Vibration et interdépendance quantique
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Vibration et interdépendance quantique
La question me rappelle d’autres traditions très anciennes ainsi que des hypothèses très modernes.SFuchs a écrit:Bonjour à tous, bonjour patanjali.
C'est la bonne occasion pour relire le fil de forum qui parle du Samkhya et des trois Gunas.
https://sciencetradition.forumactif.com/t116-samkhya-yoga-et-les-trois-gunas
Dans ce fil de discussion, il y a quelque chose qui m'a toujours intrigué, c'est la citation suivante :
A l'origine de la création, une vibration cosmique s'élève dans Prakriti, perturbant son état d'équilibre, elle libère les Gunas de leur quiétude.
Cela fait penser à la notion de coproduction conditionnée ou d'interdépendance. Les Gunas se manifestent soit simultanément, soit aucun ne se manifeste. Cette perturbation originelle dans Prakriti fait par ailleurs penser à "Aum" le son originel où à la tradition du Logos (le Verbe ou la vibration) au commencement de tout.
Dans quelle mesure pourrait-on rapprocher la notion de Gunas avec celle de monade ou de quanta ?
Une cosmogonie égyptienne probablement de haute antiquité, est analogue à la cosmologie du samkhya. Elle représente Geb, la terre (tamas) couché sous Nout le ciel (sattva), soulevée par Shou, l’atmosphère (rajas)
Wikipédia décrit le sens de: Shou ainsi :
Le nom du dieu peut être traduit de diverses manières. Il semble dériver d'une racine, shouy, signifiant soit « le vide », soit « se lever », « soulever ». Le même terme est attesté dans le langage courant, depuis le Moyen Empire, avec le sens « lumière ». Shou peut donc se traduire comme « air lumineux », « vibration radieuse et vivifiante »
Les pythagoriciens connaissaient les rapports de longueurs d'onde composant les gammes musicales et conçurent une Harmonie des sphères ou Musique des Sphères3
fondée sur l'idée que l'univers est régi par des rapports numériques harmonieux, dont les fondements sont représentés par les quatre niveaux de la tétraktys.
Lao tsé écrivait: " Le Tao produit le Un; le Un produit le Deux; le Deux produit le Trois; le Trois produit tous les êtres." ce qui est équivalent aux niveaux de la tétraktys pythagoricienne. Il y avait en effet échange d'idées entre Occident et Orient pendant l'empire achéménide. Est-ce Pythagore qui a influencé Lao tsé ou la Chine est-elle à l'origine de la science pythagoricienne des nombres et de leurs rapports ?
Lao tsé était postérieur à Pythagore, mais le Yi king, livre des transmutations avec ses trigrammes et ses interprétations numérologiques est plus ancien. Son origine doit être cherchée dans le néolithique. Je suppose que le Yi King était une méthode et logique des rapports de fréquences dont le sens et l'utilisation pratique ont été perdus, à la suite de quoi il a dégénéré en méthode de voyance.
Les constructions mégalithiques un peu partout autour de l'Atlantique indiquent une culture et des techniques de transport et édifications des mégalithes qui restent un mystère. Je suppose qu'ils faisaient vibrer les rocs sur leurs supports par des fréquences mécaniques ou sonores pour les déplacer plus facilement, mais aussi pour araser les blocs équarris les uns contre les autres jusqu'à l'ajustage parfait qui ne laisse plus passer une lame.
Wikipédia signale Platon à propos de l'harmonie des sphères. Les proportions pythagoriciennes sont aussi mentionnées dans Timée 35-36. (voir mon post sur l'ontologie qui en cite l'introduction: lien).
Platon dans Timée 35a a écrit:Entre l'être indivisible et qui reste toujours le même et l'être divisible qui devient dans les corps, il forma par un mélange des deux premiers une troisième sorte d'Être …
La cosmologie traditionnelles était donc la même en Chine, en Inde et en Grèce. Il est inutile de rappeler ici la trilogie néoplatonicienne dont dérive la trinité chrétienne, ni les schémas de Nicolas de Cues, ni les trilogies analogues de l'hermétisme ou de l'alchimie de la Renaissance.
Quant à Giordano Bruno, il présente la trilogie par la monade comme l'unité et origine de tout nombre et de toute propriété:
Les conditions de l'auto-organsiation des structures dissipatives de Prigogine (structure complexe, apport d'énergie et influence de l'environnement) représentent en thermodynamique les causes matérielle, efficiente et formelle. Leur corrélation est la cause finale. Prigogine attribue l'imprédictibilité, l'irréversibilité de la corrélation à l'effet non local, à longue portée des résonances de Poincaré, ce qui conduit à la mécanique ondulatoire.Le minimum est la substance des choses, dans la mesure évidemment où il désigne plus qu'une quantité, il est en effet le principe quantitatif des dimensions corporelles. Il est, dis-je, élément matériel, efficient, final et total, ….. Enlevez partout le minimum et il n'y aura rien nulle part. Otez partout la monade et il n'y aura de nombre nulle part, rien ne sera dénombrable, il n'y aura plus de numérateur. .(De triplici minimo et mensura, I. 2)
La mécanique ondulatoire apporte l'explication ultime de l'auto-organisation. Louis de Broglie l'appelait "harmonie de phase". Elle est due à la corrélation de phase des ondes stationnaires qui relient les atomes oscillateurs. Or toute onde stationnaire comporte une onde de phase dont la vitesse est quasi illimitée. L'onde de phase de Louis de Broglie est la raison de la corrélation non locale, de l'interdépendance et unité holographique de l'univers appelée intrication quantique.
Dans sa Rythmodynamique, Ivanov a démontre en détail ce mécanisme de corrélation de phases et ses implications nouvelles dans l'inertie et le mouvement de la matière. La Rythmodynamique repose sur trois postulats: l'espace milieu d'onde, l'oscillation d'onde et les interactions d'ondes. Ces postulats correspondent aux causes matérielle, efficiente et formelle, la corrélation de phase étant la cause finale.
Par ses postulats, la mécanique ondulatoire applique les principes métaphysiques de la Tradition: l'inertie finie de la Terre (tamas ou cause matérielle), les potentialités infinies du Ciel ou Ether (sattva ou cause formelle) et entre les deux le Feu de l'action (rajas ou cause efficiente). La corrélation des trois forme l'Unité (prakriti ou cause finale).
