confusion totale. D’une seule absurdité fondamentale, de nombreuses autres sont les conséquences :
- L’espace pourtant exploré depuis des siècles par les observations astronomiques, devient inutile et il est remplacé par un formalisme mathématique : « l’espace-temps à quatre dimensions » où le temps est réversible, (erreur empruntée à la mécanique classique). Manipulable selon les besoins du mathématicien, il permet de formuler l’espace courbé de la RG. Celle-ci ne dit pas par rapport à quoi s’effectuerait cette courbure si ce n’est un référentiel spatial absolu et fixe. Elle n’est qu’une formalisation mathématique (topologique) différente de la gravité de Newton, sans lui fournir aucune explication physique nouvelle et sans expliquer la nature de la « masse » qui occasionnerait la courbure.
- L’onde électromagnétique n’ayant pas de support, la lumière fut attribuée à une particule : le photon, auquel ont succédé d’autres « bosons ». L’interprétation du quantum d’action de Planck comme particule plutôt qu’onde a créé la mécanique quantique, une autre aberration.
- Les positions et vitesses ne concernent que les relations linéaires entre référentiels d’observateurs individuels. Dans ces relations, l’espace est confondu avec les mesures individuelles de longueurs d’onde, le temps avec les mesures des périodes d’horloges.
- Cette confusion a conduit au prétendu « paradoxe des jumeaux » dont l’un en mouvement par rapport à l’autre, vieillirait moins vite. Pourtant, en l’absence de référentiel absolu, la relativité ne permet pas de dire lequel des jumeaux serait au repos et lequel en mouvement. Même Einstein, interrogé sur cette question, a répondu que c’était la chose la plus curieuse qu’il ait jamais entendu.
- En philosophie, l’empirisme naïf, le relativisme et le virtualisme mathématique ont conduit au mépris du réalisme physique, qualifié lui de naïf, à un idéalisme new âge et à un anthropocentrisme selon lesquels ce serait la conscience de l’observateur qui créerait la réalité. L’intrication quantique, incomprise, n’y change rien. Elle n’a pas fait comprendre la corrélation et solidarité universelle. Elle a plutôt fait ressusciter la cause finale sous forme de dieu anthropomorphe, de principe anthropique, ou d’extraterrestres.
Je n’ai énuméré que quelques-unes des absurdités les plus connues, conséquences des erreurs de base épistémologique. Il en existe de nombreuses autres, et aussi des erreurs de formulation mathématique. Quand les bases sont mauvaises les possibilités d’erreurs n’ont pas de limites.
Les dogmes qui défendent l’erreur.
Dans un article du journal GSJ, qui est ouvert aux scientifiques sans la censure habituelle des revues scientifiques « reconnues », un scientifique allemand, Ekkehard Friebe présente un catalogue d’environ 130 erreurs sérieuses des deux relativités, répertorisées par un autre chercheur, G.O. Müller :
http://gsjournal.net/Science-Journals/Research%20Papers-Relativity%20Theory/Download/5641
Sur son propre blog, Friebe dénonce cinq dogmes qui empêchent l’innovation en physique.
Premier dogme: "La croyance en l'infaillibilité des mathématiques".
Des mathématiciens croient que les lois de l’univers sont mathématiques et les physiciens qui ne maîtrisent pas cet outil de l’esprit humain font confiance aux mathématiciens et se font manipuler « de manière éhontée » par eux.
Deuxième dogme: "La croyance en l'infaillibilité de l'expérience"
Le principe de relativité résulte en effet de la croyance en l’infaillibilité de l’expérience de Michelson qui en fait était un échec. L’auteur remarque que toute expérience se fait dans un cadre limité et les formules mathématiques utilisées dans ces cadres ne sont que des approximations. Il faudrait ajouter la croyance en la prédictivité comme critère de la méthode expérimentale.
Le troisième dogme: la croyance à l'infaillibilité de l'autorité.
Le quatrième dogme: la croyance à la fiabilité des scientifiques.
Le cinquième dogme: la croyance à l'inutilité de la philosophie.
L’auteur ajoute que "Ce cinquième dogme nous semble être de la plus grande importance ...". Il fustige par ailleurs toute tentative de chercher une « formule universelle ».
En effet, l’unité de la science ou des connaissances en général se situe dans des principes épistémologiques universels d’ordre métaphysique, applicables par analogie aux axiomes particuliers de chaque domaine scientifique nécessairement limité.
