L'univers électrique
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L'univers électrique
Le plasma
L'univers est un espace infini mais constitué d'un réseau de galaxies qui sont des formations d'une substance fine appelée plasma. On admet actuellement que le plasma est constitué de particules chargées libres comme les électrons, les protons et les autres ions. Il est considéré comme quatrième phase de la matière après les phases solide, liquide et gazeuse.
Il faudrait plutôt dire qu'il est le premier état de la matière. Cependant cet état est précédé par un état plus subtil encore. La mécanique quantique, et sa contrepartie la mécanique ondulatoire, admettent que le proton et l'électron sont des systèmes complexes dont l'ordre de grandeur est de 1041 par rapport au quantum alors que le rayon de l'univers visible selon Hubble est aussi évalué de l'ordre de 1041 par rapport à l'électron. Autrement dit, les dimensions des ions ou atomes stables se trouvent dans la moyenne géométrique entre le minimum de Planck et le maximum de Hubble. (voir wiki; Hypothèse des grands nombres de Dirac.
Le plasma ou éther-plasma est donc un milieu de particules réelles et virtuelles dont les éléments les plus fondamentaux sont des ondes stationnaires en boucle, ce qui explique la nature ondulatoire de l'électromagnétisme.
L'univers plasma
L'espace cosmique est rempli de plasma sous différentes formes selon la densité, la température et la tension électrique. La matière de l'univers est constituée à 99.9% de plasma. Le soleil et les étoiles sont constitués à 100% de plasma. Le plasma est donc constitué de particules chargées libres qui répondent très fortement à des champs électromagnétiques . Les charges libres font du plasma un milieu fortement conducteur d'électricité qui peut transporter des courants électriques et générer des champs magnétiques.
L'héliosphère, l'espace entourant le soleil, est un plasma se déplaçant dans un champ magnétique. Il génère son propre courant électrique et conduit l'électricité mieux que les métaux, L'éther-plasma forme un tourbillon électromagnétique, un fluide électrodynamique qui entraîne les planètes selon leur orbite, comme l'avaient justement compris Kepler et Maxwell.
La théorie Plasma-Universe représente ce vortex de la manière suivante. Cette conception est à mettre en rapport avec le gravitomagnétisme de Thierry De Mees et la nature électromagnétique de la gravitation selon Edouard Bernal.
Les champs magnétiques générés par les courants électriques peuvent provoquer une constriction du plasma (un pincement ), des filaments , générer des faisceaux de particules , émettre un large éventail de rayonnement (ondes radio, la lumière, micro-ondes, rayons X, gamma et le rayonnement synchrotron).
Les champs électromagnétiques du "vent solaire" forment des régions cellulaires de plasma telle que la magnétosphère interplanétaire.
Les expérimentations sur le comportement du plasma ont conduit à différentes prédictions.
Une importante conclusion est que l'univers doit avoir une structure cellulaire filamenteuse à grande échelle. C'est une différence majeure des modèles de Plasma Univers par rapport au Big Bang.
Liens:
http://www.plasma-universe.com
http://www.thunderbolts.info
http://www.holoscience.com
http://www.electricuniverse.info/Introduction
http://www.plasmacosmology.net/
L'univers est un espace infini mais constitué d'un réseau de galaxies qui sont des formations d'une substance fine appelée plasma. On admet actuellement que le plasma est constitué de particules chargées libres comme les électrons, les protons et les autres ions. Il est considéré comme quatrième phase de la matière après les phases solide, liquide et gazeuse.
Il faudrait plutôt dire qu'il est le premier état de la matière. Cependant cet état est précédé par un état plus subtil encore. La mécanique quantique, et sa contrepartie la mécanique ondulatoire, admettent que le proton et l'électron sont des systèmes complexes dont l'ordre de grandeur est de 1041 par rapport au quantum alors que le rayon de l'univers visible selon Hubble est aussi évalué de l'ordre de 1041 par rapport à l'électron. Autrement dit, les dimensions des ions ou atomes stables se trouvent dans la moyenne géométrique entre le minimum de Planck et le maximum de Hubble. (voir wiki; Hypothèse des grands nombres de Dirac.
Le plasma ou éther-plasma est donc un milieu de particules réelles et virtuelles dont les éléments les plus fondamentaux sont des ondes stationnaires en boucle, ce qui explique la nature ondulatoire de l'électromagnétisme.
L'univers plasma
L'espace cosmique est rempli de plasma sous différentes formes selon la densité, la température et la tension électrique. La matière de l'univers est constituée à 99.9% de plasma. Le soleil et les étoiles sont constitués à 100% de plasma. Le plasma est donc constitué de particules chargées libres qui répondent très fortement à des champs électromagnétiques . Les charges libres font du plasma un milieu fortement conducteur d'électricité qui peut transporter des courants électriques et générer des champs magnétiques.
L'héliosphère, l'espace entourant le soleil, est un plasma se déplaçant dans un champ magnétique. Il génère son propre courant électrique et conduit l'électricité mieux que les métaux, L'éther-plasma forme un tourbillon électromagnétique, un fluide électrodynamique qui entraîne les planètes selon leur orbite, comme l'avaient justement compris Kepler et Maxwell.
La théorie Plasma-Universe représente ce vortex de la manière suivante. Cette conception est à mettre en rapport avec le gravitomagnétisme de Thierry De Mees et la nature électromagnétique de la gravitation selon Edouard Bernal.
Les champs magnétiques générés par les courants électriques peuvent provoquer une constriction du plasma (un pincement ), des filaments , générer des faisceaux de particules , émettre un large éventail de rayonnement (ondes radio, la lumière, micro-ondes, rayons X, gamma et le rayonnement synchrotron).
Les expérimentations sur le comportement du plasma ont conduit à différentes prédictions.
Une importante conclusion est que l'univers doit avoir une structure cellulaire filamenteuse à grande échelle. C'est une différence majeure des modèles de Plasma Univers par rapport au Big Bang.
Liens:
http://www.plasma-universe.com
http://www.thunderbolts.info
http://www.holoscience.com
http://www.electricuniverse.info/Introduction
http://www.plasmacosmology.net/
Le bouclier magnétique terrestre et ses variations
Le vent solaire
La couronne solaire électromagnétique n'a pas de frontière précise et se fond dans le milieu interplanétaire. Son expansion se manifeste par un flot de matière ionisée qui baigne tout le système planétaire :.
Le vent solaire est observé et mesuré depuis une trentaine d'années. Mais il existe en fait deux régimes de vent : le vent rapide (> 700 km/s) peu dense et le vent lent ( 300 km/s) plus dense. En passant au voisinage de la Terre, le vent solaire modifie la forme et la structure du champ magnétique autour de la Terre. Le vent solaire est en effet dévié par le bouclier magnétique terrestre. Autour de la Terre, existe une frontière très nette : la magnétopause au-delà de laquelle s'écoule le vent solaire.
Le vent solaire emporte avec lui une infime partie du champ magnétique solaire. Ceci est à l'origine de l'existence du champ magnétique interplanétaire dont les lignes dessinent une spirale d'Archimède (dite de Parker). (source)
Le champ magnétique varie en intensité et en extension en fonction du vent solaire. La dernière image est une animation de wikipedia qui modélise la variation face à une tempête de "vent solaire".
Le bouclier magnétique terrestre.
Le bouclier magnétique terrestre est un immense champ magnétique qui entoure la Terre, de manière non uniforme du fait de son interaction avec le vent solaire. Le champ magnétique terrestre est engendré par les mouvements du noyau métallique liquide des couches profondes de la Terre.
Les explorations par satellite ont fait découvrir en 1958 que la magnétosphère de la Terre est formée de couches appelées ceinture de Van Allen. Il s'agit d'une zone toroïdale de radiations entourant l'équateur magnétique de la Terre et contenant une grande densité de particules énergétiques. La rencontre de ces particules avec les molécules de la haute atmosphère terrestre est à l'origine des aurores boréales. (source wikipedia)
La ceinture intérieure (à 3 500 km) est composée essentiellement de protons, dus à l'action des rayons cosmiques qui bombardent la Terre en permanence. La ceinture extérieure (à 20 000 km) est composée d'électrons.
Un cosmonaute exposé, sans protection, aux radiations des ceintures de Van Allen subirait plusieurs millions de rads par heure (or 500 rads sont généralement mortels). (source futura-science)
Variations du champ et inversion des pôles magnétiques.
