TCHERNOBYL, accident par monopôles magnétiques ?
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TCHERNOBYL, accident par monopôles magnétiques ?
Résume de l’article de Lochak :
Une nouvelle hypothèse sur l’origine de la catastrophe Tchernobyl
http://www.lochak.com/Z-files/I_Tchernobyl_Nouvelle_Hypothese_Georges_Lochak.pdf
Lire aussi l’article de provenance russe : Monopôles, les aimants terribles
http://www.urleon.ru/pop/SEA.pdf
George Lochak, ancien proche collaborateur de Louis de Broglie, explique des trouvailles étranges après l’accident de Tchernobyl par la production de monopôles magnétiques.
Les découvertes étranges
Tout d’abord, il n’y a pas eu une explosion mais deux, à quelques secondes d’intervalle, la première plus sourde, mais déjà puissante, entendue à des kilomètres, la suivante énorme, c’est celle qui s’est produite dans le réacteur, lieu de la catastrophe. Pendant plusieurs jours, après la catastrophe, une intense lueur a rayonné au dessus du réacteur, émettant des couleurs que tous les témoins ont qualifiées d’ « étranges »
Dans la salle des machines, lieu de la première explosion, les câbles électriques ont arraché leur fixation, brisé les protections qui les entouraient et se sont violemment précipités contre les tuyaux de vapeur.
L’intérieur du réacteur a été exploré grâce à un périscope introduit par une ouverture forée dans la paroi restée intacte et on a découvert que cet intérieur était vide ! Ce qui signifie qu’une partie importante du combustible nucléaire avait disparu. Or ces dizaines de tonnes d’uranium ne pouvaient passer inaperçues.
La face interne du réacteur a été trouvée étonnamment indemne. La peinture était restée intacte. Or on a pris soin de vérifier qu’elle ne résistait pas à une température supérieure à 300° C ; on a même retrouvé des marques au crayon tracées pendant la construction.
Dans les restes de combustible nucléaire récupérés, la composition isotopique a changé, dans le sens d’un enrichissement en uranium 235, et cela jusqu’à 27%, alors que, dans un réacteur normal de ce type, ce rapport ne dépasse pas 2% et comme les barres devaient être changées, elles n’avaient pas plus de 1,1% de U235.
En revanche, des quantités considérables d’éléments chimiques étrangers ont apparu, en particulier des tonnes d’aluminium, métal qui n’entre pas dans la construction du réacteur. Il y a eu transmutation d’éléments « à froid » et non pas par réaction thermonucléaire.
Lochak conclu qu’il est difficile de se laisser convaincre par l’explication actuelle de la catastrophe de Tchernobyl : elle ne rend pas compte d’un aspect essentiel qui est l’extrême soudaineté de l’accident et elle laisse de côté de nombreux faits d’observation sur lesquels il n’est pas possible de faire l’impasse.
Les expériences russes
Lochak a rencontré les physiciens russes qui ont exploré Tchernobyl et effectué des expériences pour chercher une explication
Les expériences portent sur les effets d’une décharge électrique de quelques kilovolts à travers une bandelette métallique enfermée dans une éprouvette en polyéthylène remplie d’eau.
La décharge électrique produit une explosion violente. Bien que l’éprouvette soit fermée, il se forme au dessus une sorte de foudre en boule (g) durable, lumineuse, avec des couleurs étranges. Une décomposition spectrale complexe de la bandelette métallique et de l’environnement qui révèle de nombreux éléments chimiques, étrangers à la composition initiale.
Pas de rayonnements radioactifs mais si on dissout un sel d’uranium dans l’eau de l’éprouvette, la composition isotopique de l’uranium est modifiée dans le sens d’un enrichissement en U235, dans des proportions comparables à celles observées à Tchernobyl.