La mécanique ondulatoire est fondamentale en sciences physiques. Mais dans les sciences humaine et biologiques les principes métaphysiques apparaissent de manière différente. L'unité de l'univers et de la connaissance ne peut pas être réduite à l'une ou l'autre des sciences particulières.
Dernière édition par patanjali le Lun 25 Juil 2016 - 16:35, édité 2 fois
Re: Vibration et interdépendance quantique
Très intéressant, merci patanjali. Je vais relire quelques autres fils de discussion pour essayer d'ajouter une petite contribution personnelle.
SFuchs- Messages : 135
Date d'inscription : 29/05/2015
Re: Vibration et interdépendance quantique
Bonjour patanjali, bonjour à tous,
En associant un peu toutes ces lectures, et en pensant particulièrement à la monade de Bruno, au modèle de Ivanov ou encore aux réflexions de Gabriel Lafrénière sur l'ether http://web.archive.org/web/20110903051851/http://glafreniere.com/ether.htm , on peut concevoir l'Univers comme un treillis initial de monades qui ne sont pas encore manifestées, et qui vont rentrer en activité à partir du moment où ce treillis de monades va recevoir une vibration initiale. De par les propriétés parfaitement élastiques de ce treillis de monades que l'on pourait appeler prématière ou pré-ether, cette énergie initiale va mener sa vie au sein de ce treillis. De par les phénomènes d'auto-organisation irréversibles décrits par Prigogine, cette énergie va localement conduire à l'apparition de structures stables qui sont le résultat d'un stockage local d'énergie et d'information cumulées. On peut ensuite imaginer une complexité croissante conduisant à la construction progressive de l'Univers, dans lequel coexiste des formes d'énergie circulantes, ou évanescentes, et des structures beaucoup plus stables à la faveur du phénomène d’irréversibilité.
On peut imaginer que l'Univers a émergé, puis les constituants en son sein. Les étoiles sont nées sous la double action de l'Univers et de ce qui a fait émerger l'Univers. La vie a émergé sous une étoile comme le soleil, et aussi de façon plus lointaine sous ce qui a fait émerger les étoiles et l'Univers. La conscience humaine émerge sous une étoile, et toutes les autres de l'Univers, et sous ce quoi l'Univers a émergé. Le champ d'interférence dans lequel la conscience humaine est susceptible de trouver des résonances est donc un champ constitué d'une infinité de fréquences constituées par toutes ces énergies, des plus proches aux plus lointaines, des plus simples aux plus subtiles. A son tour, l'être humain et la conscience sont le support d'émergence de la culture sous l'influence de la conscience humaine et de tout ce monde qui l'a précédé. C'est une production infiniment subtile et complexe. Le monde est rempli d'énergies subtiles et complexes, et se matérialise en un ensemble de réalisations de plus en plus subtiles et complexes à l'image de ces champs avec lesquels il résonne d'une manière de plus en plus intime.
En associant un peu toutes ces lectures, et en pensant particulièrement à la monade de Bruno, au modèle de Ivanov ou encore aux réflexions de Gabriel Lafrénière sur l'ether http://web.archive.org/web/20110903051851/http://glafreniere.com/ether.htm , on peut concevoir l'Univers comme un treillis initial de monades qui ne sont pas encore manifestées, et qui vont rentrer en activité à partir du moment où ce treillis de monades va recevoir une vibration initiale. De par les propriétés parfaitement élastiques de ce treillis de monades que l'on pourait appeler prématière ou pré-ether, cette énergie initiale va mener sa vie au sein de ce treillis. De par les phénomènes d'auto-organisation irréversibles décrits par Prigogine, cette énergie va localement conduire à l'apparition de structures stables qui sont le résultat d'un stockage local d'énergie et d'information cumulées. On peut ensuite imaginer une complexité croissante conduisant à la construction progressive de l'Univers, dans lequel coexiste des formes d'énergie circulantes, ou évanescentes, et des structures beaucoup plus stables à la faveur du phénomène d’irréversibilité.
On peut imaginer que l'Univers a émergé, puis les constituants en son sein. Les étoiles sont nées sous la double action de l'Univers et de ce qui a fait émerger l'Univers. La vie a émergé sous une étoile comme le soleil, et aussi de façon plus lointaine sous ce qui a fait émerger les étoiles et l'Univers. La conscience humaine émerge sous une étoile, et toutes les autres de l'Univers, et sous ce quoi l'Univers a émergé. Le champ d'interférence dans lequel la conscience humaine est susceptible de trouver des résonances est donc un champ constitué d'une infinité de fréquences constituées par toutes ces énergies, des plus proches aux plus lointaines, des plus simples aux plus subtiles. A son tour, l'être humain et la conscience sont le support d'émergence de la culture sous l'influence de la conscience humaine et de tout ce monde qui l'a précédé. C'est une production infiniment subtile et complexe. Le monde est rempli d'énergies subtiles et complexes, et se matérialise en un ensemble de réalisations de plus en plus subtiles et complexes à l'image de ces champs avec lesquels il résonne d'une manière de plus en plus intime.
SFuchs- Messages : 135
Date d'inscription : 29/05/2015
Re: Vibration et interdépendance quantique
Bonjour SFuchs,
merci pour ton excellente synthèse d’une nouvelle cosmologie englobant les dimensions physiques psychiques et sociales de l'univers sur la base de la trilogie des causes de la manifestation et plus particulièrement sur son expression physique, celle des trois postulats de la mécanique ondulatoire.
Ton exposé me sert d’introduction à une série de réflexions et hypothèses concernant la physique et la cosmologie que j’ai l’intention d’exprimer sur ce fil.
merci pour ton excellente synthèse d’une nouvelle cosmologie englobant les dimensions physiques psychiques et sociales de l'univers sur la base de la trilogie des causes de la manifestation et plus particulièrement sur son expression physique, celle des trois postulats de la mécanique ondulatoire.
Ton exposé me sert d’introduction à une série de réflexions et hypothèses concernant la physique et la cosmologie que j’ai l’intention d’exprimer sur ce fil.
Axiomes du paradigme ondulatoire
Quel changement de paradigme ?