Le magnétisme terrestre varie sans cesse en intensité et en direction, au point de s’inverser parfois. Par chance pour les chercheurs, la roche a de la mémoire. Quand les constituants magnétiques de roches volcaniques sont chauds, au-delà d’une certaine température dite de Curie, ils ne présentent plus aucune aimantation. Mais en refroidissant, ces cristaux s’aimantent suivant le champ magnétique terrestre, et se figent. Pour gagner en précision dans les époques plus proches, les géophysiciens se tournent vers les archéologues. La terre cuite possède aussi une mémoire magnétique. Quand une brique a été réchauffée, lors d’un incendie par exemple, sa mémoire est réinitialisée. On peut ainsi dater précisément le champ magnétique gravé dans le matériau ce jour-là.
Grâce à toutes ces données, on sait désormais que les boussoles ont basculé plus de trois cents fois depuis 200 millions d’années. À chaque épisode, le champ terrestre faiblit avant de s’inverser, entraînant une diminution de l’intensité du bouclier magnétique. Les cycles sont très irréguliers. On a constaté des périodes de stabilité de 30 millions d’années, tandis que des inversions se sont produites à quelques centaines de siècles d’intervalle.(source: cnrs
Les excursions et cataclysmes récents.
On admet que la dernière inversion remonte à 780 000 ans. Mais à part les inversions durables, il existe des inversions passagères appelées excursions magnétiques.
De récentes études allemandes en mer Noire confirment que la Terre a connu, voilà 41 000 ans, une inversion ultrarapide de son champ magnétique. Durant 250 ans, elle n’a plus été protégée des rayons cosmiques par son bouclier magnétique. Ce renversement de polarité a été un évènement global, comme le montrent d’autres données d’études effectuées dans l’Atlantique Nord, et la Pacifique Sud.(source)
Des études du CNRS de sédiments marins confirment cet événement connu sous le nom d'excursion de Laschamp. Ces études se basent sur les variations de concentration de Beryllium-10, isotope radioactif produits par les rayons cosmiques sur l'azote et l'oxygène de l'atmosphère.
Les découvertes récentes remettent en question les idées et modèles actuels sur un déroulement lent des inversions du champ magnétique et sur les processus en jeu. D’où l’inquiétude actuelle pour de nombreux scientifiques, alors que le nord magnétique migre vers le sud de plus en plus rapidement, un degré tous les cinq ans, soit environ 110 km. Une nouvelle inversion se prépare, mais personne ne peut prévoir quand elle se produira.
En effet, depuis l'excursion magnétique de Laschamp, il y a eu trois autres excursions bien documentées (appelés selon les sites étudiés Lake Mungo, Mono Lake et Götenburg), une environ tous les 12'000 ans. La dernière date d'il y a 12900 ans, elle a causé l'âge glaciaire du Dryas Récent et a causé l'extinction de 72% des grands mammifères, dont le mammouth et de 10% des petites espèces, dans l'hémisphère nord.
Après la dernière inversion durable qu'on situe à 700 à 800 mille ans, des 'inversions ou excursions magnétiques transitoires (durée de quelques centaines d'années) se sont produites régulièrement. Mais le changement magnétique proprement dit semble se produire en s'accélérant exponentiellement en quelques dizaines d'années. Quant aux changements d'environnement et de climat, tout indique qu'ils interviennent brutalement comme l'attestent les études paléontologiques sur les individus d'espèces ayant subi l'extinction. Ils sont probablement la suite d'orages électromagnétiques accompagnés d'éruptions volcaniques induisant un hiver volcanique: les nuages de poussière et d'acide sulfurique reflètent la lumière et obscurcissent le soleil.
La couronne solaire électromagnétique n'a pas de frontière précise et se fond dans le milieu interplanétaire. Son expansion se manifeste par un flot de matière ionisée qui baigne tout le système planétaire :.
Le vent solaire est observé et mesuré depuis une trentaine d'années. Mais il existe en fait deux régimes de vent : le vent rapide (> 700 km/s) peu dense et le vent lent ( 300 km/s) plus dense. En passant au voisinage de la Terre, le vent solaire modifie la forme et la structure du champ magnétique autour de la Terre. Le vent solaire est en effet dévié par le bouclier magnétique terrestre. Autour de la Terre, existe une frontière très nette : la magnétopause au-delà de laquelle s'écoule le vent solaire.
Le vent solaire emporte avec lui une infime partie du champ magnétique solaire. Ceci est à l'origine de l'existence du champ magnétique interplanétaire dont les lignes dessinent une spirale d'Archimède (dite de Parker). (source)
Le champ magnétique varie en intensité et en extension en fonction du vent solaire. La dernière image est une animation de wikipedia qui modélise la variation face à une tempête de "vent solaire".
Le bouclier magnétique terrestre.
Le bouclier magnétique terrestre est un immense champ magnétique qui entoure la Terre, de manière non uniforme du fait de son interaction avec le vent solaire. Le champ magnétique terrestre est engendré par les mouvements du noyau métallique liquide des couches profondes de la Terre.
Les explorations par satellite ont fait découvrir en 1958 que la magnétosphère de la Terre est formée de couches appelées ceinture de Van Allen. Il s'agit d'une zone toroïdale de radiations entourant l'équateur magnétique de la Terre et contenant une grande densité de particules énergétiques. La rencontre de ces particules avec les molécules de la haute atmosphère terrestre est à l'origine des aurores boréales. (source wikipedia)
La ceinture intérieure (à 3 500 km) est composée essentiellement de protons, dus à l'action des rayons cosmiques qui bombardent la Terre en permanence. La ceinture extérieure (à 20 000 km) est composée d'électrons.
Un cosmonaute exposé, sans protection, aux radiations des ceintures de Van Allen subirait plusieurs millions de rads par heure (or 500 rads sont généralement mortels). (source futura-science)
Variations du champ et inversion des pôles magnétiques.
Le magnétisme terrestre varie sans cesse en intensité et en direction, au point de s’inverser parfois. Par chance pour les chercheurs, la roche a de la mémoire. Quand les constituants magnétiques de roches volcaniques sont chauds, au-delà d’une certaine température dite de Curie, ils ne présentent plus aucune aimantation. Mais en refroidissant, ces cristaux s’aimantent suivant le champ magnétique terrestre, et se figent. Pour gagner en précision dans les époques plus proches, les géophysiciens se tournent vers les archéologues. La terre cuite possède aussi une mémoire magnétique. Quand une brique a été réchauffée, lors d’un incendie par exemple, sa mémoire est réinitialisée. On peut ainsi dater précisément le champ magnétique gravé dans le matériau ce jour-là.
Grâce à toutes ces données, on sait désormais que les boussoles ont basculé plus de trois cents fois depuis 200 millions d’années. À chaque épisode, le champ terrestre faiblit avant de s’inverser, entraînant une diminution de l’intensité du bouclier magnétique. Les cycles sont très irréguliers. On a constaté des périodes de stabilité de 30 millions d’années, tandis que des inversions se sont produites à quelques centaines de siècles d’intervalle.(source: cnrs
Les excursions et cataclysmes récents.
On admet que la dernière inversion remonte à 780 000 ans. Mais à part les inversions durables, il existe des inversions passagères appelées excursions magnétiques.
De récentes études allemandes en mer Noire confirment que la Terre a connu, voilà 41 000 ans, une inversion ultrarapide de son champ magnétique. Durant 250 ans, elle n’a plus été protégée des rayons cosmiques par son bouclier magnétique. Ce renversement de polarité a été un évènement global, comme le montrent d’autres données d’études effectuées dans l’Atlantique Nord, et la Pacifique Sud.(source)
Des études du CNRS de sédiments marins confirment cet événement connu sous le nom d'excursion de Laschamp. Ces études se basent sur les variations de concentration de Beryllium-10, isotope radioactif produits par les rayons cosmiques sur l'azote et l'oxygène de l'atmosphère.
Les découvertes récentes remettent en question les idées et modèles actuels sur un déroulement lent des inversions du champ magnétique et sur les processus en jeu. D’où l’inquiétude actuelle pour de nombreux scientifiques, alors que le nord magnétique migre vers le sud de plus en plus rapidement, un degré tous les cinq ans, soit environ 110 km. Une nouvelle inversion se prépare, mais personne ne peut prévoir quand elle se produira.
En effet, depuis l'excursion magnétique de Laschamp, il y a eu trois autres excursions bien documentées (appelés selon les sites étudiés Lake Mungo, Mono Lake et Götenburg), une environ tous les 12'000 ans. La dernière date d'il y a 12900 ans, elle a causé l'âge glaciaire du Dryas Récent et a causé l'extinction de 72% des grands mammifères, dont le mammouth et de 10% des petites espèces, dans l'hémisphère nord.
Après la dernière inversion durable qu'on situe à 700 à 800 mille ans, des 'inversions ou excursions magnétiques transitoires (durée de quelques centaines d'années) se sont produites régulièrement. Mais le changement magnétique proprement dit semble se produire en s'accélérant exponentiellement en quelques dizaines d'années. Quant aux changements d'environnement et de climat, tout indique qu'ils interviennent brutalement comme l'attestent les études paléontologiques sur les individus d'espèces ayant subi l'extinction. Ils sont probablement la suite d'orages électromagnétiques accompagnés d'éruptions volcaniques induisant un hiver volcanique: les nuages de poussière et d'acide sulfurique reflètent la lumière et obscurcissent le soleil.