Re: Critique de la relativité restreinte et de ses conséquences
Je vois que cela rejoins les travaux de cette personne et auquel j'adhère
http://www.collectionscanada.gc.ca/eppp-archive/100/200/300/gabriel_lafreniere/matiere_ondes-e/matiere.htm
il se peut que certains articles ne soient pas accessibles cependant l'idée essentielle est bien rendue
http://www.collectionscanada.gc.ca/eppp-archive/100/200/300/gabriel_lafreniere/matiere_ondes-e/matiere.htm
il se peut que certains articles ne soient pas accessibles cependant l'idée essentielle est bien rendue
améthyste- Messages : 73
Date d'inscription : 31/01/2015
Localisation : secteur est
Re: Critique de la relativité restreinte et de ses conséquences
Le site complet de Gabriel Lafrenière est conservé sur ce lien:
http://web.archive.org/web/20110711100519/http://www.glafreniere.com/matiere.htm
Il contient son évaluation des ondes stationnaires d'Ivanov (rythmodynamique)
http://web.archive.org/web/20110711100519/http://www.glafreniere.com/matiere.htm
Il contient son évaluation des ondes stationnaires d'Ivanov (rythmodynamique)
Re: Critique de la relativité restreinte et de ses conséquences
La problématique de l’expérience de Michelson
Depuis toujours les astronomes ont connu l'espace formé par les "étoiles fixes" qui permettaient aussi aux navigateurs de s'orienter.
Depuis Galilée on sait que la Terre gravite autour du soleil relativement à cet espace de référence, à la vitesse d’environ 30 km/s. On supposait depuis l’antiquité que la vitesse de la lumière était limitée et constante et des mesures ont été tentées depuis Galilée selon une douzaine de méthodes (lien wiki). Michelson lui-même l’avait mesurée avant de concevoir son interféromètre qui devait mesurer la vitesse de la Terre dans l’espace.
L’expérience de Michelson a échoué: elle n’a enregistré aucune différence de vitesses dans aucune des directions de mesure et selon aucune des différentes phases de rotation ou de gravitation de la Terre.
L’échec pouvait être attribué :
La première hypothèse était celle de H.A. Lorentz. Il concevait qu’une contraction proportionnelle des bras de l’instrument pouvait annuler les variations des longueurs d’onde lumineuse attendues en raison de l’addition des vitesses. Mais il n'a pas pu donner une explication physique de cette contraction.
La seconde hypothèse était celle du mathématicien Poincaré qui a fait simplement confiance à l’expérimentation des physiciens et a formulé le principe de relativité affirmant que la vitesse de la lumière est la même pour tout observateur parce que « les lois physiques s'expriment de manière identique dans tous les référentiels inertiels ». Il déclara aussi l’éther, supposé par Maxwell comme un fluide en mouvement, comme inutile, mais cela ne supprime pas le référentiel d’espace.
La Relativité de l’espace-temps d’Einstein
Le principe de relativité a érigé l’échec d’une expérience en principe et loi. C’est une première erreur épistémologique.
Le « génie » d’Einstein » *) a été d’associer à la première une seconde erreur épistémologique qui compense la première, la relativisation des référentiels classiques d’espace et de temps : l’espace-temps de Minkowski qui avait été son prof de math à Zurich. Cet espace-temps à quatre dimensions n’était à l’origine qu’un artifice mathématique, une représentation matricielle de trajectoires selon la mécanique classique. Mais cette métaphore mathématique a été prise pour la réalité elle-même.
Les variables d’espace xyz et de temps t, qui représentaient pour Poincaré et Lorentz des longueurs d’onde et des périodes d’ondes, Einstein les interpréta littéralement comme des contractions ou dilatations de l’espace-temps.
Ainsi on parvint à certaines prédictions vérifiées qui suffirent pour dire que la théorie est juste alors qu’en raison de ses présuppositions elle n’est pas vraie et présente des failles.
De nouvelles évidences donnent raison à l’interprétation de l’expérience de Michelson que Lorentz a proposée. Elles conduisent à une nouvelle conception de la relativité qui conserve les référentiels classiques d’espace et de temps, une relativité de la matière et de l’observation au lieu de la relativisation des référentiels d’espace et de temps.
*) La dyslexie de l'enfance d'Einstein témoigne de sa dysperception spatiale connue et traitée en acupuncture sous le nom "instabilité de latéraliitéé"
Depuis toujours les astronomes ont connu l'espace formé par les "étoiles fixes" qui permettaient aussi aux navigateurs de s'orienter.