La physique contemporaine reste fondée, comme la mécanique de Newton, sur le postulats de la méthode expérimentale : le postulat matérialiste selon lequel l’univers est fait de particules de matière, le postulat déterministe selon lequel le temps est réversible et le postulat analytique selon lequel le tout est la somme des parties.
Ces postulats forment le paradigme de la culture scientifique et technologique. La méthode expérimentale en milieu artificiel fermé est efficace ; elle apporte des connaissances utiles aux technologies, mais pas de compréhension de la nature réelle ouverte.
Pour comprendre la nature, il faut compléter l’analyse par la synthèse, la matière de particule par l’énergie d’onde, et le déterminisme par l’indétermination.
Toutes les théories de la physique et de la cosmologie et leurs constantes peuvent être reformulées sur la base de la mécanique ondulatoire et ses principes formulés par la Rythmodynamique. Ces principes sont des postulats, mais les conséquences de ces postulats sont des faits expérimentalement prouvés par Ivanov.
En bref, les trois postulats sont les suivants, que nous allons examiner la nature et les conséquences :
- L’espace physique milieu d’onde.
- La propagation d’onde.
- Les interactions d’ondes.
Qu’est-ce que l’espace ?
L’espace est le milieu de propagation d’ondes électromagnétiques. L’espace n’est pas vide. Je rappelle l’article de Jean Jack Micalef, PROPRIETES DE LA PREMATIERE ET ATTRIBUTS DE DIEU. Il définit l’espace comme une prématière qui a des propriétés de rigidité et élasticité particulières qui seules peuvent expliquer la vitesse limite constante de la lumière.
Einstein pensait que l’espace est vide parce que l’éther lui paraissait inutile dans les calculs de la relativité. Pour expliquer la propagation de la lumière dans le vide, il a appliqué au quantum de Planck l’hypothèse de Newton des particules de lumière et a inventé le photon. L’idée matérialiste de la particule vecteur de transmission de force a été appliquée ensuite aux autres forces sous forme des bosons.
Comme la spécialisation divise la connaissance, l’optique reste entièrement expliquée par des ondes alors que la mécanique quantique représente la lumière par des particules. En réalité, l’espace n’est pas un vide et il est traversé d’ondes de toute direction et de toutes fréquences. Les phénomènes avancés comme preuves de l’existence du photon peuvent tous être expliqués aussi par des points ou lignes d’interférences d’ondes.
Nous verrons plus loin que les oscillateurs, les nucléons ou atomes, sont eux-mêmes des ondes stationnaires sphériques.
Qu’est-ce que l’onde électromagnétique ?
L’onde est un modèle mental, imaginaire. En réalité, toute onde est l’oscillation d’un milieu : l’eau pour la vague, l’air pour le son et l’espace pour l’électromagnétisme. L’onde électromagnétique est une propriété de l’espace : son mouvement.
L’onde diffuse sphériquement dans tout l’espace à la vitesse c, à partir du point d’émission Elle conserve son énergie en perdant localement en amplitude en fonction de la surface sphérique, c’est à dire en fonction inverse du carré de la distance.
L’espace étant considéré comme infini, sans limite et donc ni extensible ni contractile, son seul mouvement possible est une vibration isovolumique ce qui signifie que lorsqu’une portion d’espace sphérique limitée s’allonge le long d’une direction linéaire donnée, elle doit simultanément se contracter dans les plans circulaires orthogonaux pour conserver le volume. Selon cette hypothèse, les vibrations linéaires sont dits électriques et se propagent comme "courant" électrique, les vibrations orthogonales circulaires sont dits magnétiques et forment un champ magnétique. Mais toutes formes de déformations sont possibles dans chaque portion de l’espace.
Il faut bien comprendre que l’onde n’est rien d’autre que la vibration de l’espace pour comprendre les interactions d’ondes, les corrélations de phases et leurs conséquences.
Qu’est-ce que l’interaction d’ondes ?
Lorsque deux oscillateurs voisins ont la même fréquence, les amplitudes s’additionnent en chaque point de l’espace. Dans l’axe entre les oscillateurs se forme alors une onde stationnaire (représentée ICI).
Les ondes stationnaires ont été étudiées déjà par Louis de Broglie qui a compris l’univers comme une harmonie de phase et qui a formulé la vitesse de groupe v et la vitesse de phase Vφ telles que Vφ= c2/v. Cela signifie que la coordination ou transmission d’information par l’onde stationnaire est quasi instantanée. L’onde de phase est l’explication des corrélations non locales aussi appelées intrication quantique.
Yuri Ivanov a prouvé expérimentalement que les onde stationnaires d’un système d’oscillateurs en mouvement rétrécit en fonction de la vitesse. Il a prouvé ainsi l’interprétation par Lorentz de l’échec de l’expérience de Michelson : l’instrument rétrécit en même temps que le système d’ondes, rendant la mesure impossible. La relativité d’Einstein est invalidée : la relativité est celle de la mesure et non pas celle de l’espace et du temps.
D’autres phénomène telles que le mouvement, l’accélération gravidique et l’auto-organisation ont été élucidés par Ivanov et sont résumés ICI.
Réflexions et hypothèses concernant la matière
La matière peut être étudiée du point de vue analytique et matérialiste suivant la conception de la mécanique quantique (MO) et de son modèle standard. Elle peut être étudiée du point de vue synthétique et dynamique comme système de particules et d’ondes.
Qu’est-ce que la matière du point de vue de la particule ?
Jean-Claude Villame, inspiré par Giordano Bruno, considère que la matière est formée d’agrégations d’un minimum ou monade qu’il appelle « bruno », équivalent au quantum de Planck. (Que Villame m’excuse de ne pouvoir résumer ici que ce que j’ai compris du point de vue épistémologique sans pouvoir tenir compte de tous ses développement théoriques et de ses valeurs numériques précises que l’on peut trouver par son site )
Un bruno est entouré sphériquement d’une douzaine d’autres brunos, formant un amas de premier ordre. Ce premier amas entouré d’autres amas de premier ordre forme un amas de second ordre, dont est formé un amas de troisième ordre et ainsi de suite jusqu’au niveau du nucléon ou proton qui selon ses calculs est de l’ordre 22. Cette agrégation forme une progression exponentielle.
Villame considère l’agrégation d’un point de vue dynamique comme un processus de fusion, en équilibre permanent avec un processus de fission, sous la forme d’une spirale logarithmique.