La Terre dans l'univers électrique
La Terella de Birkeland
Kristian Birkeland était le précurseur sur lequel se fonde la théorie de l'univers électrique qui est actuellement largement confirmée par les explorations spatiales. Ce fut lui qui, au début du 20ème siècle, formula correctement l'hypothèse des courants électriques du Soleil allumant les aurores boréales et australes de la Terre. Birkeland a construit une chambre à vide et a placé à l'intérieur une boule de métal magnétisée, appelée terrella, qui figurait la Terre. Il a observé le comportement de la terrella en atmosphère artificielle, chargée électriquement. Bizarrement, en plus de résoudre l'énigme des aurores de la Terre, les expériences électriques de Birkeland ont aussi simulé les anneaux planétaires et les manifestations énergétiques des jets cométaires.
Les filaments ou arcs électriques et les phénomènes lumineux qui les accompagnent dans l'expérience avec le plasma sont semblables aux images de galaxies.
Ce que la cosmologie du plasma dit, c'est que la force qui gouverne l'univers à grande échelle n'est pas la gravité mais l'électromagnétisme. Elle élimine la nécessité de trous noirs, matière noire, trous de ver, espace-temps élastiques, puits de gravité, et ainsi de suite. Elle nie également l'expansion de l'univers, (Source: original angl - trad. fr.)
Aurores, éclairs, jets bleus et farfadets
Les courants de plasma ont les propriétés des fluides, ils forment des spirales ou cordes. Par l'effet magnétique induit, leurs filaments sont contractés ou pincés en double hélice (z-pinch). Ce phénomène se produit aussi bien dans les courants galactiques que dans les éclairs de notre atmosphère.
Les expériences de Birkeland ont expliqué aussi bien le comportement de la couronne solaire que la magnétosphère terrestre et ses nombreux phénomènes électromagnétiques et lumineux dont les aurores boréales ne sont qu'un exemple spectaculaire.
Les aurores polaires sont provoquées par l'interaction entre les particules chargées du vent solaire et la haute atmosphère. Elles se produisent principalement dans les régions proches des pôles, . L'azote donne des couleurs bleues et rouges et l'oxygène des teintes vertes et rouges.
La Terre, l'atmosphère et la ionosphère extérieure sont en effet en constante interaction électromagnétique.
Les jets bleus naissent au sommet de certains nuages et montent à grande vitesse vers les basses couches de l'ionosphère. Ils sont typiquement bleus et affichent une forme conique.
Les farfadets (sprites en anglais) pour leur part trouvent leur origine dans l'ionosphère. Ils sont plutôt rougeâtres et se propagent vers le bas en multiples filaments et formes.
Impacts de foudre ou d'arcs électriques
La foudre produit de très hautes températures qui peuvent brûler ou faire fondre toute matière minérale ou organique en causant des trous ou cratères de forme typique. La foudre peut transformer le sable ou rocher en fulgurite (dernière image).
Des trous ou cratères semblables sont provoqués sur des semi-conducteurs par des décharges électrostatiques.
Des photos de proximité de la comète Wild 2 prises par la sonde Stardust révèlent les mêmes signes de décharge électrique et de petits points brillants, provoqués par l'interaction avec le plasma ou vent solaire..
C'est pourquoi, les partisans de l'univers électrique supposent que certaines formes de cratères géologiques sont également d'origine électrique. Cela concerne les "Caroline bays", des groupes de formes géologiques ovalaires découvertes sur la côte est des EU que l'on attribue à l'impact d'une comète. Mais ces baies ne contiennent aucun reste de comète ou d'astéroïde et on trouve des baies semblables aussi en Alaska, en Sibérie ou en Australie. En explorant ces formations du sud-ouest de l'Australie sur Google earth on trouve, en plein milieu d'une strie de baies, le fameux Wave rock de Hyden qui défie toute explication géologique classique par tectonique et érosions.
Si ces formations géologiques sont d'origine électrique, cela suppose des impacts cosmiques lors d'éruptions solaires. Ceci est possible lorsque le bouclier magnétique terrestre disparaît au cours des inversions magnétiques qui se sont produites régulièrement dans le passé.
Des foudres de telle ampleur cosmique produisent des températures et pressions qui transforment les atomes de l'atmosphère en éléments nouveaux, en partie radioactifs, vitrifient les sables et les roches et créent des microdiamants. Des découvertes géologiques, paléontologiques et archéologiques de ce type sur des sites de destruction massive de civilisations ou d'espèces confirment l'existence de la nature électrique des cataclysmes dont les plus récents sont restés gravés dans la mémoire des survivants.
Kristian Birkeland était le précurseur sur lequel se fonde la théorie de l'univers électrique qui est actuellement largement confirmée par les explorations spatiales. Ce fut lui qui, au début du 20ème siècle, formula correctement l'hypothèse des courants électriques du Soleil allumant les aurores boréales et australes de la Terre. Birkeland a construit une chambre à vide et a placé à l'intérieur une boule de métal magnétisée, appelée terrella, qui figurait la Terre. Il a observé le comportement de la terrella en atmosphère artificielle, chargée électriquement. Bizarrement, en plus de résoudre l'énigme des aurores de la Terre, les expériences électriques de Birkeland ont aussi simulé les anneaux planétaires et les manifestations énergétiques des jets cométaires.
Les filaments ou arcs électriques et les phénomènes lumineux qui les accompagnent dans l'expérience avec le plasma sont semblables aux images de galaxies.
Ce que la cosmologie du plasma dit, c'est que la force qui gouverne l'univers à grande échelle n'est pas la gravité mais l'électromagnétisme. Elle élimine la nécessité de trous noirs, matière noire, trous de ver, espace-temps élastiques, puits de gravité, et ainsi de suite. Elle nie également l'expansion de l'univers, (Source: original angl - trad. fr.)
Aurores, éclairs, jets bleus et farfadets
Les courants de plasma ont les propriétés des fluides, ils forment des spirales ou cordes. Par l'effet magnétique induit, leurs filaments sont contractés ou pincés en double hélice (z-pinch). Ce phénomène se produit aussi bien dans les courants galactiques que dans les éclairs de notre atmosphère.
Les expériences de Birkeland ont expliqué aussi bien le comportement de la couronne solaire que la magnétosphère terrestre et ses nombreux phénomènes électromagnétiques et lumineux dont les aurores boréales ne sont qu'un exemple spectaculaire.
Les aurores polaires sont provoquées par l'interaction entre les particules chargées du vent solaire et la haute atmosphère. Elles se produisent principalement dans les régions proches des pôles, . L'azote donne des couleurs bleues et rouges et l'oxygène des teintes vertes et rouges.
La Terre, l'atmosphère et la ionosphère extérieure sont en effet en constante interaction électromagnétique.
Les jets bleus naissent au sommet de certains nuages et montent à grande vitesse vers les basses couches de l'ionosphère. Ils sont typiquement bleus et affichent une forme conique.
Les farfadets (sprites en anglais) pour leur part trouvent leur origine dans l'ionosphère. Ils sont plutôt rougeâtres et se propagent vers le bas en multiples filaments et formes.
Impacts de foudre ou d'arcs électriques
La foudre produit de très hautes températures qui peuvent brûler ou faire fondre toute matière minérale ou organique en causant des trous ou cratères de forme typique. La foudre peut transformer le sable ou rocher en fulgurite (dernière image).
Des trous ou cratères semblables sont provoqués sur des semi-conducteurs par des décharges électrostatiques.
Des photos de proximité de la comète Wild 2 prises par la sonde Stardust révèlent les mêmes signes de décharge électrique et de petits points brillants, provoqués par l'interaction avec le plasma ou vent solaire..
C'est pourquoi, les partisans de l'univers électrique supposent que certaines formes de cratères géologiques sont également d'origine électrique. Cela concerne les "Caroline bays", des groupes de formes géologiques ovalaires découvertes sur la côte est des EU que l'on attribue à l'impact d'une comète. Mais ces baies ne contiennent aucun reste de comète ou d'astéroïde et on trouve des baies semblables aussi en Alaska, en Sibérie ou en Australie. En explorant ces formations du sud-ouest de l'Australie sur Google earth on trouve, en plein milieu d'une strie de baies, le fameux Wave rock de Hyden qui défie toute explication géologique classique par tectonique et érosions.
Si ces formations géologiques sont d'origine électrique, cela suppose des impacts cosmiques lors d'éruptions solaires. Ceci est possible lorsque le bouclier magnétique terrestre disparaît au cours des inversions magnétiques qui se sont produites régulièrement dans le passé.