Une théorie ancienne : le monopole magnétique
Lochak rappelle que l’hypothèse de l’existence de charges magnétiques libres - de pôles magnétiques nord ou sud isolés - a été explicitement énoncée par Pierre Curie en 1894 sur la base de ses fameuses lois de symétrie et qu’elle implique la chiralité de rotation. En 1931, Dirac a suggéré que la charge magnétique g du monopôle devrait être un multiple entier d’une charge magnétique élémentaire (137/2 = 68,5 fois la charge e de l’électron) . D’après ce raisonnement, la charge magnétique est beaucoup plus grande que la charge électrique fondamentale.
Parce que la polarité magnétique isolée n’a jamais été expérimentalement prouvée, la théorie a été oubliée mais Lochak pense qu’elle peut expliquer l’accident de Tchernobyl.
Conclusion de Lochak :
Une décharge électrique dans le circuit de refroidissement produit l’explosion dans la salle de machine et crée un flux de monopôles emportés vers le réacteur, favorisant ainsi de nouvelles sources de neutrons qui augmentent la réactivité du réacteur et pousse à son emballement.
Réflexion personnelle
A tous les niveaux (cosmologique, biologique, quantique) les nouvelles découvertes et théories dissidentes convergent vers l’unification holographique fondée sur l’électromagnétisme.
Si la communauté scientifique s’obstine dans les dogmes matérialistes actuels du modèle standard des particules et bosons de la MQ et ignore les fondements électromagnétiques, faut-il s’attendre à d’autres accidents dans les centrales nucléaires ou aussi dans les collisionneurs de particules ?
Il me semble que les Russes sont (heureusement) bien en avance sur les apprentis sorciers occidentaux dans la compréhension de l’électronique et du magnétisme …
Une nouvelle hypothèse sur l’origine de la catastrophe Tchernobyl
http://www.lochak.com/Z-files/I_Tchernobyl_Nouvelle_Hypothese_Georges_Lochak.pdf
Lire aussi l’article de provenance russe : Monopôles, les aimants terribles
http://www.urleon.ru/pop/SEA.pdf
George Lochak, ancien proche collaborateur de Louis de Broglie, explique des trouvailles étranges après l’accident de Tchernobyl par la production de monopôles magnétiques.
Les découvertes étranges
Tout d’abord, il n’y a pas eu une explosion mais deux, à quelques secondes d’intervalle, la première plus sourde, mais déjà puissante, entendue à des kilomètres, la suivante énorme, c’est celle qui s’est produite dans le réacteur, lieu de la catastrophe. Pendant plusieurs jours, après la catastrophe, une intense lueur a rayonné au dessus du réacteur, émettant des couleurs que tous les témoins ont qualifiées d’ « étranges »
Dans la salle des machines, lieu de la première explosion, les câbles électriques ont arraché leur fixation, brisé les protections qui les entouraient et se sont violemment précipités contre les tuyaux de vapeur.
L’intérieur du réacteur a été exploré grâce à un périscope introduit par une ouverture forée dans la paroi restée intacte et on a découvert que cet intérieur était vide ! Ce qui signifie qu’une partie importante du combustible nucléaire avait disparu. Or ces dizaines de tonnes d’uranium ne pouvaient passer inaperçues.
La face interne du réacteur a été trouvée étonnamment indemne. La peinture était restée intacte. Or on a pris soin de vérifier qu’elle ne résistait pas à une température supérieure à 300° C ; on a même retrouvé des marques au crayon tracées pendant la construction.
Dans les restes de combustible nucléaire récupérés, la composition isotopique a changé, dans le sens d’un enrichissement en uranium 235, et cela jusqu’à 27%, alors que, dans un réacteur normal de ce type, ce rapport ne dépasse pas 2% et comme les barres devaient être changées, elles n’avaient pas plus de 1,1% de U235.
En revanche, des quantités considérables d’éléments chimiques étrangers ont apparu, en particulier des tonnes d’aluminium, métal qui n’entre pas dans la construction du réacteur. Il y a eu transmutation d’éléments « à froid » et non pas par réaction thermonucléaire.
Lochak conclu qu’il est difficile de se laisser convaincre par l’explication actuelle de la catastrophe de Tchernobyl : elle ne rend pas compte d’un aspect essentiel qui est l’extrême soudaineté de l’accident et elle laisse de côté de nombreux faits d’observation sur lesquels il n’est pas possible de faire l’impasse.