Quoique de conviction résolument matérialiste, Villame utilise la formule de De Broglie :
E = mc2 = hf, ou m=hf/c2 = h/λc.
Puisque h et c sont des constantes, cette formule conduit à une relation d’équivalence entre la masse m (inertie) de particule et la fréquence f (mouvement) d’onde associée.
Se basant sur cette formule et les propriétés de l’électron du modèle classique de l’atome de Bohr, Villame établit les relations entre masse, fréquence, longueur d’onde etc. sur toute l’étendue du spectre des particules, depuis le quantum jusqu’à l’électron, et même au-delà par l’étude des raies spectrales. Chaque niveau correspond à la masse et fréquence d’une particule du modèle standard de la MQ.
Il découvre ainsi que la constante alpha dite de structure fine n’est que la valeur spécifique à l’électron d’un rapport entre fréquence mécanique et fréquence d’onde électromagnétique qui varie en fonction du niveau d’agrégation, et qui est à la base de l’échange équivalent d’énergie d’émission et d’absorption. Il définit ainsi une variable alpha, appelée coefficient de mobilité, qui définit les rapports énergétiques propres à chaque niveau et qui démystifie les bosons de la MQ.
Le modèle dynamique de vortex suppose une chiralité. Villame considère que les concepts de polarité, chiralité et spin sont synonymes. La chiralité définit une polarité de charge. Les éléments de la matière neutre que nous connaissons comme solide, liquide et gazeuse sont un équilibre de polarités/chiralités opposées. La matière non ionisée résulte d’une formation gémellaire, de l’assemblages de deux atomes d’hydrogène de polarité opposée : le deutérium ou biatome de Perrin. Sur cette base il explique tous les éléments de la table de Mendeleïev, par l’agrégation d’unités gémellaires.
Qu’est-ce que la matière du point de vue de l’onde ?
Le quantum est un concept de l’électromagnétisme caractérisée par une dimension qui est celle d’un moment cinétique (J.s = kg·m2.s-1), la dimension d’une rotation. Cela signifie que le quantum représente une oscillation de l’espace, une onde de dimension minimale.
L’électron sur l’orbite fondamentale de Bohr peut être considéré comme une onde stationnaire formée par un ventre et un nœud tournant à la vitesse classique de l’électron. Un second électron n’est possible sur la même orbite que s’il est de spin opposée. Les phases opposées de l’onde stationnaire circulaire sont une explication possible du 1/2 spin.
Milo Wolff et Gabriel Lafrenière représentent la structure de la particule comme une onde stationnaire sphérique qui est formée par l’équilibre entre ondes entrantes et ondes sortantes.
L’idée est que des ondes entrantes de toute direction ressortent après une rotation de 180°. Ensemble elles forment des ondes stationnaires, des ondes associées aux atomes qui constituent la matière solide, macroscopique sous forme cristalline.
Yuri Ivanov représente la structure du cristal par un réseau d’ondes stationnaires s’établissant entre les atomes. Les atomes cherchent toujours une position d’équilibre, un nœud d’onde représentant un puits potentiel entre les ventres. Ils doivent être en phase, quels que soient leurs positions et leur mouvement les uns par rapport aux autres, formant une harmonie de phase selon De Broglie.
Les ondes des atomes en mouvement sont raccourcies vers l’avant, rallongées vers l’arrière. La longueur d’onde stationnaire qui en résulte en est la moyenne géométrique, toujours plus petite que celle de l’onde au repos. C’est pourquoi la dimension de la matière rétrécit en fonction de la vitesse, ce qui explique la relativité selon Lorentz.
Les ondes associées aux atomes constituent une série de longueurs d’onde, un spectre. C’est pourquoi les cristaux ont des formes, des couleurs et des propriétés pysiques et optiques précises et variées en fonction des atomes constitutifs. Quant aux molécules biologiques formées de nombreux atomes différents, elles développent des structures encore plus complexes
Ilya Prigogine a étudié le comportement des structures complexes en thermodynamique. Il a compris que la formation, la stabilité et les transformations des structures physiques ou biologiques sont soumises à l’harmonie des phases et que la corrélation est non locale, globale.
L’harmonie ne s’établit pas seulement entre les atomes constituant la structure mais aussi entre les fréquences de la structure et celles de l’environnement. La corrélation ou harmonie ondulatoire entre les structures biologiques et l’environnement est à l’origine de l’évolution par auto-organisation.
L’existence, l’adaptation ou l’évolution de tout système dépend d’interférences, d’ondes stationnaires et de leurs ondes de phase responsables des corrélations non locales, holistiques. Ceci vaut évidemment aussi pour l’homme dont les comportements sont indissociables d’influences inconscientes à l’origine de synchronicités considérées comme phénomènes paranormaux.
Il ne faut pas oublier que les ondes stationnaires sont des propriétés de l’espace, milieu d’onde qui est la cause matérielle et le fondement de l’unité de l’univers.
Qu’est-ce que la matière du point de vue de la particule ?
Jean-Claude Villame, inspiré par Giordano Bruno, considère que la matière est formée d’agrégations d’un minimum ou monade qu’il appelle « bruno », équivalent au quantum de Planck. (Que Villame m’excuse de ne pouvoir résumer ici que ce que j’ai compris du point de vue épistémologique sans pouvoir tenir compte de tous ses développement théoriques et de ses valeurs numériques précises que l’on peut trouver par son site )
Un bruno est entouré sphériquement d’une douzaine d’autres brunos, formant un amas de premier ordre. Ce premier amas entouré d’autres amas de premier ordre forme un amas de second ordre, dont est formé un amas de troisième ordre et ainsi de suite jusqu’au niveau du nucléon ou proton qui selon ses calculs est de l’ordre 22. Cette agrégation forme une progression exponentielle.
Villame considère l’agrégation d’un point de vue dynamique comme un processus de fusion, en équilibre permanent avec un processus de fission, sous la forme d’une spirale logarithmique.
Quoique de conviction résolument matérialiste, Villame utilise la formule de De Broglie :
E = mc2 = hf, ou m=hf/c2 = h/λc.
Puisque h et c sont des constantes, cette formule conduit à une relation d’équivalence entre la masse m (inertie) de particule et la fréquence f (mouvement) d’onde associée.