Des foudres de telle ampleur cosmique produisent des températures et pressions qui transforment les atomes de l'atmosphère en éléments nouveaux, en partie radioactifs, vitrifient les sables et les roches et créent des microdiamants. Des découvertes géologiques, paléontologiques et archéologiques de ce type sur des sites de destruction massive de civilisations ou d'espèces confirment l'existence de la nature électrique des cataclysmes dont les plus récents sont restés gravés dans la mémoire des survivants.
Dernière édition par patanjali le Lun 2 Sep 2019 - 5:48, édité 1 fois
L'homme dans l'univers électrique
Les pétroglyphes, témoins de phénomènes électriques extraordinaires.
Un pétroglyphe est un dessin symbolique gravé sur de la pierre. Les anciens peintres d'art rupestre qui représentaient des motifs naturels et symboliques en couleurs. Mais un jour il y a environ 12000 ans, ils se mirent partout en même temps, sur tous les continents à graver d'étranges formes et figures blanches. Puisque tous ont commencé en même temps avec les mêmes images, et comme ils ne pouvaient pas être en contact les uns avec les autres. Le plus probable est qu'ils ont vu, un même événement dans le ciel, visible partout mais sous différents angles.
Anthony L. Peratt a découvert que ces objets du Néolithique ou du début du Bronze présentent les formes associées aux pincements de courants de haute tension (Z-pinch). Il a comparé les pétroglyphes de tous les continents (sauf l'antarctique) qui sont classées par les archéologues en 84 catégories et a conclu qu'elles représentent fidèlement les différentes formes que peuvent prendre des courants de plasma cosmiques de différentes intensités formant dans le ciel une aurore visible de partout.
Il a publié ses recherches très fouillées dans un article sur "les caractéristiques d'apparitions d'une aurore z_pinch de courant élevé tel qu'enregistré dans l'antiquité". (Characteristics for the Occurrence of a High-Current, Z-Pinch Aurora as Recorded in Antiquity)
Il a constaté que les peintures rupestres représentent avec une grande fidélité et précision des phénomènes lumineux que l'on observe dans des courants de plasma de très haute intensité. Selon l'intensité progressive du courant de plasma, on observe d'abord des formes en boucles chaotiques qui se regroupent en une colonne à segments de forme toroïdale appelée "chenille" caterpillar) ou "échelle" (ladder).
Les deux figures de gauche sont des radiographies d'une colonne de plasma de 4 cm de diamètre à 16 méga-ampères. (Los Alamos Physics)
A leur plus haute intensité, la contraction de l'échelle aboutit à la forme de "squatting man" (homme accroupi). Il se produit un aplatissement dans la partie centrale et une déformation en courbure aux deux extrémités
Cette figure, appelée "squatter" par les collectionneurs, est de loin la forme la plus répandue au monde.
La figure suivante montre dix exemples d'une seule catégorie de pétroglyphes trouvés partout dans le monde: la figure anthropomorphique avec des points de chaque côté de la section médiane.
Les décharges plasmatiques (foudres) ont été souvent interprétées et représentées par un personnage sous forme de lancier, archer ou joueur de flûte, appelé "Kokopelli".
L'homme électromagnétique.
Le "squatter", est une figure à la fois physique et métaphysique. Il a été comparé à la trilogie de l'arbre de vie traditionnel: Yggdrasil.
En effet, l'homme lui-même est électromagnétique et il est produit par l'univers électrique. L'homme et la Vie en général, émergent de l'interférence entre le !e Roi Soleil et la Terre Mère. Le corps énergétique humain est organisé par une colonne de fluide plasmatique en colonnes entrelacées (kundalini) avec des segments de vortex électromagnétique aux fréquences progressives en arc en ciel organisées en octaves . Ces segments sont les chakras des traditions ésotériques indiennes, que certains parviennent à visualiser, et d'où divergent les réseaux de canaux d'énergie de l'acupuncture chinoise.
En Europe, cette structure est symbolisée par les différentes formes du caducée. Ce symbole de l'hermétisme et de l'alchimie a une origine lointaine commune avec les cosmologies orientales.
Conclusion.
A l'origine des traditions il y a le plus souvent une réalité scientifique et historique mais qui, au cours du temps, est transformée et dégénère en mythes politico-religieux particuliers qui dégénèrent.
L'homme appartient à l'Univers électrique. Il est créé par l'univers selon les principes universels. Il appartient à l'Univers, ce qui ne signifie pas que l'Univers lui appartienne, comme les mythes judéo-chrétiens de la genèse et du peuple élu ont pu le faire croire.
La Nature élimine périodiquement dans les catastrophes cosmiques les espèces trop spécialisées, mal adaptées, qui parasitent et prolifèrent. Les mémoires traditionnelles du Déluge devraient nous rappeler qu'aucune espèce n'est immortelle et les pétroglyphes représentant des orages électromagnétiques gigantesques devraient nous faire comprendre qu'une civilisation qui se construit sur les excès technologiques, dépassant toute limite, en violation des principes physiques et éthiques de la Nature, ne peut pas avoir d'avenir.
Un pétroglyphe est un dessin symbolique gravé sur de la pierre. Les anciens peintres d'art rupestre qui représentaient des motifs naturels et symboliques en couleurs. Mais un jour il y a environ 12000 ans, ils se mirent partout en même temps, sur tous les continents à graver d'étranges formes et figures blanches. Puisque tous ont commencé en même temps avec les mêmes images, et comme ils ne pouvaient pas être en contact les uns avec les autres. Le plus probable est qu'ils ont vu, un même événement dans le ciel, visible partout mais sous différents angles.
Anthony L. Peratt a découvert que ces objets du Néolithique ou du début du Bronze présentent les formes associées aux pincements de courants de haute tension (Z-pinch). Il a comparé les pétroglyphes de tous les continents (sauf l'antarctique) qui sont classées par les archéologues en 84 catégories et a conclu qu'elles représentent fidèlement les différentes formes que peuvent prendre des courants de plasma cosmiques de différentes intensités formant dans le ciel une aurore visible de partout.
Il a publié ses recherches très fouillées dans un article sur "les caractéristiques d'apparitions d'une aurore z_pinch de courant élevé tel qu'enregistré dans l'antiquité". (Characteristics for the Occurrence of a High-Current, Z-Pinch Aurora as Recorded in Antiquity)
Il a constaté que les peintures rupestres représentent avec une grande fidélité et précision des phénomènes lumineux que l'on observe dans des courants de plasma de très haute intensité. Selon l'intensité progressive du courant de plasma, on observe d'abord des formes en boucles chaotiques qui se regroupent en une colonne à segments de forme toroïdale appelée "chenille" caterpillar) ou "échelle" (ladder).
Les deux figures de gauche sont des radiographies d'une colonne de plasma de 4 cm de diamètre à 16 méga-ampères. (Los Alamos Physics)
A leur plus haute intensité, la contraction de l'échelle aboutit à la forme de "squatting man" (homme accroupi). Il se produit un aplatissement dans la partie centrale et une déformation en courbure aux deux extrémités
Cette figure, appelée "squatter" par les collectionneurs, est de loin la forme la plus répandue au monde.
La figure suivante montre dix exemples d'une seule catégorie de pétroglyphes trouvés partout dans le monde: la figure anthropomorphique avec des points de chaque côté de la section médiane.
Les décharges plasmatiques (foudres) ont été souvent interprétées et représentées par un personnage sous forme de lancier, archer ou joueur de flûte, appelé "Kokopelli".
L'homme électromagnétique.
Le "squatter", est une figure à la fois physique et métaphysique. Il a été comparé à la trilogie de l'arbre de vie traditionnel: Yggdrasil.
En effet, l'homme lui-même est électromagnétique et il est produit par l'univers électrique. L'homme et la Vie en général, émergent de l'interférence entre le !e Roi Soleil et la Terre Mère. Le corps énergétique humain est organisé par une colonne de fluide plasmatique en colonnes entrelacées (kundalini) avec des segments de vortex électromagnétique aux fréquences progressives en arc en ciel organisées en octaves . Ces segments sont les chakras des traditions ésotériques indiennes, que certains parviennent à visualiser, et d'où divergent les réseaux de canaux d'énergie de l'acupuncture chinoise.
En Europe, cette structure est symbolisée par les différentes formes du caducée. Ce symbole de l'hermétisme et de l'alchimie a une origine lointaine commune avec les cosmologies orientales.
Conclusion.
A l'origine des traditions il y a le plus souvent une réalité scientifique et historique mais qui, au cours du temps, est transformée et dégénère en mythes politico-religieux particuliers qui dégénèrent.
