Biophysique optique ou Biologie de la Lumière
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Biophysique optique ou Biologie de la Lumière
A l’occasion des controverses soulevées par des critiques de Luc Montagnier, découvreur du virus HIV, concernant les traitements des virus, Matthew Ehret a publié des articles qui saluent le renouveau de la biophysique optique.
La découverte de la chiralité optique des substances organiques.
La biologie de la lumière a pris son départ avec la découverte par Pasteur de la chiralité des substances organiques , de leur propriété bizarre de faire tourner la lumière polarisée vers la "gauche" alors que la matière anorganique ne possède pas cette capacité. Il attribua cette dissymétrie à un ordre cosmique en relation avec les rayonnements solaire et galaxique et avec les énergies électriques et magnétiques.
La théorie du rayonnement universel de Vernadsky
Après la césure scientifique de la première guerre mondiale, ce sont des chercheurs russo-ukrainiens qui ont redécouvert les travaux de Pasteur et des Curie ; parmi eux Vladimir Vernadsky (père de la science atomique russe, 1863-1945) et son ami Alexander Gurwitsch (1874-1954), ont établi les fondements d’une biologie optique.
Vernadsky attribuait la vie au rayonnement de la galaxie. Il écrivit :
"La biosphère peut être considérée comme une région de transformateurs qui convertissent les radiations cosmiques en énergie active sous des formes électriques, chimiques, mécaniques, thermiques et autres."
Le rayonnement mitogénétique de Gurwitsch
Alors que Vernadsky étudiait la relation entre le cosmos, la Terre et la vie, son collègue Gurwitsch s'est concentré sur l’observation expérimentale de champs lumineux et magnétiques au sein des cellules vivantes. Il a démontré que les radicelles d’un oignon stimulaient à distance la croissance d’une tige d’oignon, même si les deux sont enfermés dans des tubes en quartz, mais qu'elles ne stimulaient pas séparés par du verre qui ne laisse pas passer la lumière UV. Il en conclut que les cellules vivantes émettent une lumière ultraviolette ultra-faible. qu’il appelait ‘rayonnement mitogénétique’. Mais Gurwitsch fut ostracisé par l'establishment scientifique parce qu’à l’époque ce rayonnement n’était pas mesurable.
La physique des ‘biophotons’ de l’allemand Fritz-Albert Popp
Au cours des années 1970, Fritz Popp, physicien quantique et chercheur sur le cancer, tentait de comprendre pourquoi un seul des deux isomères du benzopyrène (de même formule chimique mais de forme géométrique différente) causait le cancer. Après avoir découvert le travail de Gurwitsch, Popp a commencé à mesurer les émissions lumineuses ultra-faibles des molécules de benzopyrène et leurs effets sur la croissance cellulaire dans les tissus hépatiques et a constaté que les propriétés extrêmement élevées d'absorption / émission de lumière du benzopyrène 3,4 étaient la cause de la disharmonie de régulation cellulaire qui cause le cancer.
Fritz Popp a mesuré et explicitement démontré l’émission de lumière ultra-faible des cellules vivantes et sa fonction dans la communication intercellulaire. Il a découvert que ces rayonnements se produisaient à différentes longueurs d'onde selon les types de cellules, la fonction et l'espèce et qu’ils sont émis par l’ADN.
Sa découverte aurait dû conduire à une nouvelle approche de la médecine, mais au lieu de cela, elle fut dénigrée par l’establishment médico-pharmaceutique et il fut même diffamé comme psychopathe. Il perdit sa chair de professeur à l’université de Marburg. Mais sa renommée internationale et sa collaboration avec des physiciens de renom comme David Bohm et Ilya Prigogine lui permirent de trouver le financement pour son propre Institut de biophysique à Kaiserslautern où il a poursuivi sa recherche.
Fritz A. Popp a communiqué son expérience pour un public plus large dans un livre intitulé "Neue Horizonte in der Medizin", traduit en français dans "Biologie de la Lumière".
Le contrôle politique de la science consensuelle.
