Réflexions sur le redshift cosmique
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Réflexions sur le redshift cosmique
En 1924, Edwin Hubble a démontré que les petites taches floues de lumière que nous voyons dans le ciel sont "d’énormes îles de milliards d'étoiles." L'examen des grands télescopes a révélé que plus une galaxie apparait faible et petite, et plus le décalage de son spectre vers le rouge (redshift) était important. Hubble attribuait la faiblesse de luminosité à l’éloignement et le redshift à une perte d’énergie selon une loi physique encore inconnue (lien).
C'est au russe Alexandre Friedmann et au prêtre catholique belge Georges Lemaître que l'on doit l'interprétation initiale du redshift par un effet Doppler-Fizeau proportionnel à la supposée vitesse d'éloignement des galaxies. Cette théorie qui attribue l'origine de l'univers à une explosion suivie d'une expansion créant de la matière, a connu un succès d'autant plus grand qu'elle attribue un début et un âge à l'univers qui semblait confirmer le mythe de la genèse du monothéisme.
De plus, comme le redshift observé est le même dans les trois directions de l'espace, cela indiquerait que toutes les galaxies s'éloigneraient de la Terre qui serait donc le centre du monde, l'endroit même où se serait produit le Bigbang, donc la création. On reviendrait donc à une conception anthropocentrique du monde, proche de celles d'Aristote ou de Ptolémée.
Cette conséquence étant inacceptable, les scientifiques ont expliqué la vitesse d’éloignement présumée par une dilatation de l’espace. Wikipédia, se moquant de notre intelligence, veut nous faire croire que l’univers se dilate comme la pâte d’un cake mais que les galaxies, comme les raisins du cake, ne se dilateraient pas. Ceci permettrait à l’intérieur de notre galaxie, de mesurer la dilatation de l’espace à l’extérieur de la galaxie, que nous ne pourrions pas mesurer si nous nous dilations en même temps.
L’expansion de l’espace heurte le bon sens. L’idée vient de la relativité et de la courbure de l’espace-temps d’Einstein qui est absurde. Par rapport à quoi l’univers serait-il en expansion ? Par rapport à quoi l’espace serait il étendu et limité ? Qu’y aurait-il avant le Big bang ? - Il faut chercher d’autres explications qui ne font pas intervenir une supposée vitesse d’éloignement; il y en a au moins trois.
L’effet Doppler existe en cosmologie et dans les deux sens. Il existe comme décalage vers le rouge lorsque les corps célestes s’éloignent mais aussi comme décalage vers le bleu lorsqu’ils se rapprochent. C’est le cas de la galaxie d’Andromède, la plus proche, qui se rapproche de notre Voie lactée à la vitesse de 430 000 km/h. Mais ces vitesses sont modérées et n’expliquent pas le redshift cosmique.
Le redshift intrinsèque est proposé par les scientifiques qui soutiennent les conceptions de l’Univers électrique et refusent l’expansion de l’espace. Ils ont découvert des quasars à redshift élevé situés devant des galaxies à redshift faible. Des observations indiquent que des objets à hauts redshifts sont éjectés par des galaxies actives. Elles invalident la théorie selon laquelle les redshift les plus élevés, ceux des quasars, seraient aux confins de l’univers et les premiers corps matériels produits après le big bang du big-bang, permettant de calculer un âge et une limite de l’univers. Le redshift intrinsèque serait produit au lieu d’émission, dans les quasars. Ces amas plasmatiques ont une densité énergétique telle que la masse des nucléons et par conséquent les orbites et niveaux des électrons sont plus étendus que ce que nous mesurons dans notre galaxie. Par conséquent les spectres de fréquences sont décalés selon une échelle quantique discontinue, confirmée par les mesures. Le redshift intrinsèque explique le spectre des quasars qui sont régulièrement situés prés de galaxies dont le redshift est moins important. Cependant le redshift intrinsèque n’explique pas le redshift des galaxies qui augmente avec leur éloignement.
Le redshift cosmique que Hubble attribuait à l’éloignement, peut être expliqué par des lois physiques connues.
Ceci est mon hypothèse : Je postule que la lumière ne se propage pas par les présumés photons d’Einstein mais par des ondes sphériques qui obéissent aux lois fondamentales de l’optique.
L’énergie d’une onde sinusoïdale est proportionnelle à sa fréquence f et au carré de son amplitude A. L’intensité de l’onde lumineuse équivalente à son énergie est formulée ainsi:
I = k * f.A2 où k désigne un ensemble de constantes qui dépend essentiellement du milieu d’onde.