Se basant sur cette formule et les propriétés de l’électron du modèle classique de l’atome de Bohr, Villame établit les relations entre masse, fréquence, longueur d’onde etc. sur toute l’étendue du spectre des particules, depuis le quantum jusqu’à l’électron, et même au-delà par l’étude des raies spectrales. Chaque niveau correspond à la masse et fréquence d’une particule du modèle standard de la MQ.
Il découvre ainsi que la constante alpha dite de structure fine n’est que la valeur spécifique à l’électron d’un rapport entre fréquence mécanique et fréquence d’onde électromagnétique qui varie en fonction du niveau d’agrégation, et qui est à la base de l’échange équivalent d’énergie d’émission et d’absorption. Il définit ainsi une variable alpha, appelée coefficient de mobilité, qui définit les rapports énergétiques propres à chaque niveau et qui démystifie les bosons de la MQ.
Le modèle dynamique de vortex suppose une chiralité. Villame considère que les concepts de polarité, chiralité et spin sont synonymes. La chiralité définit une polarité de charge. Les éléments de la matière neutre que nous connaissons comme solide, liquide et gazeuse sont un équilibre de polarités/chiralités opposées. La matière non ionisée résulte d’une formation gémellaire, de l’assemblages de deux atomes d’hydrogène de polarité opposée : le deutérium ou biatome de Perrin. Sur cette base il explique tous les éléments de la table de Mendeleïev, par l’agrégation d’unités gémellaires.
Qu’est-ce que la matière du point de vue de l’onde ?
Le quantum est un concept de l’électromagnétisme caractérisée par une dimension qui est celle d’un moment cinétique (J.s = kg·m2.s-1), la dimension d’une rotation. Cela signifie que le quantum représente une oscillation de l’espace, une onde de dimension minimale.
L’électron sur l’orbite fondamentale de Bohr peut être considéré comme une onde stationnaire formée par un ventre et un nœud tournant à la vitesse classique de l’électron. Un second électron n’est possible sur la même orbite que s’il est de spin opposée. Les phases opposées de l’onde stationnaire circulaire sont une explication possible du 1/2 spin.
Milo Wolff et Gabriel Lafrenière représentent la structure de la particule comme une onde stationnaire sphérique qui est formée par l’équilibre entre ondes entrantes et ondes sortantes.
L’idée est que des ondes entrantes de toute direction ressortent après une rotation de 180°. Ensemble elles forment des ondes stationnaires, des ondes associées aux atomes qui constituent la matière solide, macroscopique sous forme cristalline.
Yuri Ivanov représente la structure du cristal par un réseau d’ondes stationnaires s’établissant entre les atomes. Les atomes cherchent toujours une position d’équilibre, un nœud d’onde représentant un puits potentiel entre les ventres. Ils doivent être en phase, quels que soient leurs positions et leur mouvement les uns par rapport aux autres, formant une harmonie de phase selon De Broglie.
Les ondes des atomes en mouvement sont raccourcies vers l’avant, rallongées vers l’arrière. La longueur d’onde stationnaire qui en résulte en est la moyenne géométrique, toujours plus petite que celle de l’onde au repos. C’est pourquoi la dimension de la matière rétrécit en fonction de la vitesse, ce qui explique la relativité selon Lorentz.
Les ondes associées aux atomes constituent une série de longueurs d’onde, un spectre. C’est pourquoi les cristaux ont des formes, des couleurs et des propriétés pysiques et optiques précises et variées en fonction des atomes constitutifs. Quant aux molécules biologiques formées de nombreux atomes différents, elles développent des structures encore plus complexes
Ilya Prigogine a étudié le comportement des structures complexes en thermodynamique. Il a compris que la formation, la stabilité et les transformations des structures physiques ou biologiques sont soumises à l’harmonie des phases et que la corrélation est non locale, globale.
L’harmonie ne s’établit pas seulement entre les atomes constituant la structure mais aussi entre les fréquences de la structure et celles de l’environnement. La corrélation ou harmonie ondulatoire entre les structures biologiques et l’environnement est à l’origine de l’évolution par auto-organisation.
L’existence, l’adaptation ou l’évolution de tout système dépend d’interférences, d’ondes stationnaires et de leurs ondes de phase responsables des corrélations non locales, holistiques. Ceci vaut évidemment aussi pour l’homme dont les comportements sont indissociables d’influences inconscientes à l’origine de synchronicités considérées comme phénomènes paranormaux.
Il ne faut pas oublier que les ondes stationnaires sont des propriétés de l’espace, milieu d’onde qui est la cause matérielle et le fondement de l’unité de l’univers.
Réflexions sur la nature ondulatoire de la gravité
Au début de cette année les médias ont fait grand cas de la détection par l’interféromètre LIGO d’un « signal caractéristique d’une onde gravitationnelle ».
Dans le milieu de l’Univers Electrique on reste sceptique (lien): Ils ont mesuré une onde et l’attribuent à une collision de trous noirs dans l’espace. Mais cela pourrait provenir d’une compression géologique causée par une éruption solaire ou un flux de magma sous la croûte terrestre.
Comme on pouvait s’y attendre, ils ont trouvé quelque chose. Et sans beaucoup d'hésitation ils prédisent d'où ça vient. Il fallait à tout prix justifier l’investissement dans le projet et confirmer une idée d’Einstein que celui-ci avait pourtant lui-même abandonnée. (lien).
Quoiqu’il en soit, je ne comprends pas ce que cette théorie (car ce n’est qu’une théorie mathématique) peut apporter à la connaissance de la gravité. Il ne s’agissaitt que de donner raison à Einstein. De toute manière on attribue la gravité depuis Einstein à une « courbure de l’espace-temps » qui n’est qu’une autre formulation des lois de Newton. C’est un artifice mathématique reposant sur la confusion faite par Einstein entre l’espace et la longueur d’onde ou entre le temps et la période d’onde. Mais cela ne donne, pas plus que la loi de Newton, une explication physique de la gravité.
J’ai passé en revue ces dernières semaines différentes théories alternatives intéressantes de scientifiques dissidents déjà évoqués sur mon site et sur ce forum, en essayant de faire une synthèse. Ce n’est pas la peine de les détailler. A mon avis, chacune explique un aspect intéressant de la gravité mais soit repose sur des présupposés contestables soit conduit à des effets qui n’expliquent pas entièrement la monopolarité du champ gravitationnel ou sa nature non locale (indépendante de la vitesse de la lumière).