Dans un autre article, Matthew Ehret place l’évolution de la science dans le contexte de la politique et il critique le sabotage médiatique de la nouvelle biophysique par le magazine Nature
Selon Ehret, la science consensuelle contemporaine est dirigée par l’élite de l’establishment financier. L’idéologie élitiste a son origine dans l’impérialisme britannique et la compagnie des Indes. Les théoriciens en étaient les membres du X-club fondé par Huxley, professant le sélectionnisme de Darwin et l’eugénisme de Malthus. Huxley fonda aussi le magazine "Nature" qui s’est érigé comme juge suprême de la vérité scientifique et qui est connu pour avoir brisé la carrière de chercheurs créatifs tels que Benveniste à cause de sa découverte de la ‘mémoire de l’eau’
En clair, c’est le Deep State qui finance et contrôle non seulement les médias politiques, mais aussi les publications et la recherche scientifiques, pour ses propres besoins technologiques, militaires ou pharmaceutiques. Il s’oppose à toute théorie ou pratique alternative susceptible de nuire aux grandes corporations telles que celle des laboratoires pharmaceutiques aussi appelée ‘Big Pharma'. C’est pourquoi le progrès des sciences fondamentales est bloqué. C'est pouquoi la nouvelle biophysique est ignorée et ses découvreurs tels que Gurwitsch, Popp, Prigogine, Benveniste et Montagnier sont ostracisés.
Les champs d'énergie des médecines traditionnelles
La médecine traditionnelle chinoise sait depuis longtemps que le corps humain est organisé par un champ polarisé selon des canaux appelés méridiens d’acupuncture par les Occidentaux. De même, la médecine ayurvédique connaît l’aura, les divisions et les vortex de ce champ appelés chakras.
L’académie allemande d’auriculomédecine et acupuncture, dont j’ai été membre pratiquant, a mis au point des méthodes combinant des polarisations électriques et des fréquences de pulsions au laser avec la pratique diagnostique du pouls de Nogier. Ces méthodes ont permis aux acupuncteurs allemands d’objectiver empiriquement l’existence de ce champ ou de tester des substances médicamenteuses ou toxiques.
Pour celui qui a fait l’expérience de sa sensibilité biologique aux rayonnements ultra-faibles, soit par la pratique du pouls de Nogier sur le champ humain, soit par l’intermédiaire d’antennes ou de pendules sur le champ géomagnétiques, il n’y a plus aucun doute que la vie et l’univers sont régis par les interférences d’ondes électromagnétiques et que les molécules de matière chimique sont formées par de telles interférences..
Plus scientifiquement, Louis de Broglie a découvert cette corrélation universelle d’ondes et l’a a appelée ‘harmonie des phases’
La découverte de la chiralité optique des substances organiques.
La biologie de la lumière a pris son départ avec la découverte par Pasteur de la chiralité des substances organiques , de leur propriété bizarre de faire tourner la lumière polarisée vers la "gauche" alors que la matière anorganique ne possède pas cette capacité. Il attribua cette dissymétrie à un ordre cosmique en relation avec les rayonnements solaire et galaxique et avec les énergies électriques et magnétiques.
La théorie du rayonnement universel de Vernadsky
Après la césure scientifique de la première guerre mondiale, ce sont des chercheurs russo-ukrainiens qui ont redécouvert les travaux de Pasteur et des Curie ; parmi eux Vladimir Vernadsky (père de la science atomique russe, 1863-1945) et son ami Alexander Gurwitsch (1874-1954), ont établi les fondements d’une biologie optique.
Vernadsky attribuait la vie au rayonnement de la galaxie. Il écrivit :
"La biosphère peut être considérée comme une région de transformateurs qui convertissent les radiations cosmiques en énergie active sous des formes électriques, chimiques, mécaniques, thermiques et autres."
Le rayonnement mitogénétique de Gurwitsch
Alors que Vernadsky étudiait la relation entre le cosmos, la Terre et la vie, son collègue Gurwitsch s'est concentré sur l’observation expérimentale de champs lumineux et magnétiques au sein des cellules vivantes. Il a démontré que les radicelles d’un oignon stimulaient à distance la croissance d’une tige d’oignon, même si les deux sont enfermés dans des tubes en quartz, mais qu'elles ne stimulaient pas séparés par du verre qui ne laisse pas passer la lumière UV. Il en conclut que les cellules vivantes émettent une lumière ultraviolette ultra-faible. qu’il appelait ‘rayonnement mitogénétique’. Mais Gurwitsch fut ostracisé par l'establishment scientifique parce qu’à l’époque ce rayonnement n’était pas mesurable.