Les expériences russes
Lochak a rencontré les physiciens russes qui ont exploré Tchernobyl et effectué des expériences pour chercher une explication
Les expériences portent sur les effets d’une décharge électrique de quelques kilovolts à travers une bandelette métallique enfermée dans une éprouvette en polyéthylène remplie d’eau.
La décharge électrique produit une explosion violente. Bien que l’éprouvette soit fermée, il se forme au dessus une sorte de foudre en boule (g) durable, lumineuse, avec des couleurs étranges. Une décomposition spectrale complexe de la bandelette métallique et de l’environnement qui révèle de nombreux éléments chimiques, étrangers à la composition initiale.
Pas de rayonnements radioactifs mais si on dissout un sel d’uranium dans l’eau de l’éprouvette, la composition isotopique de l’uranium est modifiée dans le sens d’un enrichissement en U235, dans des proportions comparables à celles observées à Tchernobyl.
Une théorie ancienne : le monopole magnétique
Lochak rappelle que l’hypothèse de l’existence de charges magnétiques libres - de pôles magnétiques nord ou sud isolés - a été explicitement énoncée par Pierre Curie en 1894 sur la base de ses fameuses lois de symétrie et qu’elle implique la chiralité de rotation. En 1931, Dirac a suggéré que la charge magnétique g du monopôle devrait être un multiple entier d’une charge magnétique élémentaire (137/2 = 68,5 fois la charge e de l’électron) . D’après ce raisonnement, la charge magnétique est beaucoup plus grande que la charge électrique fondamentale.
Parce que la polarité magnétique isolée n’a jamais été expérimentalement prouvée, la théorie a été oubliée mais Lochak pense qu’elle peut expliquer l’accident de Tchernobyl.
Conclusion de Lochak :
Une décharge électrique dans le circuit de refroidissement produit l’explosion dans la salle de machine et crée un flux de monopôles emportés vers le réacteur, favorisant ainsi de nouvelles sources de neutrons qui augmentent la réactivité du réacteur et pousse à son emballement.
Réflexion personnelle
A tous les niveaux (cosmologique, biologique, quantique) les nouvelles découvertes et théories dissidentes convergent vers l’unification holographique fondée sur l’électromagnétisme.
Si la communauté scientifique s’obstine dans les dogmes matérialistes actuels du modèle standard des particules et bosons de la MQ et ignore les fondements électromagnétiques, faut-il s’attendre à d’autres accidents dans les centrales nucléaires ou aussi dans les collisionneurs de particules ?
Il me semble que les Russes sont (heureusement) bien en avance sur les apprentis sorciers occidentaux dans la compréhension de l’électronique et du magnétisme …
Re: TCHERNOBYL, accident par monopôles magnétiques ?
Sputnik a écrit:Le grand collisionneur de hadrons (LHC), écrit The Sun, a une fois de plus rendu les chercheurs perplexes. Pendant qu'ils faisaient une expérience de routine, le ciel au-dessus du laboratoire a brusquement changé de couleur, et est devenue rouge écarlate ponctué de grandes taches noires formées par d'impressionnants tourbillons de vent.
Tout cela a laissé supposer aux amateurs de phénomènes surnaturels qu'un "grand portail vers un autre monde" avait été ouvert juste au-dessus de la Suisse.
Toujours est-il que les chercheurs se sont empressés de démentir cette version parascientifique.
À les en croire, ce phénomène n'a rien de surnaturel, loin s'en faut. Il serait dû à l'une des expériences qu'ils ont faites ce jour-là: quelque chose aurait mal tourné alors qu'ils essayaient de collecter des microparticules.
Les images du magazine The Sun, prises le 24 juin:
Ce n'est ni du surnaturel ni un phénomène explicable selon les théories de la mécanique quantique et de la cosmologie du big bang
Ignorant l'importance fodamentale et universelle de l'électromagnétisme et du plasma et la fusion à froid, ils ne savent même pas ce qu'ils provoquent
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