La théorie la plus intéressante me paraît être celle de la Rythmodynamique d’Ivanov qui explique l’accélération gravitationnelle par un gradient de fréquences dans l’espace, exigeant un ajustement de phases continu à l’intérieur du réseau d’ondes stationnaires de la structure accélérée (lien). Mais à ma question (par Skype translate) sur l’origine de ce champ de fréquences, il m’avait répondu qu’il ne pouvait pas tout savoir. Je me rends compte aujourd’hui de son embarras puisqu’il s’appuyait sans doute sur le modèle de la relativité générale alors même qu’il réfutait la relativité de l’espace et du temps.
En effet, au lieu d’imaginer une courbure de l’espace-temps on peut imaginer un champ analogue sous forme de gradients de fréquences et longueurs d’ondes. Mais cela n’explique pas la cause de ce champ. L’absence d’explication causale physique reste la même.
Le champ gravitationnel sera sans doute expliqué par la mécanique ondulatoire, mais la cause physique de ce champ reste encore un mystère.
Dans le milieu de l’Univers Electrique on reste sceptique (lien): Ils ont mesuré une onde et l’attribuent à une collision de trous noirs dans l’espace. Mais cela pourrait provenir d’une compression géologique causée par une éruption solaire ou un flux de magma sous la croûte terrestre.
Comme on pouvait s’y attendre, ils ont trouvé quelque chose. Et sans beaucoup d'hésitation ils prédisent d'où ça vient. Il fallait à tout prix justifier l’investissement dans le projet et confirmer une idée d’Einstein que celui-ci avait pourtant lui-même abandonnée. (lien).
Quoiqu’il en soit, je ne comprends pas ce que cette théorie (car ce n’est qu’une théorie mathématique) peut apporter à la connaissance de la gravité. Il ne s’agissaitt que de donner raison à Einstein. De toute manière on attribue la gravité depuis Einstein à une « courbure de l’espace-temps » qui n’est qu’une autre formulation des lois de Newton. C’est un artifice mathématique reposant sur la confusion faite par Einstein entre l’espace et la longueur d’onde ou entre le temps et la période d’onde. Mais cela ne donne, pas plus que la loi de Newton, une explication physique de la gravité.
J’ai passé en revue ces dernières semaines différentes théories alternatives intéressantes de scientifiques dissidents déjà évoqués sur mon site et sur ce forum, en essayant de faire une synthèse. Ce n’est pas la peine de les détailler. A mon avis, chacune explique un aspect intéressant de la gravité mais soit repose sur des présupposés contestables soit conduit à des effets qui n’expliquent pas entièrement la monopolarité du champ gravitationnel ou sa nature non locale (indépendante de la vitesse de la lumière).
La théorie la plus intéressante me paraît être celle de la Rythmodynamique d’Ivanov qui explique l’accélération gravitationnelle par un gradient de fréquences dans l’espace, exigeant un ajustement de phases continu à l’intérieur du réseau d’ondes stationnaires de la structure accélérée (lien). Mais à ma question (par Skype translate) sur l’origine de ce champ de fréquences, il m’avait répondu qu’il ne pouvait pas tout savoir. Je me rends compte aujourd’hui de son embarras puisqu’il s’appuyait sans doute sur le modèle de la relativité générale alors même qu’il réfutait la relativité de l’espace et du temps.
En effet, au lieu d’imaginer une courbure de l’espace-temps on peut imaginer un champ analogue sous forme de gradients de fréquences et longueurs d’ondes. Mais cela n’explique pas la cause de ce champ. L’absence d’explication causale physique reste la même.
Le champ gravitationnel sera sans doute expliqué par la mécanique ondulatoire, mais la cause physique de ce champ reste encore un mystère.
Re: Vibration et interdépendance quantique
Bonjour patanjali, bonjour à tous,
Oui effectivement, les dernières expériences basées sur le LIGO interpellent. Je me permets d'ajouter, parmi les explications disponibles sur l'origine de la gravité, la théorie de Lafrenière qui me semble intéressante et pas forcément si difficile à comprendre.
http://web.archive.org/web/20110903092243/http://glafreniere.com/gravite.htm
Lafrenière explique en gros que l'attraction entre deux masses provient de la force réciproque entre deux masses qui, conjointement, construisent une figure d'interférence d'onde entre elles dont la pression de radiation résultante est inférieure sur l'axe qui les relient.
Lafrenière explique également, s'agissant d'une seule masse, qu'elle reçoit des ondes qui sont sphériques à leur origine, mais planes en première approximation lorsqu'elles sont émises depuis un corps lointain. La masse reçoit cette énergie d'ondes planes et réémet cette énergie selon un diagramme d'onde sphérique. Il en résulte une figure d'interférence d'onde impliquant une différence de pression de radiation à l'origine d'un champ de force.
Je pense que l'on peut faire une analogie avec la portance d'une aile d'avion : la géométrie d'une aile d'avion induit une vitesse d'écoulement de l'air différente entre l'extrados et l'intrados. En vertu de la loi de Bernouilli, la différence de vitesse d'écoulement de l'air entre les deux surfaces de l'aile induit une différence de pression statique qui est à l'origine d'une pression supérieur sur l'intrados, et donc une portance, c'est à dire une force de poussée.
D'après Lafrenière, la gravité s'expliquerait par les ondes, comme cause matérielle de tout ce qui existe, de l'électron à la gravité, en passant par la lumière. Les explications de Lafrenière laissent apparaître que la gravité est une force très difficile à comprendre et modéliser, une des plus difficiles comparativement aux forces électromagnétiques. En revanche, l'électron et la construction de la matière semblent moins difficile à concevoir avec sa théorie. Elle permet aussi d'expliquer l'intrication quantique et apporte un éclairage nouveau sur la Relativité. J'avoue être particulièrement séduit par les théories de Lafrenière (dont Youri Ivanov est très proche en terme de modélisation).
