Chambres rituelles secrètes des Andes
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Chambres rituelles secrètes des Andes
Simulations secrètes de mort imminente
Les chullpas de Sillustani et Cutimbo (lac Umayo, près de Puno, au Pérou) n'étaient pas des tombes, elles étaient utilisées pour une simulation secrète d'expérience de mort imminente de laquelle tous les candidats sont revenus «ressuscités».
L'histoire conventionnelle affirme que les Incas sont apparus soudainement au cours du XVe siècle. En quatre-vingt-dix ans leur capacité à façonner la pierre a progressé à un rythme fulgurant, depuis de simples roches fluviales assemblées avec du mortier aux monuments mégalithiques dont l'assemblage à rainures et languettes de la maçonnerie, est si étroitement disposé qu'un poil d'alpaga ne peut être inséré entre les blocs.
Dans toute la région, il était de notoriété publique que les Incas n’étaient pas du tout maîtres en matière de maçonnerie monolithique comme l’ont prouvé les efforts de 20 000 hommes qui tentèrent de déplacer une pierre gigantesque du temple de Saqsayhuaman, et que 3 000 d’entre eux furent écrasés lorsque les cordes cédèrent. En effet, l'on a beau parcourir les Andes, les preuves d'ajouts apportés par les Incas aux structures existantes, ne sont pas à l'échelle d'évaluation de la qualité des mégalithes.
En deux endroits cette différence peut être mise en évidence, à Cutimbo et à Sillustani, où ils existent des tours très inhabituelles appelées chullpas. En reconsidérant leur technique de construction, nous pouvons également révéler comment un ancien rituel, une fois pratiqué à l'échelle mondiale, s'est déroulé ici, réévaluant l'idée erronée que ces tours inhabituelles ont été construites pour servir de tombeau.
Confondus avec des tombes
Même à l'époque, les chroniqueurs locaux soupçonnaient que ces tours mégalithiques étaient bien antérieures aux Incas et ont ultérieurement inspiré leurs pratiques funéraires. Les chullpas sont en contradiction avec la fonction funéraire, et leur concept original n'était plus compris au moment de l'arrivée des Incas. D'une part, la plupart des chullpas ne contenaient aucun corps ou, la datation des dépouilles ne s'accordaient pas avec la grande ancienneté des constructions.
La situation a son parallèle en Egypte. Il n’existe aucun élément de preuve pouvant étayer la théorie selon laquelle les pyramides ont été utilisées comme tombes ; Hérodote lui-même raconte comment le pharaon Khéphren «s'est construit un tombeau souterrain, sur la colline où se trouvent les pyramides». Ensuite, le problème fut encore aggravé par l'interprétation erronée des concepts égyptiens de vivre et de mourir en les prenant au pied de la lettre. À ce jour, en raison de la répétition, leur incompréhension reste ancrée dans ce champ très conservateur.
Aucun document écrit n'est parvenu jusqu'à nous pour nous offrir un aperçu du but réel des chullpas mais, en les comparant à un certain rituel dans d'autres parties du monde, une image solide émerge. En érigeant ces tours inhabituelles, les constructeurs inconnus, tout comme leurs pairs égyptiens, se livraient à un rituel connu uniquement des adeptes des écoles de Mystères de la Chine à l'Égypte ancienne en passant par la Sibérie, la Scandinavie, les Amériques et l'Australie : le rituel de ressusciter les morts, est également décrit par l'apôtre Philippe comme une " résurrection vivante".
Une résurrection vivante
La perception de la résurrection dans le monde occidental a été complètement falsifiée. À l'époque de JC, pratiquement tous les cultes ésotériques, y compris le christianisme gnostique, affirmaient comment l'Église catholique a manipulé la résurrection de JC et l'a utilisée pour promouvoir une religion ersatz. Ces cultes, comme l'atteste l'histoire, considéraient la résurrection comme un concept métaphorique : un rituel secret impliquant une expérience volontaire de mort imminente par un(e) candidat(e) à l'intérieur d'une chambre d'initiation, par laquelle il ou elle accédait pleinement conscient à l'Autre Monde et revenait pleinement conscient de tout ce qu'il ou elle avait vu et vécu.