(lien)
L’intensité diminue en principe avec le carré de la distance, car l’énergie de l’onde diffuse en surface sphérique. Mais l'amplitude ne peut pas diminuer infiniment en raison du moment cinétique minimal appelé quantum de Planck. Au cours des très grandes distances intergalactiques, l’énergie est conservée et une amplitude supérieure au minimum de Planck est maintenue, mais cela aux dépens de la fréquence qui diminue.
Il se produit donc nécessairement un décalage vers le rouge en fonction de la distance, pour conserver l’énergie et une amplitude d'onde supérieure au minimum de Planck.
C'est au russe Alexandre Friedmann et au prêtre catholique belge Georges Lemaître que l'on doit l'interprétation initiale du redshift par un effet Doppler-Fizeau proportionnel à la supposée vitesse d'éloignement des galaxies. Cette théorie qui attribue l'origine de l'univers à une explosion suivie d'une expansion créant de la matière, a connu un succès d'autant plus grand qu'elle attribue un début et un âge à l'univers qui semblait confirmer le mythe de la genèse du monothéisme.
De plus, comme le redshift observé est le même dans les trois directions de l'espace, cela indiquerait que toutes les galaxies s'éloigneraient de la Terre qui serait donc le centre du monde, l'endroit même où se serait produit le Bigbang, donc la création. On reviendrait donc à une conception anthropocentrique du monde, proche de celles d'Aristote ou de Ptolémée.
Cette conséquence étant inacceptable, les scientifiques ont expliqué la vitesse d’éloignement présumée par une dilatation de l’espace. Wikipédia, se moquant de notre intelligence, veut nous faire croire que l’univers se dilate comme la pâte d’un cake mais que les galaxies, comme les raisins du cake, ne se dilateraient pas. Ceci permettrait à l’intérieur de notre galaxie, de mesurer la dilatation de l’espace à l’extérieur de la galaxie, que nous ne pourrions pas mesurer si nous nous dilations en même temps.
L’expansion de l’espace heurte le bon sens. L’idée vient de la relativité et de la courbure de l’espace-temps d’Einstein qui est absurde. Par rapport à quoi l’univers serait-il en expansion ? Par rapport à quoi l’espace serait il étendu et limité ? Qu’y aurait-il avant le Big bang ? - Il faut chercher d’autres explications qui ne font pas intervenir une supposée vitesse d’éloignement; il y en a au moins trois.
L’effet Doppler existe en cosmologie et dans les deux sens. Il existe comme décalage vers le rouge lorsque les corps célestes s’éloignent mais aussi comme décalage vers le bleu lorsqu’ils se rapprochent. C’est le cas de la galaxie d’Andromède, la plus proche, qui se rapproche de notre Voie lactée à la vitesse de 430 000 km/h. Mais ces vitesses sont modérées et n’expliquent pas le redshift cosmique.
Le redshift intrinsèque est proposé par les scientifiques qui soutiennent les conceptions de l’Univers électrique et refusent l’expansion de l’espace. Ils ont découvert des quasars à redshift élevé situés devant des galaxies à redshift faible. Des observations indiquent que des objets à hauts redshifts sont éjectés par des galaxies actives. Elles invalident la théorie selon laquelle les redshift les plus élevés, ceux des quasars, seraient aux confins de l’univers et les premiers corps matériels produits après le big bang du big-bang, permettant de calculer un âge et une limite de l’univers. Le redshift intrinsèque serait produit au lieu d’émission, dans les quasars. Ces amas plasmatiques ont une densité énergétique telle que la masse des nucléons et par conséquent les orbites et niveaux des électrons sont plus étendus que ce que nous mesurons dans notre galaxie. Par conséquent les spectres de fréquences sont décalés selon une échelle quantique discontinue, confirmée par les mesures. Le redshift intrinsèque explique le spectre des quasars qui sont régulièrement situés prés de galaxies dont le redshift est moins important. Cependant le redshift intrinsèque n’explique pas le redshift des galaxies qui augmente avec leur éloignement.
Le redshift cosmique que Hubble attribuait à l’éloignement, peut être expliqué par des lois physiques connues.
Ceci est mon hypothèse : Je postule que la lumière ne se propage pas par les présumés photons d’Einstein mais par des ondes sphériques qui obéissent aux lois fondamentales de l’optique.
L’énergie d’une onde sinusoïdale est proportionnelle à sa fréquence f et au carré de son amplitude A. L’intensité de l’onde lumineuse équivalente à son énergie est formulée ainsi:
I = k * f.A2 où k désigne un ensemble de constantes qui dépend essentiellement du milieu d’onde.
