Les pièges du "consensus scientifique"
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Les pièges du "consensus scientifique"
Le consensus est défini par le CRNTL comme «Accord de plusieurs personnes, de plusieurs textes dans un domaine déterminé. » ou par le Larousse comme « Accord et consentement du plus grand nombre, de l'opinion publique : Consensus social. »
Le consensus est nécessaire pour l’unité, la paix et l’activité coordonnée de toute communauté. Le consensus est un phénomène essentiellement social.
Selon Wikipédia « Le consensus scientifique est le jugement, la position, et l'opinion collectifs des personnes de la communauté scientifique qui travaillent sur un domaine particulier d'étude. Le consensus implique un accord général, mais pas nécessairement à l'unanimité. »
Un blog universitaire précise qu’un consensus « est obtenu par des groupes minoritaires de scientifiques experts dans le domaine en question ».
Un autre glossaire explique qu’un consensus scientifique est une vérité « valable pour une période donnée en fonction des connaissances de l’humanité à cette période », qu’il n’est jamais universel mais constamment remis à l’épreuve. La confrontation conduirait soit à la confirmation, soit à la modification, soit à la remise en question complète du consensus qui nécessiterait un nouveau modèle de pensée, un nouveau paradigme.
Ceci est l’idéal théorique de la science. La pratique en diverge sur plusieurs points.
Le consensus scientifique, privilège d'une élite
D’abord, le consensus est réservé à une élite fermée d’experts et protégé par le contrôle des publications scientifiques par des comités de lecture formée par les mêmes experts. Les contradicteurs ne peuvent pas s’exprimer dans les revues « reconnues », mais seulement sur des sites privés et d’édition ouverte et ils sont disqualifiés comme douteux ou pseudoscientifiques.
Le dogmatisme
Par l’institution d’une censure, certaines théories énumérées par Wikipédia sont devenues des dogmes incontournables :
Le consensus implicite obsolète
Les présupposés implicites qui ont influencé le consensus cosmologique sont ceux du réductionnisme matérialiste et atomiste classique, de la mécanique et gravitation de Newton (même pour Einstein) et de la genèse chrétienne. Les théories alternatives convergent par contre vers les principes de l’électromagnétisme, de la mécanique ondulatoire et de l'auto-organisation. Elles annoncent un nouveau paradigme plus holistique qu’analytique.
Les théories cosmologiques qui ont été réfutées par de nouvelles observations ont été modifiées en introduisant de nouvelles hypothèses, mais jamais elles ne sont remises en question complètement pour instituer un nouveau paradigme électromagnétique.
Le consensus scientifique a conduit la science au dogmatisme et à l’inertie. Il est compréhensible que l’unité de l’enseignement universitaire soit fondé sur un consensus. Mais si l’on ne présente pas aux étudiants et futurs chercheurs des issues alternatives on empêche tout progrès dans la compréhension du monde et de la vie.
La technoscience
Le problème est que la science n’est plus seulement recherche de connaissances dans la sérénité des universités d’antan. Elle est devenue recherche de technologies appliquées et les scientifiques travaillent sous la pression des exigences d’efficacité imposée par des institutions financières. Le progrès ne concerne plus que les technologies.
Comme le décrit un article critique de la technoscience:
La politisation de la science
Enfin, depuis le début de ce millénaire, le consensus scientifique est devenu politique sous prétexte écologique avec la théorie du « réchauffement climatique » parrainée par l’ONU, puis sous prétexte de « pandémie du coronavirus » dirigée par l’OMS pour justifier une « grande réinitialisation » imposée par le Forum Economique Mondial (FEM). Instrumentalisée au moyen de fausses données et au défi de l’observation réelle et du bon sens, les « consensus scientifiques » concernant le « réchauffement climatique» et la « pandémie » restreignent les droits fondamentaux au profit de corporations financières multinationales et du capitalisme spéculatif mondialiste défaillant.
L’idéal de connaissance universelle de la Science a été sacrifié à la technologie et aux intérêts privés de quelques uns.
Le consensus est nécessaire pour l’unité, la paix et l’activité coordonnée de toute communauté. Le consensus est un phénomène essentiellement social.
Selon Wikipédia « Le consensus scientifique est le jugement, la position, et l'opinion collectifs des personnes de la communauté scientifique qui travaillent sur un domaine particulier d'étude. Le consensus implique un accord général, mais pas nécessairement à l'unanimité. »
Un blog universitaire précise qu’un consensus « est obtenu par des groupes minoritaires de scientifiques experts dans le domaine en question ».