Depuis Galilée on sait que la Terre gravite autour du soleil relativement à cet espace de référence, à la vitesse d’environ 30 km/s. On supposait depuis l’antiquité que la vitesse de la lumière était limitée et constante et des mesures ont été tentées depuis Galilée selon une douzaine de méthodes (lien wiki). Michelson lui-même l’avait mesurée avant de concevoir son interféromètre qui devait mesurer la vitesse de la Terre dans l’espace.
L’expérience de Michelson a échoué: elle n’a enregistré aucune différence de vitesses dans aucune des directions de mesure et selon aucune des différentes phases de rotation ou de gravitation de la Terre.
L’échec pouvait être attribué :
- à une erreur de la méthode d’observation, c’est-à-dire à la conception de l’expérience,
- à une aberration du phénomène observé: la lumière.
La première hypothèse était celle de H.A. Lorentz. Il concevait qu’une contraction proportionnelle des bras de l’instrument pouvait annuler les variations des longueurs d’onde lumineuse attendues en raison de l’addition des vitesses. Mais il n'a pas pu donner une explication physique de cette contraction.
La seconde hypothèse était celle du mathématicien Poincaré qui a fait simplement confiance à l’expérimentation des physiciens et a formulé le principe de relativité affirmant que la vitesse de la lumière est la même pour tout observateur parce que « les lois physiques s'expriment de manière identique dans tous les référentiels inertiels ». Il déclara aussi l’éther, supposé par Maxwell comme un fluide en mouvement, comme inutile, mais cela ne supprime pas le référentiel d’espace.
La Relativité de l’espace-temps d’Einstein
Le principe de relativité a érigé l’échec d’une expérience en principe et loi. C’est une première erreur épistémologique.
Le « génie » d’Einstein » *) a été d’associer à la première une seconde erreur épistémologique qui compense la première, la relativisation des référentiels classiques d’espace et de temps : l’espace-temps de Minkowski qui avait été son prof de math à Zurich. Cet espace-temps à quatre dimensions n’était à l’origine qu’un artifice mathématique, une représentation matricielle de trajectoires selon la mécanique classique. Mais cette métaphore mathématique a été prise pour la réalité elle-même.
Les variables d’espace xyz et de temps t, qui représentaient pour Poincaré et Lorentz des longueurs d’onde et des périodes d’ondes, Einstein les interpréta littéralement comme des contractions ou dilatations de l’espace-temps.
Ainsi on parvint à certaines prédictions vérifiées qui suffirent pour dire que la théorie est juste alors qu’en raison de ses présuppositions elle n’est pas vraie et présente des failles.
De nouvelles évidences donnent raison à l’interprétation de l’expérience de Michelson que Lorentz a proposée. Elles conduisent à une nouvelle conception de la relativité qui conserve les référentiels classiques d’espace et de temps, une relativité de la matière et de l’observation au lieu de la relativisation des référentiels d’espace et de temps.
*) La dyslexie de l'enfance d'Einstein témoigne de sa dysperception spatiale connue et traitée en acupuncture sous le nom "instabilité de latéraliitéé"
Re: Critique de la relativité restreinte et de ses conséquences
Principes de géométrie d'ondes
Dès 1980, Yuri N. Ivanov, ingénieur russe, a découvert pourquoi la matière se contracte en fonction de la vitesse comme Lorentz l’avait suggéré par sa formule de transformation, pour expliquer l’échec de Michelson.
Je n’explique ici que les principes. La théorie et les expériences sont présentées en anglais dans Rhythmodynamics et avec animations dans une présentation française téléchargeable presentation_fr.pps
Ivanov commence par où toute expérimentation devrait commencer : des considérations épistémologiques et l’établissement de postulats.
Il affirme l’espace euclidien classique comme référentiel fondamental et condition ce toute description géométrique et physique, et pose trois postulats :1) Des oscillateurs harmoniques 2) un milieu transformant les vibrations en propagation d’ondes sphériques à vitesse constante ; 3) l’interaction avec au moins un autres oscillateur, formant un système d’oscillateurs reliés par des ondes stationnaires.
La physique quantique ne contredit pas que les atomes sont des oscillateurs harmoniques, que l’espace est un milieu physique d’ondes électromagnétiques et que deux oscillateurs couplés sur un même support ajustent leurs fréquences et phases pour former des ondes stationnaires.
Il est connu aussi que l’onde se propage dans le milieu à vitesse constante sous forme sphérique à partir du point d’émission. Si l’émetteur d’onde se déplace, les longueurs d’onde se contractent à l’avant et se dilatent à l’arrière, ce qui donne ce genre de figures.