Les chullpas de Sillustani et Cutimbo (lac Umayo, près de Puno, au Pérou) n'étaient pas des tombes, elles étaient utilisées pour une simulation secrète d'expérience de mort imminente de laquelle tous les candidats sont revenus «ressuscités».
L'histoire conventionnelle affirme que les Incas sont apparus soudainement au cours du XVe siècle. En quatre-vingt-dix ans leur capacité à façonner la pierre a progressé à un rythme fulgurant, depuis de simples roches fluviales assemblées avec du mortier aux monuments mégalithiques dont l'assemblage à rainures et languettes de la maçonnerie, est si étroitement disposé qu'un poil d'alpaga ne peut être inséré entre les blocs.
Dans toute la région, il était de notoriété publique que les Incas n’étaient pas du tout maîtres en matière de maçonnerie monolithique comme l’ont prouvé les efforts de 20 000 hommes qui tentèrent de déplacer une pierre gigantesque du temple de Saqsayhuaman, et que 3 000 d’entre eux furent écrasés lorsque les cordes cédèrent. En effet, l'on a beau parcourir les Andes, les preuves d'ajouts apportés par les Incas aux structures existantes, ne sont pas à l'échelle d'évaluation de la qualité des mégalithes.
En deux endroits cette différence peut être mise en évidence, à Cutimbo et à Sillustani, où ils existent des tours très inhabituelles appelées chullpas. En reconsidérant leur technique de construction, nous pouvons également révéler comment un ancien rituel, une fois pratiqué à l'échelle mondiale, s'est déroulé ici, réévaluant l'idée erronée que ces tours inhabituelles ont été construites pour servir de tombeau.
Confondus avec des tombes
Même à l'époque, les chroniqueurs locaux soupçonnaient que ces tours mégalithiques étaient bien antérieures aux Incas et ont ultérieurement inspiré leurs pratiques funéraires. Les chullpas sont en contradiction avec la fonction funéraire, et leur concept original n'était plus compris au moment de l'arrivée des Incas. D'une part, la plupart des chullpas ne contenaient aucun corps ou, la datation des dépouilles ne s'accordaient pas avec la grande ancienneté des constructions.
La situation a son parallèle en Egypte. Il n’existe aucun élément de preuve pouvant étayer la théorie selon laquelle les pyramides ont été utilisées comme tombes ; Hérodote lui-même raconte comment le pharaon Khéphren «s'est construit un tombeau souterrain, sur la colline où se trouvent les pyramides». Ensuite, le problème fut encore aggravé par l'interprétation erronée des concepts égyptiens de vivre et de mourir en les prenant au pied de la lettre. À ce jour, en raison de la répétition, leur incompréhension reste ancrée dans ce champ très conservateur.
Aucun document écrit n'est parvenu jusqu'à nous pour nous offrir un aperçu du but réel des chullpas mais, en les comparant à un certain rituel dans d'autres parties du monde, une image solide émerge. En érigeant ces tours inhabituelles, les constructeurs inconnus, tout comme leurs pairs égyptiens, se livraient à un rituel connu uniquement des adeptes des écoles de Mystères de la Chine à l'Égypte ancienne en passant par la Sibérie, la Scandinavie, les Amériques et l'Australie : le rituel de ressusciter les morts, est également décrit par l'apôtre Philippe comme une " résurrection vivante".
Une résurrection vivante
La perception de la résurrection dans le monde occidental a été complètement falsifiée. À l'époque de JC, pratiquement tous les cultes ésotériques, y compris le christianisme gnostique, affirmaient comment l'Église catholique a manipulé la résurrection de JC et l'a utilisée pour promouvoir une religion ersatz. Ces cultes, comme l'atteste l'histoire, considéraient la résurrection comme un concept métaphorique : un rituel secret impliquant une expérience volontaire de mort imminente par un(e) candidat(e) à l'intérieur d'une chambre d'initiation, par laquelle il ou elle accédait pleinement conscient à l'Autre Monde et revenait pleinement conscient de tout ce qu'il ou elle avait vu et vécu.
Freya- Messages : 1338
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