Oui effectivement, les dernières expériences basées sur le LIGO interpellent. Je me permets d'ajouter, parmi les explications disponibles sur l'origine de la gravité, la théorie de Lafrenière qui me semble intéressante et pas forcément si difficile à comprendre.
http://web.archive.org/web/20110903092243/http://glafreniere.com/gravite.htm
Lafrenière explique en gros que l'attraction entre deux masses provient de la force réciproque entre deux masses qui, conjointement, construisent une figure d'interférence d'onde entre elles dont la pression de radiation résultante est inférieure sur l'axe qui les relient.
Lafrenière explique également, s'agissant d'une seule masse, qu'elle reçoit des ondes qui sont sphériques à leur origine, mais planes en première approximation lorsqu'elles sont émises depuis un corps lointain. La masse reçoit cette énergie d'ondes planes et réémet cette énergie selon un diagramme d'onde sphérique. Il en résulte une figure d'interférence d'onde impliquant une différence de pression de radiation à l'origine d'un champ de force.
Je pense que l'on peut faire une analogie avec la portance d'une aile d'avion : la géométrie d'une aile d'avion induit une vitesse d'écoulement de l'air différente entre l'extrados et l'intrados. En vertu de la loi de Bernouilli, la différence de vitesse d'écoulement de l'air entre les deux surfaces de l'aile induit une différence de pression statique qui est à l'origine d'une pression supérieur sur l'intrados, et donc une portance, c'est à dire une force de poussée.
D'après Lafrenière, la gravité s'expliquerait par les ondes, comme cause matérielle de tout ce qui existe, de l'électron à la gravité, en passant par la lumière. Les explications de Lafrenière laissent apparaître que la gravité est une force très difficile à comprendre et modéliser, une des plus difficiles comparativement aux forces électromagnétiques. En revanche, l'électron et la construction de la matière semblent moins difficile à concevoir avec sa théorie. Elle permet aussi d'expliquer l'intrication quantique et apporte un éclairage nouveau sur la Relativité. J'avoue être particulièrement séduit par les théories de Lafrenière (dont Youri Ivanov est très proche en terme de modélisation).
SFuchs- Messages : 135
Date d'inscription : 29/05/2015
Re: Vibration et interdépendance quantique
Bonjour Sfuchs et merci pour tes remarques qui relancent le sujet.
Je connais bien l’hypothèse d’une dépression relative entre particules qui expliquerait l’attraction gravitationnelle. Elle entre dans différentes théories, pas seulement celle de Lafrenière. Celle-ci suppose des ondes scalaires sphériques (planes et courbes) et des particules neutre. C’est une simplification méthodologique nécessaire pour construire les animations, qui restent néanmoins en 2D. Ses animations illustrent bien les aspect optiques mais ne peuvent pas rendre compte de l’ensemble des phénomènes physiques. En particulier je ne partage pas ses opinion sur ce qu’on appelle électron.
D’autres conçoivent les particules élémentaires (et le quantum) polarisées (ionisées) comme des vortex de chiralité gauche ou droite, produisant des ondes sous forme de spirales d’Archimède. L’interaction d’ondes sous forme d’onde stationnaire explique surtout l’attraction/répulsion électromagnétique.
Je connais bien aussi l’hypothèse fondée sur le principe de Bernoulli, surtout par la thèse d’Édouard Bernal. Elle explique la dépression par la dynamique des fluides. Elle exige une direction de flux ou un plan de rotation. Mais la gravité est pareille aux pôles et à l’équateur. Il est difficile d’imaginer des flux matériels selon tous les plans possibles.
J’ai envisagé le modèle de Bernoulli sous le point de vue ondulatoire, sachant que Prigogine attribuait le comportement des flux de particules à des résonances. Je pense que le principe de Bernoulli lui-même doit être expliqué par des gradients de fréquences.
J’ai déjà essayé ICI[ d’expliquer la dépression gravitationnelle au sujet de la rotation sphérique. Cette solution s’applique à l’inflexion progressive de la direction radiale incidente des rayonnements en direction orbitale du vortex particulaire.
Mais qu’en est-il de la cumulation de toutes les fréquences provenant de tous les niveaux subatomiques et atomiques qui forment la masse terrestre et sont censés produire la gravité ?
Je soutiens l’idée du vortex particulaire, mais je pense qu’au niveau cosmique il faut renoncer à réduire la question aux particules et à leurs ondes et ne considérer que l’espace, le milieu d’onde qui seul vibre.
Si cela intéresse, je peux essayer dans un autre post de préciser ces idées que j’ai conservées sous forme de brouillon.
Je connais bien l’hypothèse d’une dépression relative entre particules qui expliquerait l’attraction gravitationnelle. Elle entre dans différentes théories, pas seulement celle de Lafrenière. Celle-ci suppose des ondes scalaires sphériques (planes et courbes) et des particules neutre. C’est une simplification méthodologique nécessaire pour construire les animations, qui restent néanmoins en 2D. Ses animations illustrent bien les aspect optiques mais ne peuvent pas rendre compte de l’ensemble des phénomènes physiques. En particulier je ne partage pas ses opinion sur ce qu’on appelle électron.
D’autres conçoivent les particules élémentaires (et le quantum) polarisées (ionisées) comme des vortex de chiralité gauche ou droite, produisant des ondes sous forme de spirales d’Archimède. L’interaction d’ondes sous forme d’onde stationnaire explique surtout l’attraction/répulsion électromagnétique.
Je connais bien aussi l’hypothèse fondée sur le principe de Bernoulli, surtout par la thèse d’Édouard Bernal. Elle explique la dépression par la dynamique des fluides. Elle exige une direction de flux ou un plan de rotation. Mais la gravité est pareille aux pôles et à l’équateur. Il est difficile d’imaginer des flux matériels selon tous les plans possibles.
J’ai envisagé le modèle de Bernoulli sous le point de vue ondulatoire, sachant que Prigogine attribuait le comportement des flux de particules à des résonances. Je pense que le principe de Bernoulli lui-même doit être expliqué par des gradients de fréquences.
J’ai déjà essayé ICI[ d’expliquer la dépression gravitationnelle au sujet de la rotation sphérique. Cette solution s’applique à l’inflexion progressive de la direction radiale incidente des rayonnements en direction orbitale du vortex particulaire.
Mais qu’en est-il de la cumulation de toutes les fréquences provenant de tous les niveaux subatomiques et atomiques qui forment la masse terrestre et sont censés produire la gravité ?