C’est cela qu’on constate au son de la sirène d’une ambulance ou voiture de police : des fréquences aiguës à l’avant, graves à l’arrière. C’est ce qu’on appelle effet Doppler.
La relativité des dimensions de la matière
Ce qui est nouveau et que Ivanov a découvert par cette géométrie d’ondes et par vérification expérimentale avec des émetteurs sonores couplés, c’est que les longueurs d’ondes stationnaires entre oscillateurs de même fréquence qui se déplacent dans le milieu, diminuent. Elles diminuent en raison de l’ajustage des phases entre fréquences raccourcies à l’avant des oscillateurs (rouge) et rallongées à l’arrière (vert), comme le montre l’animation.
L = Racine{(1+b)*(1-b)} = Racine(1-b2) avec b = v/c
Tout corps solide peut être considéré comme un paquet d'ondes stationnaires, avec des atomes logés dans les noeuds. Les atomes sont les oscillateurs sources d'ondes dont les interactions sous forme d’ondes stationnaires constituent la structure et cohérence de la matière.
Rapports inverses du référentiel et de l’observable.
Dans la RR, l’observateur est considéré comme « référentiel inertiel » et l’espace et temps se transforment par rapport à lui et deviennent l’observable. C’est une approche à présupposés anthropocentriques et matérialistes.
Dans la relativité d’Ivanov, espace et temps restent les référentiels absolus et l’observable comme l’observateur lui-même (c.-à-d. la matière) se transforment en fonction de leur vitesse par rapport à l’espace.
Alors que la RR ne décrit que les vitesses relatives de deux observateurs par la moyenne géométrique; la relativité d’Ivanov les décrit par rapport à l’espace commun par une moyenne harmonique en tenant compte aussi de l’angle d’incidence. Cette relativité est plus générale et plus riche de conséquences.
Sur la base des rapports de fréquences et de phases à l’intérieur du solide Ivanov a fait d’autre découvertes qui conduisent à des projets d’applications inédits. Il fournit des explications de phénomènes que la physique admet simplement comme des « faits » tels que l’inertie ou masse, le mouvement dit inertiel à vitesse constante ou l’accélération, en particulier l’accélération gravitationnelle.
Par rapport à la RG il y a une inversion analogue des référentiels. Dans la conception ondulatoire de la matière, ce n’est pas l’espace qui se courbe. Les lignes d’équidistance qui, dans le schéma de « toile » courbée par la masse de la RG, se rapprochent du « trou » sont à interpréter comme des rétrécissements d’ondes stationnaires tournant en vortex en accélérant vers le centre. Il faut se rappeler l’équivalence entre masse et fréquence formulée par Louis de Broglie.
Ceci conduit à des modèles d’interprétations électromagnétiques des étoiles supermassives (alias trous noirs) qui ont déjà été formulées dans le gravitomagnétisme par Thierry De Mees.
La théorie est réfutable, c'est à dire perfectible, non pas par celle d'Einstein, mais par l'électromagnétisme.
Dès 1980, Yuri N. Ivanov, ingénieur russe, a découvert pourquoi la matière se contracte en fonction de la vitesse comme Lorentz l’avait suggéré par sa formule de transformation, pour expliquer l’échec de Michelson.
Je n’explique ici que les principes. La théorie et les expériences sont présentées en anglais dans Rhythmodynamics et avec animations dans une présentation française téléchargeable presentation_fr.pps
Ivanov commence par où toute expérimentation devrait commencer : des considérations épistémologiques et l’établissement de postulats.
Il affirme l’espace euclidien classique comme référentiel fondamental et condition ce toute description géométrique et physique, et pose trois postulats :1) Des oscillateurs harmoniques 2) un milieu transformant les vibrations en propagation d’ondes sphériques à vitesse constante ; 3) l’interaction avec au moins un autres oscillateur, formant un système d’oscillateurs reliés par des ondes stationnaires.
La physique quantique ne contredit pas que les atomes sont des oscillateurs harmoniques, que l’espace est un milieu physique d’ondes électromagnétiques et que deux oscillateurs couplés sur un même support ajustent leurs fréquences et phases pour former des ondes stationnaires.
Il est connu aussi que l’onde se propage dans le milieu à vitesse constante sous forme sphérique à partir du point d’émission. Si l’émetteur d’onde se déplace, les longueurs d’onde se contractent à l’avant et se dilatent à l’arrière, ce qui donne ce genre de figures.