(lien)
L’intensité diminue en principe avec le carré de la distance, car l’énergie de l’onde diffuse en surface sphérique. Mais l'amplitude ne peut pas diminuer infiniment en raison du moment cinétique minimal appelé quantum de Planck. Au cours des très grandes distances intergalactiques, l’énergie est conservée et une amplitude supérieure au minimum de Planck est maintenue, mais cela aux dépens de la fréquence qui diminue.
Il se produit donc nécessairement un décalage vers le rouge en fonction de la distance, pour conserver l’énergie et une amplitude d'onde supérieure au minimum de Planck.
Dernière édition par patanjali le Mar 30 Juin 2020 - 7:11, édité 1 fois
Le Big Bang réfuté par les images du télescope James Web
"Les images du télescope James Webb (JWST ) réfutent-elles la théorie du Big Bang ?"
C’est la question que pose Eric J. Lerner, auteur d’un article reproduit par le site Principia scientific.
Je suis parvenu dans ce sujet à la même conclusion d'un redshift cosmique fonction de l'éloignement, tout simplement par les lois de l’optique et le bon sens. J’ai publié la démonstration dans un article GSJ (Général Science Journal)
Par ailleurs, l’auteur explique l’univers, comme dans la théorie de l’univers électrique, par la physique des plasmas qui peut être étudiée expérimentalement en laboratoire.
Conclusion
Le cosmos n’a pas de limite et n’a pas d’âge. Il est infini et éternel. Il évolue par auto-organisation en permanence tout en restant uni et synchronisé par intrication quantique Ses propriétés résultent des résonances de la mécanique ondulatoire, en particulier des propriétés des ondes stationnaires et de leur onde de phase, découverte par Louis de Broglie.
Cette interdépendance et synchronicité de l’auto-organisation universelle est connue dans la tradition bouddhistes sous le nom de « coproduction conditionnée »
C’est la question que pose Eric J. Lerner, auteur d’un article reproduit par le site Principia scientific.
En effet :« Dans le flot d'articles techniques astronomiques publiés en ligne depuis le 12 juillet, les auteurs rapportent encore et encore que les images montrent un nombre étonnamment élevé de galaxies, des galaxies étonnamment lisses, étonnamment petites et étonnamment anciennes. Beaucoup de surprises, et pas forcément agréables. Le titre d'un article commence par l'exclamation franche : "Panique !" »
« Tout comme il ne doit pas y avoir de galaxies plus anciennes que le Big Bang, si l'hypothèse du Big Bang était valide, les théoriciens s'attendaient à ce que le JWST regardait plus loin dans l'espace et dans le temps, il y aurait de moins en moins de galaxies et finalement aucune - un Dark Age dans le cosmos. »
« Mais un article qui sera publié dans Nature démontre que des galaxies aussi massives que la Voie lactée sont courantes même quelques centaines de millions d'années après le Bang hypothétique. Les auteurs affirment que les nouvelles images montrent qu'il y a au moins 100 000 fois plus de galaxies que les théoriciens l'ont prédit à des décalages vers le rouge supérieurs à 10. Il n'y a aucun moyen que tant de grandes galaxies puissent être générées en si peu de temps, donc encore une fois - pas de Big Bang . »
« En d'autres termes, les galaxies que le JWST montre ont exactement la même taille que les galaxies proches de nous, en supposant que l'univers n'est pas en expansion et que le décalage vers le rouge est proportionnel à la distance. »
« Alors que les théoriciens du Big Bang étaient choqués et paniqués par ces nouveaux résultats, Riccardo et moi (et quelques autres) ne l'étaient pas. En fait, une semaine avant la publication des images JWST, nous avons publié en ligne un article qui détaillait avec précision ce que les images montreraient. Nous pourrions le faire en toute confiance car de plus en plus de données de toutes sortes contredisent l'hypothèse du Big Bang depuis des années. »
Je suis parvenu dans ce sujet à la même conclusion d'un redshift cosmique fonction de l'éloignement, tout simplement par les lois de l’optique et le bon sens. J’ai publié la démonstration dans un article GSJ (Général Science Journal)
Par ailleurs, l’auteur explique l’univers, comme dans la théorie de l’univers électrique, par la physique des plasmas qui peut être étudiée expérimentalement en laboratoire.
Conclusion
Le cosmos n’a pas de limite et n’a pas d’âge. Il est infini et éternel. Il évolue par auto-organisation en permanence tout en restant uni et synchronisé par intrication quantique Ses propriétés résultent des résonances de la mécanique ondulatoire, en particulier des propriétés des ondes stationnaires et de leur onde de phase, découverte par Louis de Broglie.
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