Je soutiens l’idée du vortex particulaire, mais je pense qu’au niveau cosmique il faut renoncer à réduire la question aux particules et à leurs ondes et ne considérer que l’espace, le milieu d’onde qui seul vibre.
Si cela intéresse, je peux essayer dans un autre post de préciser ces idées que j’ai conservées sous forme de brouillon.
Re: Vibration et interdépendance quantique
Si j'arrive déjà à cerner et comprendre ce que tu as déjà exposé et présenté, cela devrait suffire à m'occuper pour un moment, déjà !
Pour l'heure, la gravité me semble être la réalité physique la plus dure à comprendre et modéliser. La théorie d'Einstein me semble clairement insatisfaisante.
Pour l'heure, la gravité me semble être la réalité physique la plus dure à comprendre et modéliser. La théorie d'Einstein me semble clairement insatisfaisante.
SFuchs- Messages : 135
Date d'inscription : 29/05/2015
Re: Vibration et interdépendance quantique
Reprenant les questions de l’éther et de la gravité du point de vue de la mécanique ondulatoire, j’ai rédigé mes conclusions dans un article : Principes decosmologie
En bref, selon les postulats de la Rythmodynamique de Yuri Ivanov:
1) L’espace euclidien (indéformable et sans limite) est le milieu de propagation d'ondes à la vitesse liimite c. Il est le substrat de toute existence et de son unité.
2) Les ondes sont des fluctuations de l’espace. Je fais une distinction entre ondes spatiales quantiques et gravitationnelles (celles-ci ont été suffisamment prouvées) et ondes électromagnétiques produites par les atomes, sur la base de leur énorme différence de dimensions et d’énergie.
3) Les ondes stationnaires sont les interactions élémentaires d’ondes constituant la matière. Seules les ondes quantiques forment les ondes stationnaires de la matière subissant une contraction de Lorentz en fonction de la vitesse.
L’éther entraîné dans les mouvements gravitationnels existe sous forme de plasma, d’ondes stationnaires et de particules ionisées. Mais il n’est pas milieu d’onde, étant lui-même formé d’ondes.
Les particules sont en effet faites d’ondes stationnaires sphériques. Selon le modèle de Wolff et Lafrenière, elles sont formées en vortex entre ondes entrant et ondes sortant.
Selon J.-C. Villame les nucléons (protons) sont des amas complexes en vortex comportant 22 spires ou niveaux formés en moyenne de 12.245 minima ou quanta, que l’on peut interpréter comme des ventres d’ondes stationnaires.
La gravité est un effet du vortex particulaire. Les tourbillons sont des gradients de vitesses ou fréquences qui produisent selon Bernal une dépression centrale par effet Venturi. Le vortex en spirale hyperbolique représente le champ gravitationnel qui, selon Ivanov, est responsable par ses décalages progressifs de phases, de l’accélération gravitationnelle.
Des explications d’Ivanov à ce sujet se trouvent dans un article d’Ivanov traduit sous Auto-organisation, mouvement et gravité.
En bref, selon les postulats de la Rythmodynamique de Yuri Ivanov:
1) L’espace euclidien (indéformable et sans limite) est le milieu de propagation d'ondes à la vitesse liimite c. Il est le substrat de toute existence et de son unité.
2) Les ondes sont des fluctuations de l’espace. Je fais une distinction entre ondes spatiales quantiques et gravitationnelles (celles-ci ont été suffisamment prouvées) et ondes électromagnétiques produites par les atomes, sur la base de leur énorme différence de dimensions et d’énergie.
3) Les ondes stationnaires sont les interactions élémentaires d’ondes constituant la matière. Seules les ondes quantiques forment les ondes stationnaires de la matière subissant une contraction de Lorentz en fonction de la vitesse.
L’éther entraîné dans les mouvements gravitationnels existe sous forme de plasma, d’ondes stationnaires et de particules ionisées. Mais il n’est pas milieu d’onde, étant lui-même formé d’ondes.
Les particules sont en effet faites d’ondes stationnaires sphériques. Selon le modèle de Wolff et Lafrenière, elles sont formées en vortex entre ondes entrant et ondes sortant.
Selon J.-C. Villame les nucléons (protons) sont des amas complexes en vortex comportant 22 spires ou niveaux formés en moyenne de 12.245 minima ou quanta, que l’on peut interpréter comme des ventres d’ondes stationnaires.
La gravité est un effet du vortex particulaire. Les tourbillons sont des gradients de vitesses ou fréquences qui produisent selon Bernal une dépression centrale par effet Venturi. Le vortex en spirale hyperbolique représente le champ gravitationnel qui, selon Ivanov, est responsable par ses décalages progressifs de phases, de l’accélération gravitationnelle.
Des explications d’Ivanov à ce sujet se trouvent dans un article d’Ivanov traduit sous Auto-organisation, mouvement et gravité.
Re: Vibration et interdépendance quantique
SFuchs a écrit:Si j'arrive déjà à cerner et comprendre ce que tu as déjà exposé et présenté, cela devrait suffire à m'occuper pour un moment, déjà !
Pour l'heure, la gravité me semble être la réalité physique la plus dure à comprendre et modéliser. La théorie d'Einstein me semble clairement insatisfaisante.
Il est normal que la gravité soit difficile à modéliser puisque elle agis exclusivement dans l'Espace.
Et l'Espace est un écosystème imperceptible à la matière; seul l'énergie sert d'intermédiaire.
Néanmoins, je trouves que l'espace et beaucoup plus facile à comprendre que la matière solide.
Car si l'espace peut être comparé à un circuit imprimé dont on peut facilement observer les tenants et les aboutissants par une vus d'assemble, la matière solide serait alors assimilable à des composants électroniques dont leur rôles serait plus complexe à déterminer à première vus.
L'erreur que font beaucoup d'entre nous c'est d'essayer de comprendre l'un à travers l'autre comme si les deux écosystèmes ne formaient qu'une mécanique unique.
Madarion- Messages : 10
Date d'inscription : 08/01/2022
Age : 50
Localisation : PERPIGNAN
Re: Vibration et interdépendance quantique
J'ai déjà mentionné l'explication ondulatoire de la gravité dans mon post précédent de ce fil et dans mon dernier message dans le sujet de la lévitation.
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