L'homme appartient à l'Univers électrique. Il est créé par l'univers selon les principes universels. Il appartient à l'Univers, ce qui ne signifie pas que l'Univers lui appartienne, comme les mythes judéo-chrétiens de la genèse et du peuple élu ont pu le faire croire.
La Nature élimine périodiquement dans les catastrophes cosmiques les espèces trop spécialisées, mal adaptées, qui parasitent et prolifèrent. Les mémoires traditionnelles du Déluge devraient nous rappeler qu'aucune espèce n'est immortelle et les pétroglyphes représentant des orages électromagnétiques gigantesques devraient nous faire comprendre qu'une civilisation qui se construit sur les excès technologiques, dépassant toute limite, en violation des principes physiques et éthiques de la Nature, ne peut pas avoir d'avenir.
Les diamants ne sont pas éternels
Le site Ancient Destructions se rapproche des conceptions "Univers électrique". Parmi les récents articles je traduis et résume des extraits du dernier.
Les tremblements de terre et des volcans émettent souvent des jets de plasmoïdes transparents et colorés surgissant comme des bulles géantes du sol! Ces formations électromagnétiques chaotiques ont de nombreuses formes et couleurs et peuvent se déplacer à une vitesse supersonique, traversant de façon transparente ou perforant des obstacles! Ces Plasmoïdes sentent le feu et la destruction. Dans l’antiquité on les appelait gorgones, Hésiode précisait qu’elles avaient le pouvoir de pétrifier.
Il semblerait que les Gorgones ont peut-être joué un rôle actif dans la mythologie aborigène d'Australie. Des traditions orales et des danses rappellent ces plasmoïdes démoniaques sur de nombreux sites et sous diverses formes. Leur serpent arc-en-ciel était responsable de la sculpture des systèmes fluviaux sur la face de la Terre et il est même tenu responsable de la construction des montagnes et de la formation des lacs. N’est-ce que de la fantaisie ?
Louis Hissink, un ancien géologue prospecteur de diamants pour DeBeers à Kimberley, Australie, raconte comment il s’est distancé des théories géologiques classiques concernant la formation des diamants lorsqu’il a été confronté à la mythologie autochtone. Il avait étendu l’exploration depuis les célèbres mines d’Argyle aux plaines alluviales près de Kununurra, à environ 150 kilomètres. Des diamants alluviaux ont été trouvés, mais la source était encore à isoler. Une anomalie magnétique indiquait un point de concentration!
Alors qu’il demandait l'autorisation des tribus locales Gidja et Mirriwong, une légende fascinante lui fut révélée. Elle relatait qu'un Barramundi géant (poisson) avait sauté hors du sol à Argyle. Les autochtones ont insisté que le site de l'anomalie magnétique à Kununurra était là où il a plongé de nouveau dans la Terre! Les deux sites étaient riches en diamants autour de leurs profonds "tuyaux de diamant"! La légende Barramundi était-elle absurde ou ces gens avaient-ils été témoins, d’un Plasmoïde géant provoquant la transmutation des éléments et la création de diamants sur une grande échelle?
Nous pouvons éventuellement assimiler la légende du Barramundi des aborigènes australiens bondissant et réentrant dans la terre aux images de la NASA du soleil lors d’une de ses décharges électromagnétiques. Le 19 Juillet 2012, une éruption a eu lieu sur le soleil. Une éruption solaire modérément puissante a explosé sur le bord inférieur droit du soleil, déchargeant de la lumière et du rayonnement. Vient ensuite une CME (Coronal Mass Ejection), qui jaillit vers la droite dans l'espace. Et puis, le soleil convie les téléspectateurs à l'un de ses spectacles éblouissants, un phénomène connu comme pluie coronale.
Les grands plasmoïdes des volcans et des tremblements de terre (autres phénomènes électromagnétiques) se montrent capables de sculpter la Terre en les perforant à grandes vitesses! Ils se convertissent souvent en tornades, phénomènes étroitement liés. Même des tsunamis sont produits lorsque des plasmoïdes géants explosent! Mais la capacité des plasmoïdes de créer de nouveaux éléments, tout en émettant de la lumière, est un domaine encore au stade d'avant-garde de notre compréhension!
Remarque personnelle : Les plasmoïdes comprennent de toute évidence des phénomènes de même nature que ce que Lochak a décrit comme champs magnétiques monopolaires à propos des étranges observations de la catastrophe de Tchernobyl (voir ICI).
La science est devant des impasses, figée dans des présuppositions obsolètes. Pour commencer seulement à comprendre l’univers, toutes les théories actuellement reconnues par consensus, physiques, biologiques, géologiques et cosmologiques, devront à l’avenir être révisées et unifiées sur la base de l’électromagnétisme et de la mécanique ondulatoire qui doivent eux-mêmes être mieux compris. L’histoire de la science n’est pas finie, elle ne fait que commencer une nouvelle étape.
Mais il ne faut pas se faire d’illusion. Il faut plusieurs générations avant que des nouveautés révolutionnaires soient acceptées par la communauté scientifique.
Les tremblements de terre et des volcans émettent souvent des jets de plasmoïdes transparents et colorés surgissant comme des bulles géantes du sol! Ces formations électromagnétiques chaotiques ont de nombreuses formes et couleurs et peuvent se déplacer à une vitesse supersonique, traversant de façon transparente ou perforant des obstacles! Ces Plasmoïdes sentent le feu et la destruction. Dans l’antiquité on les appelait gorgones, Hésiode précisait qu’elles avaient le pouvoir de pétrifier.
Il semblerait que les Gorgones ont peut-être joué un rôle actif dans la mythologie aborigène d'Australie. Des traditions orales et des danses rappellent ces plasmoïdes démoniaques sur de nombreux sites et sous diverses formes. Leur serpent arc-en-ciel était responsable de la sculpture des systèmes fluviaux sur la face de la Terre et il est même tenu responsable de la construction des montagnes et de la formation des lacs. N’est-ce que de la fantaisie ?
Louis Hissink, un ancien géologue prospecteur de diamants pour DeBeers à Kimberley, Australie, raconte comment il s’est distancé des théories géologiques classiques concernant la formation des diamants lorsqu’il a été confronté à la mythologie autochtone. Il avait étendu l’exploration depuis les célèbres mines d’Argyle aux plaines alluviales près de Kununurra, à environ 150 kilomètres. Des diamants alluviaux ont été trouvés, mais la source était encore à isoler. Une anomalie magnétique indiquait un point de concentration!
Alors qu’il demandait l'autorisation des tribus locales Gidja et Mirriwong, une légende fascinante lui fut révélée. Elle relatait qu'un Barramundi géant (poisson) avait sauté hors du sol à Argyle. Les autochtones ont insisté que le site de l'anomalie magnétique à Kununurra était là où il a plongé de nouveau dans la Terre! Les deux sites étaient riches en diamants autour de leurs profonds "tuyaux de diamant"! La légende Barramundi était-elle absurde ou ces gens avaient-ils été témoins, d’un Plasmoïde géant provoquant la transmutation des éléments et la création de diamants sur une grande échelle?
Nous pouvons éventuellement assimiler la légende du Barramundi des aborigènes australiens bondissant et réentrant dans la terre aux images de la NASA du soleil lors d’une de ses décharges électromagnétiques. Le 19 Juillet 2012, une éruption a eu lieu sur le soleil. Une éruption solaire modérément puissante a explosé sur le bord inférieur droit du soleil, déchargeant de la lumière et du rayonnement. Vient ensuite une CME (Coronal Mass Ejection), qui jaillit vers la droite dans l'espace. Et puis, le soleil convie les téléspectateurs à l'un de ses spectacles éblouissants, un phénomène connu comme pluie coronale.
Les grands plasmoïdes des volcans et des tremblements de terre (autres phénomènes électromagnétiques) se montrent capables de sculpter la Terre en les perforant à grandes vitesses! Ils se convertissent souvent en tornades, phénomènes étroitement liés. Même des tsunamis sont produits lorsque des plasmoïdes géants explosent! Mais la capacité des plasmoïdes de créer de nouveaux éléments, tout en émettant de la lumière, est un domaine encore au stade d'avant-garde de notre compréhension!
Remarque personnelle : Les plasmoïdes comprennent de toute évidence des phénomènes de même nature que ce que Lochak a décrit comme champs magnétiques monopolaires à propos des étranges observations de la catastrophe de Tchernobyl (voir ICI).
La science est devant des impasses, figée dans des présuppositions obsolètes. Pour commencer seulement à comprendre l’univers, toutes les théories actuellement reconnues par consensus, physiques, biologiques, géologiques et cosmologiques, devront à l’avenir être révisées et unifiées sur la base de l’électromagnétisme et de la mécanique ondulatoire qui doivent eux-mêmes être mieux compris. L’histoire de la science n’est pas finie, elle ne fait que commencer une nouvelle étape.