La relativité des dimensions de la matière
Ce qui est nouveau et que Ivanov a découvert par cette géométrie d’ondes et par vérification expérimentale avec des émetteurs sonores couplés, c’est que les longueurs d’ondes stationnaires entre oscillateurs de même fréquence qui se déplacent dans le milieu, diminuent. Elles diminuent en raison de l’ajustage des phases entre fréquences raccourcies à l’avant des oscillateurs (rouge) et rallongées à l’arrière (vert), comme le montre l’animation.
La longueur d’onde stationnaire (2 ventres d’onde en blanc) est la moyenne géométrique des deux ondes. Sa diminution de longueur en fonction de la vitesse correspond à la transformation de Lorentz.
Tout corps solide peut être considéré comme un paquet d'ondes stationnaires, avec des atomes logés dans les noeuds. Les atomes sont les oscillateurs sources d'ondes dont les interactions sous forme d’ondes stationnaires constituent la structure et cohérence de la matière.
On peut démontrer que lorsque le paquet d'ondes stationnaires est en mouvement, il rétrécit dans toutes les directions en fonction de la vitesse selon la formule de Lorentz. Par conséquent, dans l’expérience de Michelson, la contraction des bras de l’interféromètre et celle des ondes du faisceau de lumière sont toujours égales, ce qui rend impossible la mesure d’un décalage de phase. Ceci explique l'échec de l'essai de Michelson, Morley et Miller de mesurer avec cet instrument la vitesse de la Terre dans l'espace. La matière et la lumière sont de même nature et ne peuvent pas se mesurer réciproquement.
Rapports inverses du référentiel et de l’observable.
Dans la RR, l’observateur est considéré comme « référentiel inertiel » et l’espace et temps se transforment par rapport à lui et deviennent l’observable. C’est une approche à présupposés anthropocentriques et matérialistes.
Dans la relativité d’Ivanov, espace et temps restent les référentiels absolus et l’observable comme l’observateur lui-même (c.-à-d. la matière) se transforment en fonction de leur vitesse par rapport à l’espace.
Alors que la RR ne décrit que les vitesses relatives de deux observateurs par la moyenne géométrique; la relativité d’Ivanov les décrit par rapport à l’espace commun par une moyenne harmonique en tenant compte aussi de l’angle d’incidence. Cette relativité est plus générale et plus riche de conséquences.
Sur la base des rapports de fréquences et de phases à l’intérieur du solide Ivanov a fait d’autre découvertes qui conduisent à des projets d’applications inédits. Il fournit des explications de phénomènes que la physique admet simplement comme des « faits » tels que l’inertie ou masse, le mouvement dit inertiel à vitesse constante ou l’accélération, en particulier l’accélération gravitationnelle.
Par rapport à la RG il y a une inversion analogue des référentiels. Dans la conception ondulatoire de la matière, ce n’est pas l’espace qui se courbe. Les lignes d’équidistance qui, dans le schéma de « toile » courbée par la masse de la RG, se rapprochent du « trou » sont à interpréter comme des rétrécissements d’ondes stationnaires tournant en vortex en accélérant vers le centre. Il faut se rappeler l’équivalence entre masse et fréquence formulée par Louis de Broglie.
Ceci conduit à des modèles d’interprétations électromagnétiques des étoiles supermassives (alias trous noirs) qui ont déjà été formulées dans le gravitomagnétisme par Thierry De Mees.
La théorie est réfutable, c'est à dire perfectible, non pas par celle d'Einstein, mais par l'électromagnétisme.
Re: Critique de la relativité restreinte et de ses conséquences
Paul Ballard résume la Critique de la Relativité Restreinte du professeur Dingle dans son document La Science à la croisée des chemins
« La grande majorité des physiciens, incluant pratiquement tous ceux qui conduisent des expériences de physique et qui sont connus dans le monde comme des leaders scientifiques admettent, dès qu'ils sont confrontés à une critique implacable de la Relativité Restreinte, qu'ils la considèrent comme des balivernes. Ils l'admettent parce que quelques mathématiciens spécialistes du sujet disent qu'ils doivent l'accepter, ou parce que bien que ne la comprenant pas du tout ils acceptent la théorie établie par d'autres et donc l'admettent comme un cadre sûr pour leurs expériences. La réponse des spécialistes dans ce domaine est soit le silence complet soit une variété de dérobades formulées en langage mystique qui sert à convaincre les autres que la théorie est trop abstruse pour qu'ils la comprennent et qu'ils peuvent à coup sûr faire confiance aux hommes ayant le talent mathématique de rédiger avec assurance en termes intelligents. »
"Dingle décrit quatre quiproquos fondamentaux expliquant l'acceptation de la Relativité Restreinte depuis si longtemps en dépit de ses particularités insoutenables.