La physique des ‘biophotons’ de l’allemand Fritz-Albert Popp
Au cours des années 1970, Fritz Popp, physicien quantique et chercheur sur le cancer, tentait de comprendre pourquoi un seul des deux isomères du benzopyrène (de même formule chimique mais de forme géométrique différente) causait le cancer. Après avoir découvert le travail de Gurwitsch, Popp a commencé à mesurer les émissions lumineuses ultra-faibles des molécules de benzopyrène et leurs effets sur la croissance cellulaire dans les tissus hépatiques et a constaté que les propriétés extrêmement élevées d'absorption / émission de lumière du benzopyrène 3,4 étaient la cause de la disharmonie de régulation cellulaire qui cause le cancer.
Fritz Popp a mesuré et explicitement démontré l’émission de lumière ultra-faible des cellules vivantes et sa fonction dans la communication intercellulaire. Il a découvert que ces rayonnements se produisaient à différentes longueurs d'onde selon les types de cellules, la fonction et l'espèce et qu’ils sont émis par l’ADN.
Sa découverte aurait dû conduire à une nouvelle approche de la médecine, mais au lieu de cela, elle fut dénigrée par l’establishment médico-pharmaceutique et il fut même diffamé comme psychopathe. Il perdit sa chair de professeur à l’université de Marburg. Mais sa renommée internationale et sa collaboration avec des physiciens de renom comme David Bohm et Ilya Prigogine lui permirent de trouver le financement pour son propre Institut de biophysique à Kaiserslautern où il a poursuivi sa recherche.
Fritz A. Popp a communiqué son expérience pour un public plus large dans un livre intitulé "Neue Horizonte in der Medizin", traduit en français dans "Biologie de la Lumière".
Le contrôle politique de la science consensuelle.
Dans un autre article, Matthew Ehret place l’évolution de la science dans le contexte de la politique et il critique le sabotage médiatique de la nouvelle biophysique par le magazine Nature
Selon Ehret, la science consensuelle contemporaine est dirigée par l’élite de l’establishment financier. L’idéologie élitiste a son origine dans l’impérialisme britannique et la compagnie des Indes. Les théoriciens en étaient les membres du X-club fondé par Huxley, professant le sélectionnisme de Darwin et l’eugénisme de Malthus. Huxley fonda aussi le magazine "Nature" qui s’est érigé comme juge suprême de la vérité scientifique et qui est connu pour avoir brisé la carrière de chercheurs créatifs tels que Benveniste à cause de sa découverte de la ‘mémoire de l’eau’
En clair, c’est le Deep State qui finance et contrôle non seulement les médias politiques, mais aussi les publications et la recherche scientifiques, pour ses propres besoins technologiques, militaires ou pharmaceutiques. Il s’oppose à toute théorie ou pratique alternative susceptible de nuire aux grandes corporations telles que celle des laboratoires pharmaceutiques aussi appelée ‘Big Pharma'. C’est pourquoi le progrès des sciences fondamentales est bloqué. C'est pouquoi la nouvelle biophysique est ignorée et ses découvreurs tels que Gurwitsch, Popp, Prigogine, Benveniste et Montagnier sont ostracisés.
Les champs d'énergie des médecines traditionnelles
La médecine traditionnelle chinoise sait depuis longtemps que le corps humain est organisé par un champ polarisé selon des canaux appelés méridiens d’acupuncture par les Occidentaux. De même, la médecine ayurvédique connaît l’aura, les divisions et les vortex de ce champ appelés chakras.
L’académie allemande d’auriculomédecine et acupuncture, dont j’ai été membre pratiquant, a mis au point des méthodes combinant des polarisations électriques et des fréquences de pulsions au laser avec la pratique diagnostique du pouls de Nogier. Ces méthodes ont permis aux acupuncteurs allemands d’objectiver empiriquement l’existence de ce champ ou de tester des substances médicamenteuses ou toxiques.
Pour celui qui a fait l’expérience de sa sensibilité biologique aux rayonnements ultra-faibles, soit par la pratique du pouls de Nogier sur le champ humain, soit par l’intermédiaire d’antennes ou de pendules sur le champ géomagnétiques, il n’y a plus aucun doute que la vie et l’univers sont régis par les interférences d’ondes électromagnétiques et que les molécules de matière chimique sont formées par de telles interférences..
Plus scientifiquement, Louis de Broglie a découvert cette corrélation universelle d’ondes et l’a a appelée ‘harmonie des phases’
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