Mais il ne faut pas se faire d’illusion. Il faut plusieurs générations avant que des nouveautés révolutionnaires soient acceptées par la communauté scientifique.
Prémices d'une invesion géomagnétique ?
Le site spaceweather.com/ relate les phénomènes suivants:
Le 30.08.2019
UNE FISSURE DANS LE CHAMP MAGNÉTIQUE DE LA TERRE: Il n'y a pas eu de tempête géomagnétique le 26 août. Des aurores sont apparues quand même. Sans avertissement, une fissure s'est ouverte dans le champ magnétique terrestre, permettant au vent solaire de pénétrer dans la magnétosphère de notre planète. Alan Dyer a photographié la lueur résultante du sud de la Saskatchewan dans le parc national des Prairies:
Le 31.08.2019
UN ‘JET ‘ OU ARC GIGANTESQUE AU-DESSUS DE LA CHINE: Le 25 août, l'astrophotographe chinois Chao Shen de la ville de Shaoxing est allé photographier la Voie lactée à l'extérieur. Un typhon appelé "White Deer" avait traversé la veille et les nuages d'orage se séparaient. "J'ai vu les étoiles - mais ce n'est pas tout", explique Shen. "Un arc gigantesque a éclaté juste devant mes yeux!"
Considérez-les comme des sprites sous stéroïdes: Les arcs gigantesques (Gigantic Jets) sont des décharges fulgurantes qui jaillissent du sommet des orages et atteignent le bord de l’espace. Ils sont énormes et puissants.
"Shen a définitivement attrapé un jet gigantesque", confirme Oscar van der Velde du groupe de recherche Lightning de l'Université polytechnique de Catalogne. "On dirait qu'il a peut-être atteint 90 km au-dessus du sol."
"Les gigantesques Jets sont beaucoup plus rares que les sprites", déclare van der Velde. "Alors que les images-objets ont été découverts en 1989 et ont depuis été photographiées par milliers, ce n’est qu’en 2001-2002 que les Jets Gigantesques ont été enregistré pour la première fois à Porto Rico et à Taiwan." Seules des dizaines de gigantesques jets ont jamais été photographiés.
Shen a déclaré que "le Jet venait d'une tempête à environ 100 km au sud-ouest de moi. Il était tellement énorme que je pouvais le voir clairement malgré la distance."
Les observateurs de sprites peuvent se demander si Shen a vraiment vu ce jet. La réponse est oui." Contrairement aux sprites, qui scintillent si rapidement qu'ils sont difficiles à voir à l'œil nu, les jets gigantesques peuvent durer des centaines de millisecondes, suffisamment longtemps pour permettre à un œil humain d'enregistrer sa lueur violette.
Les jets gigantesques font partie d'une ménagerie croissante de formes étranges qui apparaissent au-dessus des orages intenses, notamment des sprites, des elfes, des trolls et des jets bleus. Certains chercheurs pensent que les rayons cosmiques aident à déclencher ces "événements lumineux transitoires" en ionisant l'air dans et autour des sommets des orages. Si tel est le cas, le moment est venu de rechercher à observer de gigantesques jets, car les rayons cosmiques approchent de leur plus haut degré.
Ces phénomènes exceptionnels sont concomitants
-- du début d’un Grand Minimum Solaire (GMS) ;
-- de l’affaiblissement et désorganisation du bouclier géomagnétique ;
--de l’augmentation des rayons cosmiques ;
Ils semblent être des signes précurseurs d’une inversion ou excursion des pôles du champ magnétique terrestre et du passage à un petit (ou grand) âge glaciaire.
Explications à suivre
Le 30.08.2019
UNE FISSURE DANS LE CHAMP MAGNÉTIQUE DE LA TERRE: Il n'y a pas eu de tempête géomagnétique le 26 août. Des aurores sont apparues quand même. Sans avertissement, une fissure s'est ouverte dans le champ magnétique terrestre, permettant au vent solaire de pénétrer dans la magnétosphère de notre planète. Alan Dyer a photographié la lueur résultante du sud de la Saskatchewan dans le parc national des Prairies:
Le 31.08.2019
UN ‘JET ‘ OU ARC GIGANTESQUE AU-DESSUS DE LA CHINE: Le 25 août, l'astrophotographe chinois Chao Shen de la ville de Shaoxing est allé photographier la Voie lactée à l'extérieur. Un typhon appelé "White Deer" avait traversé la veille et les nuages d'orage se séparaient. "J'ai vu les étoiles - mais ce n'est pas tout", explique Shen. "Un arc gigantesque a éclaté juste devant mes yeux!"
Considérez-les comme des sprites sous stéroïdes: Les arcs gigantesques (Gigantic Jets) sont des décharges fulgurantes qui jaillissent du sommet des orages et atteignent le bord de l’espace. Ils sont énormes et puissants.
"Shen a définitivement attrapé un jet gigantesque", confirme Oscar van der Velde du groupe de recherche Lightning de l'Université polytechnique de Catalogne. "On dirait qu'il a peut-être atteint 90 km au-dessus du sol."
"Les gigantesques Jets sont beaucoup plus rares que les sprites", déclare van der Velde. "Alors que les images-objets ont été découverts en 1989 et ont depuis été photographiées par milliers, ce n’est qu’en 2001-2002 que les Jets Gigantesques ont été enregistré pour la première fois à Porto Rico et à Taiwan." Seules des dizaines de gigantesques jets ont jamais été photographiés.
Shen a déclaré que "le Jet venait d'une tempête à environ 100 km au sud-ouest de moi. Il était tellement énorme que je pouvais le voir clairement malgré la distance."
Les observateurs de sprites peuvent se demander si Shen a vraiment vu ce jet. La réponse est oui." Contrairement aux sprites, qui scintillent si rapidement qu'ils sont difficiles à voir à l'œil nu, les jets gigantesques peuvent durer des centaines de millisecondes, suffisamment longtemps pour permettre à un œil humain d'enregistrer sa lueur violette.
Les jets gigantesques font partie d'une ménagerie croissante de formes étranges qui apparaissent au-dessus des orages intenses, notamment des sprites, des elfes, des trolls et des jets bleus. Certains chercheurs pensent que les rayons cosmiques aident à déclencher ces "événements lumineux transitoires" en ionisant l'air dans et autour des sommets des orages. Si tel est le cas, le moment est venu de rechercher à observer de gigantesques jets, car les rayons cosmiques approchent de leur plus haut degré.
Ces phénomènes exceptionnels sont concomitants
-- du début d’un Grand Minimum Solaire (GMS) ;
-- de l’affaiblissement et désorganisation du bouclier géomagnétique ;
--de l’augmentation des rayons cosmiques ;
Ils semblent être des signes précurseurs d’une inversion ou excursion des pôles du champ magnétique terrestre et du passage à un petit (ou grand) âge glaciaire.
Explications à suivre
Impacts cosmiques foudroyants, exterminations et glaciations
Des chercheurs géniaux, non spécialisés, ont fait la synthèse des témoignages anciens avec les découvertes scientifiques récentes.
Dès le 19ème siècle, George Cuvier, Claude Shaeffer et Immmanuel Velikovsky, ont établi par la comparaison de découvertes archéologiques, paléontologiques et astronomiques, que l’évolution géologique climatique et biologique n’a pas été lente et progressive sur des millions d’années comme le suppose l’enseignement depuis Darwin, mais qu’elle a procédé par sauts. Des périodes relativement stables sont interrompues par des catastrophes avec extinctions d’espèces, suivies d’apparition rapide de nouvelles espèces adaptées au nouvel environnement.
Leurs découvertes, qui remettent en question des présupposés fondamentaux de la biologie, de l’évolution et de la géologie ont été ridiculisées comme ‘catastrophisme’ par le consensus hypocrite de la Royal Society. Mais elles sont remise en honneur par des sciences alternatives qui restent ignorées parce qu’elles réfutent le dogme matérialiste, chimique ou nucléaires de la communauté scientifique.
Dans ses deux livres Not by fire but by Ice (pas par le feu mais par la glace) et Magnetic reversals and evolutionary leaps (Inversions magnétiques et sauts évolutionnaires) , Robert Felix soutient, sur la base d’une imposante archive de données géologiques, paléontologiques, sédimentologiques et paléomagnétiques (entre autres), que des extinctions brusques d’espèces ou de civilisations coïncident avec des excursions ou inversions du champ géomagnétique qui surviennent environ tous les 12.500 ans. Ces catastrophes coïncident en général avec des passages entre périodes glaciaires et interglaciaires (rappel).