En premier, et le plus sérieusement, c'est l'idée erronée que les mathématiques gouvernent l’univers physique et que ce n’est pas de la physique que sont déduites les formulations mathématiques
La deuxième considération des significations différentes associées au mot temps. La théorie de la Relativité Restreinte d'Einstein n'a rien à voir avec le temps au sens de l'éternité ou de l’évolution ; ce terme y concerne des durées et des périodes, d’intervalles de temps mesurées et matérialisées par des horloges. Dingle déclare que le principal facteur créant l'illusion que la Relativité est inintelligible, ou au moins très difficile, est qu'elle a quelque chose dire au sujet de la nature du temps.
La troisième source de confusion est la substitution des observateurs en mouvement réciproque dans des systèmes de coordonnées. L'impression est donnée que cet aspect technique accessoire est un aspect essentiel de la théorie. Il n’est qu’une conséquence de la suppression d’un référentiel spatial commun.
La dernière erreur imprégnant la littérature de la Relativité est l'interprétation littérale des métaphores. C'est illustré le mieux dans l'augmentation de la masse avec la vitesse.
En fait toutes les vérifications expérimentales supposées de la Relativité peuvent, avec exactement la même justification, servir à vérifier la théorie antérieure et différente de Lorentz. La compatibilité de la relation de la masse à la vitesse avec la théorie de Lorentz a été signalée par Lorentz lui-même, et montrée être en accord avec des observations déjà faites avant qu'Einstein présente sa théorie."
Extrait de http://www.alterinfo.net/La-theorie-d-Einstein-refutee_a10817.html
« La grande majorité des physiciens, incluant pratiquement tous ceux qui conduisent des expériences de physique et qui sont connus dans le monde comme des leaders scientifiques admettent, dès qu'ils sont confrontés à une critique implacable de la Relativité Restreinte, qu'ils la considèrent comme des balivernes. Ils l'admettent parce que quelques mathématiciens spécialistes du sujet disent qu'ils doivent l'accepter, ou parce que bien que ne la comprenant pas du tout ils acceptent la théorie établie par d'autres et donc l'admettent comme un cadre sûr pour leurs expériences. La réponse des spécialistes dans ce domaine est soit le silence complet soit une variété de dérobades formulées en langage mystique qui sert à convaincre les autres que la théorie est trop abstruse pour qu'ils la comprennent et qu'ils peuvent à coup sûr faire confiance aux hommes ayant le talent mathématique de rédiger avec assurance en termes intelligents. »
"Dingle décrit quatre quiproquos fondamentaux expliquant l'acceptation de la Relativité Restreinte depuis si longtemps en dépit de ses particularités insoutenables.
En premier, et le plus sérieusement, c'est l'idée erronée que les mathématiques gouvernent l’univers physique et que ce n’est pas de la physique que sont déduites les formulations mathématiques
La deuxième considération des significations différentes associées au mot temps. La théorie de la Relativité Restreinte d'Einstein n'a rien à voir avec le temps au sens de l'éternité ou de l’évolution ; ce terme y concerne des durées et des périodes, d’intervalles de temps mesurées et matérialisées par des horloges. Dingle déclare que le principal facteur créant l'illusion que la Relativité est inintelligible, ou au moins très difficile, est qu'elle a quelque chose dire au sujet de la nature du temps.
La troisième source de confusion est la substitution des observateurs en mouvement réciproque dans des systèmes de coordonnées. L'impression est donnée que cet aspect technique accessoire est un aspect essentiel de la théorie. Il n’est qu’une conséquence de la suppression d’un référentiel spatial commun.
La dernière erreur imprégnant la littérature de la Relativité est l'interprétation littérale des métaphores. C'est illustré le mieux dans l'augmentation de la masse avec la vitesse.
En fait toutes les vérifications expérimentales supposées de la Relativité peuvent, avec exactement la même justification, servir à vérifier la théorie antérieure et différente de Lorentz. La compatibilité de la relation de la masse à la vitesse avec la théorie de Lorentz a été signalée par Lorentz lui-même, et montrée être en accord avec des observations déjà faites avant qu'Einstein présente sa théorie."
Extrait de http://www.alterinfo.net/La-theorie-d-Einstein-refutee_a10817.html
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