Un autre glossaire explique qu’un consensus scientifique est une vérité « valable pour une période donnée en fonction des connaissances de l’humanité à cette période », qu’il n’est jamais universel mais constamment remis à l’épreuve. La confrontation conduirait soit à la confirmation, soit à la modification, soit à la remise en question complète du consensus qui nécessiterait un nouveau modèle de pensée, un nouveau paradigme.
Ceci est l’idéal théorique de la science. La pratique en diverge sur plusieurs points.
Le consensus scientifique, privilège d'une élite
D’abord, le consensus est réservé à une élite fermée d’experts et protégé par le contrôle des publications scientifiques par des comités de lecture formée par les mêmes experts. Les contradicteurs ne peuvent pas s’exprimer dans les revues « reconnues », mais seulement sur des sites privés et d’édition ouverte et ils sont disqualifiés comme douteux ou pseudoscientifiques.
Le dogmatisme
Par l’institution d’une censure, certaines théories énumérées par Wikipédia sont devenues des dogmes incontournables :
Pourtant des théories contradictoires ont été opposées à chacun de ces consensus par des scientifiques aussi bien ou mieux qualifiés que les « experts » désignés, mais qui sont fondées sur d’autres présupposés.• Le modèle héliocentrique ;
• Le modèle standard ;
• Le modèle de la tectonique des plaques ;
• La théorie de la gravitation universelle ;
• La théorie de la relativité générale ;
• La théorie du Big Bang.
Le consensus implicite obsolète
Les présupposés implicites qui ont influencé le consensus cosmologique sont ceux du réductionnisme matérialiste et atomiste classique, de la mécanique et gravitation de Newton (même pour Einstein) et de la genèse chrétienne. Les théories alternatives convergent par contre vers les principes de l’électromagnétisme, de la mécanique ondulatoire et de l'auto-organisation. Elles annoncent un nouveau paradigme plus holistique qu’analytique.
Les théories cosmologiques qui ont été réfutées par de nouvelles observations ont été modifiées en introduisant de nouvelles hypothèses, mais jamais elles ne sont remises en question complètement pour instituer un nouveau paradigme électromagnétique.
Le consensus scientifique a conduit la science au dogmatisme et à l’inertie. Il est compréhensible que l’unité de l’enseignement universitaire soit fondé sur un consensus. Mais si l’on ne présente pas aux étudiants et futurs chercheurs des issues alternatives on empêche tout progrès dans la compréhension du monde et de la vie.
La technoscience
Le problème est que la science n’est plus seulement recherche de connaissances dans la sérénité des universités d’antan. Elle est devenue recherche de technologies appliquées et les scientifiques travaillent sous la pression des exigences d’efficacité imposée par des institutions financières. Le progrès ne concerne plus que les technologies.
Comme le décrit un article critique de la technoscience:
La technoscience est devenue l’instrument de corporations financières, surtout du complexe militaro-industriel et du complexe chimio-pharmaceutique (BigPharma).LE PROJET technoscientifique prend forme au moment où les deux grands récits occidentaux sont défaits.
Le premier récit est celui de l’émancipation politique par le progrès scientifique. ...
Le second grand récit mis à mal est celui de la réalisation de l’Esprit Universel, le Sujet Éclairé & Uni par la connaissance. …
La politisation de la science
Enfin, depuis le début de ce millénaire, le consensus scientifique est devenu politique sous prétexte écologique avec la théorie du « réchauffement climatique » parrainée par l’ONU, puis sous prétexte de « pandémie du coronavirus » dirigée par l’OMS pour justifier une « grande réinitialisation » imposée par le Forum Economique Mondial (FEM). Instrumentalisée au moyen de fausses données et au défi de l’observation réelle et du bon sens, les « consensus scientifiques » concernant le « réchauffement climatique» et la « pandémie » restreignent les droits fondamentaux au profit de corporations financières multinationales et du capitalisme spéculatif mondialiste défaillant.
L’idéal de connaissance universelle de la Science a été sacrifié à la technologie et aux intérêts privés de quelques uns.
Re: Les pièges du "consensus scientifique"
Ces scientifiques dissidents qu'il faut faire taire au nom du consensus
Un article qui illustre l’imposition actuelle du consensus politico-scientifique par la censure et qui le définit comme instrument du totalitarisme.
Un article qui illustre l’imposition actuelle du consensus politico-scientifique par la censure et qui le définit comme instrument du totalitarisme.
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