La dernière excursion magnétique, celle dite de Gotenburg, est datée entre 13.000 et 12.350 ans avant le présent. Responsable de l’extinction des plus grands mammifères, mammouths et mastodontes, elle coïncide avec l’éruption du supervolcan du Laachersee, 12950 ans avant le présent, et un refroidissement glaciaire sévère il y a 12.700 ans suivi, il y a 11.700 ans d’un rapide réchauffement en moins de 100 ans et d’inondations généralisées, marquant la fin de l’ère glaciaire et le début de notre période chaude du holocène.
Alors que la science conventionnelle attribue les catastrophes cosmiques à des impacts d’astéroïdes ou de comètes. Les astronomes et physiciens indépendants de Plasma Universe (Wal Thonhill) ou Thunderbolts Project (David Talbott) les expliquent par des décharges électriques gigantesques. Ils soutiennent que 99.99% de l’univers est du plasma et que la galaxie, le soleil et leurs relations avec notre planète sont régis par l’électricité. Ils attribuent les catastrophes récurrentes à l’affaiblissement du champ géomagnétique permettant des impacts cosmiques sous forme des foudres géantes dont la géologie porte les traces de températures extrêmes sous forme de fulgurites, de vitrifications dans le sable ou sur des murs des vestiges archéologiques de civilisations subitement disparues ainsi que de nanodiamants dans les défenses de mammouths foudroyés. Ils interprètent les innombrables cratères de la lune, de mars et de tous les corps célestes à l’action érosive d’arcs électriques géants car ils en ont la forme et ne portent pas trace des débris attendus d’une collision mécanique de masses rocheuses. (rappel)
Les variations de climat sur près de 800.000 ans mises en évidence par carottages de sédiments ou de glaces polaires font apparaître non seulement les cycles de 11 ans bien connus de l’activité solaire mais laissent deviner d’autres cycles liés au magnétisme terrestre, à l’excentricité des orbites planétaires et aux influences de la galaxie. On admet en effet que les rayons cosmiques favorisent la formation des nuages mais et qu’ils influencent aussi la sismicité et le volcanisme.
La question n’est plus si cela se produira mais quand cela se produira. En calculant les battements entre plusieurs cycles naturels, le Professor Valentina Zharkova a calculé qu’un Super Grand Minimum pourrait commencer dès l’année 2020 et continuer jusqu’à 2055.
L’humanité n’est menacée ni par un réchauffement, ni par une glaciation du climat, auxquels elle a toujours su s’adapter, mais elle peut être exterminée comme d’autres espèces, lors d’une des excursions magnétiques, par une catastrophe comprenant des activités sismiques et volcaniques extrêmes et des foudres gigantesques qui détruiraient immédiatement les réseaux électriques et électroniques, plongeant l’humanité dans le noir et mettant fin à la civilisation technologique. Les réchappés modernes réapprendraient difficilement les moyens primordiaux qui permettent de survivre en autonomie dans une nature dévastée. Le plus important semble être de savoir produire et conserver le feu.
Témoignages d'aurores extraordinaires
PRINCIPES DE FORMATION DES AURORES POLAIRES
Dans l’Univers Électrique, le Soleil est une anode, ou terminal chargé positivement, avec une cathode virtuelle invisible, appelée héliopause. La frontière héliosphèrique, à des millions de kilomètres de distance, est une région à double couche de polarité électrique +/- centrée sur le Soleil qui l’isole du plasma galactique et des rayons cosmiques. (source)
Cette bulle interplanétaire, est dominée par le vent solaire émis par le soleil, un flux de plasma formé de ions positivement chargés.
La Terre est protégée du vent solaire par son champ géomagnétique, dont la frontière externe est appelée magnétopause ou bouclier magnétique. Elle est formée, comme l’héliosphère, par une double couche de charges électriques opposées.
Les tempêtes magnétiques, qui sont à l’origine des aurores polaires, sont causées soit par une éruption solaire (CME, coronal mass ejection) apparaissant pendant un maximum d’activité solaire, soit par des trous de la couronne (coronal hole) lors des minima d’activité solaire qui déchargent des protons accélérant le vent solaire. Lorsque des flux massifs de vent solaire pénètrent dans l’atmosphère, ils provoquent, par la ionisation des molécules, la formation de plasmas dont l’émission de lumière est connue comme aurore polaire.
En fonction de l’intensité du vent solaire et/ou de la faiblesse du bouclier magnétique terrestre, d’autres phénomènes extraordinaires encore mal compris peuvent se produire et se sont produits dans un passé reculé selon des témoignages antiques ou préhistoriques. Le physicien Anthony L. Peratt, éminent spécialiste du plasma, a comparé ces témoignages avec le comportement en laboratoire des plasmas sous haute tension électrique. Il a expliqué ces phénomènes plasmatiques de l’atmosphère dans l’article:
"Caractéristiques d'une aurore Z-Pinch de haute intensité rapportée dans l'Antiquité".
J’essaie d’expliquer de manière simplifiée ce que j’en comprends.
AURORE ARTIFICIELLE ET NATURELLE
En introduction de l’article, Anthony L. Peratt présente une photo très semblable à celle d’un ‘Jet gigantesque’ (rappel).
Mais il s‘agit d’une aurore artificielle prise depuis un avion depuis Los Alamos, trois minutes après une explosion atomique expérimentale à 400 km d’altitude, en 1962, au-dessus d’un atoll hawaïens. Outre ce ‘Jet gigantesque’ l’explosion avait déclenché des dégâts électroniques aux satellites, des perturbations électriques à Hawaï et formé un anneau de plasma inattendu en forme de tore, ceinturant l’équateur et qui a perduré une centaine de jour, émettant des radiations. Les deux image présentent des striations caractéristiques de l’organisation des flux de plasma.
La formation des aurores naturelles est illustrée par les deux images suivantes. Le dessin à gauche montre le plasma en cône formé par le flux électropositif entrant du vent solaire et un flux électronégatifs sortant de l’atmosphère terrestre. Le dessin de droite montre comment les flux opposés sont serrés par leurs champs magnétiques en cordes étroites selon le mécanisme appelé z-pinch.
STRUCTURES D’EMPILEMENTS DE PLASMAS EN LABORATOIRE
L'ensemble de données expérimentales, obtenus par radiographies d’une colonne de plasma conducteur et par graphiques de simulations informatique sont assemblé à la figure 10.
La morphologie z-pinch suppose une décharge électrique dans l’ordre multimegavolt, multimegaampère. L’évolution dans le temps est celle d’une structure auto-organisante. La colonne plasmatique conductrice commence par une phase non linéaire où les ondulations en spirale sur la surface externe s’effondrent en tores (anneaux en forme de beignets) pliées et gondolées. Comme indiqué dans le Temps1, le nombre maximal de tores est neuf. Cependant, à mesure que le courant augmente, les tores subissent des pressions intenses provoquant des déformations, et réduisant leur nombre par contraction jusqu’à une unité entre deux ampoules semi-sphériques supérieure et inférieure. Avec un courant croissant, les tores se déforment violemment et se recroquevillent sur leurs bords.
FIGURES D’ONDES DE CHOC DES AURORES
Le circuit électrique auroral est bien connu par un grand nombre de mesures dans la magnétosphère et l'ionosphère. Au-dessus de la basse atmosphère, à environ 100 km, de multiples couches empilées de plasma forment l'ionosphère. Les aurores se produisent dans la partie inférieure de l'ionosphère, principalement entre 90 et 150 km environ, du fait de l'interaction des électrons avec les molécules de la haute atmosphère. Les courants entrants relativistes (proches de la vitesse de la lumière) et sporadiques, produisent des chocs intenses à nombre de Mach élevé aux interfaces des couches du plasma. En plus des flux de particules verticaux, les phénomènes de surface de choc forment un phénomène extrêmement intense. Les surfaces planes susceptibles d’être déstabilisées par des chocs sont les couches supérieures de l’atmosphère. Ce sont ces couches dans lesquelles nous observons les rideaux et les instabilités dus aux impulsions électriques sporadiques de haute intensité se propageant le long de la colonne aurorale.
La perturbation pulsée initiale, provoque sur une couche plus dense de l’atmosphère des ondulations se développant rapidement en épines périodiquement espacées et se transformant en formes d’instabilité encore plus complexes. Finalement, le plasma se désintègre sous forme de décharges électriques intenses, des foudres connues communément comme décharges atmosphériques, accompagnées du tonnerre, son de l'onde de choc.
LES PETROGLYPHES
Peratt a reconnu la similitude de la séquence des structures plasmatiques ou aurorales avec le pétroglyphes apparues simultanément il y a environ 12000 ans sur tous les continents, témoignages des hommes du néolithique, d’aurores et de foudres extraordinaires observés lors de l’inversion géomagnétique transitoire de Gotenburg.
D’autres images et explications ont été reproduites dans le message précédent :
"L’homme dans l’univers électrique".
Dans l’Univers Électrique, le Soleil est une anode, ou terminal chargé positivement, avec une cathode virtuelle invisible, appelée héliopause. La frontière héliosphèrique, à des millions de kilomètres de distance, est une région à double couche de polarité électrique +/- centrée sur le Soleil qui l’isole du plasma galactique et des rayons cosmiques. (source)
Cette bulle interplanétaire, est dominée par le vent solaire émis par le soleil, un flux de plasma formé de ions positivement chargés.
La Terre est protégée du vent solaire par son champ géomagnétique, dont la frontière externe est appelée magnétopause ou bouclier magnétique. Elle est formée, comme l’héliosphère, par une double couche de charges électriques opposées.
Les tempêtes magnétiques, qui sont à l’origine des aurores polaires, sont causées soit par une éruption solaire (CME, coronal mass ejection) apparaissant pendant un maximum d’activité solaire, soit par des trous de la couronne (coronal hole) lors des minima d’activité solaire qui déchargent des protons accélérant le vent solaire. Lorsque des flux massifs de vent solaire pénètrent dans l’atmosphère, ils provoquent, par la ionisation des molécules, la formation de plasmas dont l’émission de lumière est connue comme aurore polaire.
En fonction de l’intensité du vent solaire et/ou de la faiblesse du bouclier magnétique terrestre, d’autres phénomènes extraordinaires encore mal compris peuvent se produire et se sont produits dans un passé reculé selon des témoignages antiques ou préhistoriques. Le physicien Anthony L. Peratt, éminent spécialiste du plasma, a comparé ces témoignages avec le comportement en laboratoire des plasmas sous haute tension électrique. Il a expliqué ces phénomènes plasmatiques de l’atmosphère dans l’article:
"Caractéristiques d'une aurore Z-Pinch de haute intensité rapportée dans l'Antiquité".
J’essaie d’expliquer de manière simplifiée ce que j’en comprends.
AURORE ARTIFICIELLE ET NATURELLE
En introduction de l’article, Anthony L. Peratt présente une photo très semblable à celle d’un ‘Jet gigantesque’ (rappel).
Mais il s‘agit d’une aurore artificielle prise depuis un avion depuis Los Alamos, trois minutes après une explosion atomique expérimentale à 400 km d’altitude, en 1962, au-dessus d’un atoll hawaïens. Outre ce ‘Jet gigantesque’ l’explosion avait déclenché des dégâts électroniques aux satellites, des perturbations électriques à Hawaï et formé un anneau de plasma inattendu en forme de tore, ceinturant l’équateur et qui a perduré une centaine de jour, émettant des radiations. Les deux image présentent des striations caractéristiques de l’organisation des flux de plasma.
La formation des aurores naturelles est illustrée par les deux images suivantes. Le dessin à gauche montre le plasma en cône formé par le flux électropositif entrant du vent solaire et un flux électronégatifs sortant de l’atmosphère terrestre. Le dessin de droite montre comment les flux opposés sont serrés par leurs champs magnétiques en cordes étroites selon le mécanisme appelé z-pinch.
STRUCTURES D’EMPILEMENTS DE PLASMAS EN LABORATOIRE
L'ensemble de données expérimentales, obtenus par radiographies d’une colonne de plasma conducteur et par graphiques de simulations informatique sont assemblé à la figure 10.
La morphologie z-pinch suppose une décharge électrique dans l’ordre multimegavolt, multimegaampère. L’évolution dans le temps est celle d’une structure auto-organisante. La colonne plasmatique conductrice commence par une phase non linéaire où les ondulations en spirale sur la surface externe s’effondrent en tores (anneaux en forme de beignets) pliées et gondolées. Comme indiqué dans le Temps1, le nombre maximal de tores est neuf. Cependant, à mesure que le courant augmente, les tores subissent des pressions intenses provoquant des déformations, et réduisant leur nombre par contraction jusqu’à une unité entre deux ampoules semi-sphériques supérieure et inférieure. Avec un courant croissant, les tores se déforment violemment et se recroquevillent sur leurs bords.
FIGURES D’ONDES DE CHOC DES AURORES
Le circuit électrique auroral est bien connu par un grand nombre de mesures dans la magnétosphère et l'ionosphère. Au-dessus de la basse atmosphère, à environ 100 km, de multiples couches empilées de plasma forment l'ionosphère. Les aurores se produisent dans la partie inférieure de l'ionosphère, principalement entre 90 et 150 km environ, du fait de l'interaction des électrons avec les molécules de la haute atmosphère. Les courants entrants relativistes (proches de la vitesse de la lumière) et sporadiques, produisent des chocs intenses à nombre de Mach élevé aux interfaces des couches du plasma. En plus des flux de particules verticaux, les phénomènes de surface de choc forment un phénomène extrêmement intense. Les surfaces planes susceptibles d’être déstabilisées par des chocs sont les couches supérieures de l’atmosphère. Ce sont ces couches dans lesquelles nous observons les rideaux et les instabilités dus aux impulsions électriques sporadiques de haute intensité se propageant le long de la colonne aurorale.
La perturbation pulsée initiale, provoque sur une couche plus dense de l’atmosphère des ondulations se développant rapidement en épines périodiquement espacées et se transformant en formes d’instabilité encore plus complexes. Finalement, le plasma se désintègre sous forme de décharges électriques intenses, des foudres connues communément comme décharges atmosphériques, accompagnées du tonnerre, son de l'onde de choc.
LES PETROGLYPHES
Peratt a reconnu la similitude de la séquence des structures plasmatiques ou aurorales avec le pétroglyphes apparues simultanément il y a environ 12000 ans sur tous les continents, témoignages des hommes du néolithique, d’aurores et de foudres extraordinaires observés lors de l’inversion géomagnétique transitoire de Gotenburg.
D’autres images et explications ont été reproduites dans le message précédent :
"L’homme dans l’univers électrique".
Re: L'univers électrique
Fossiles et squelettes du lac Mungo et du lac Victoria, Sodome et Gomorrhe australiens
Article déplacé ici:
https://sciencetradition.forumactif.com/t504-champ-geomagnetique-terrestre-climat-et-extinctions-massives#2772
Article déplacé ici:
https://sciencetradition.forumactif.com/t504-champ-geomagnetique-terrestre-climat-et-extinctions-massives#2772
Re: L'univers électrique
L'Univers électrique « hérétique » — Un nouveau paradigme
Un article fondé sur une interview de Wallace Thornhill qui résume toutes ses critiques de la cosmologie soutenue par l 'establishment scientifique.
Un article fondé sur une interview de Wallace Thornhill qui résume toutes ses critiques de la cosmologie soutenue par l 'establishment scientifique.
Re: L'univers électrique
Le site australien Principia Scientific présente tous les jours des articles résumant des informations alternatives de la vraie science fondée sur l’observation, l’expérimentation et le bon sans œillères idéologiques et politiques.
Aujourd’hui il présente une nouvelle vidéo de Peter Mungo Jupp ,collaborateur du site thunderbolts.info, qui est heureusement soustitrée en français.
https://principia-scientific.com/archaeologist-peter-mungo-jupp-mass-extinction-thru-cosmic-force/
La vidéo présente les observations archéologiques et paléontologiques de grandes extinctions de masse ainsi que les témoignages archéologiques et mythologiques de grandes catastrophes cosmiques. Selon les conceptions d’Univers Électrique les bouleversements brutaux sont la conséquence de l’affaiblissement et de l’inversion de polarité du champ magnétique terrestre qui permettent l’irruption des puissantes énergies de plasma d’origine solaire sous forme d’éclairs gigantesques.
Les évolutions biologiques, climatiques et géologiques ne sont pas lentes et progressives ; elles sont entrecoupées de catastrophes cosmiques produites par des inversions du champ magnétique terrestre qui se produisent en général lors des passages entre périodes glaciaires et interglaciaires.
Aujourd’hui il présente une nouvelle vidéo de Peter Mungo Jupp ,collaborateur du site thunderbolts.info, qui est heureusement soustitrée en français.
https://principia-scientific.com/archaeologist-peter-mungo-jupp-mass-extinction-thru-cosmic-force/
La vidéo présente les observations archéologiques et paléontologiques de grandes extinctions de masse ainsi que les témoignages archéologiques et mythologiques de grandes catastrophes cosmiques. Selon les conceptions d’Univers Électrique les bouleversements brutaux sont la conséquence de l’affaiblissement et de l’inversion de polarité du champ magnétique terrestre qui permettent l’irruption des puissantes énergies de plasma d’origine solaire sous forme d’éclairs gigantesques.
Les évolutions biologiques, climatiques et géologiques ne sont pas lentes et progressives ; elles sont entrecoupées de catastrophes cosmiques produites par des inversions du champ magnétique terrestre qui se produisent en général lors des passages entre périodes glaciaires et interglaciaires.
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