La hiérarchie cosmique
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La hiérarchie cosmique
Gheorghe Neagu m'a signalé par mail l'article en français "La hiérarchie" qu'il a mis pour nous sur son site.
Je le reproduis entièrement ci-dessous.
Je le reproduis entièrement ci-dessous.
La hiérarchie
La hiérarchie de l'existence
1 - Vecteur existence ==> structures de vecteurs existence ==> oscillateurs
2 - Oscillateur ==> structures d'oscillateurs ==> atomes
3 - Atomes ==> structures d'atomes
- nébuleuses
- étoiles
- galaxies
- …
1 - Vecteur existence.
Le champ vectoriel, nous en percevons seulement les propriétés d'espace - l'espace vide, l'éther.
Dans l'intervalle d'orientation depuis l'antiparallèle au parallèle, les vecteurs exercent leurs propriétés de polarité et de force, dans la tendance de retour à l'orientation neutre. Dans cette intervalle, les vecteurs ont l'orientation d'un champ de force - FLUEN. Nous le connaissons comme magnétisme et électricité pour leurs effets, ou électromagnétisme, pour leur interdépendance.
2 - Oscillateur
L'existence de l'oscillateur est l'existence des propriétés de substance - l'atome de hydrogène.
L'existence de l'oscillateur est la fonctionnalité- l'esprit des propriétés des vecteurs.
Quand l'esprit disparaît, les vecteurs de l'oscillateur redeviennent neutres - espace vide.
L'oscillateur est esprit ! La substance est esprit !
Si les propriétés de l'oscillateur sont la fonctionnalité des propriétés des vecteurs, on peut penser que les propriétés des vecteurs aussi sont à leur tour la fonctionnalité de quelque chose d'inaccessible à nos perceptions.
Induction. L'oscillateur est inclus dans le champ vectoriel - dans l'espace.
La variation de l'amplitude des oscillations est une extension/ restreinte du contour polarisé dans le champ vectoriel neutre - polarisation/neutralisation/polarisation/neutralisation/…
Donc, dilatation/contraction = fluen/éther/fluen/éther/…
Le fluen ne se déplace pas ! Le fluen propage sa polarité ! L'information se déplace, à la vitesse " c " - l'induction. De la manière dont se propagent aussi les ondes et le courant électrique.
Limite maximum. [/b] Quand la polarité de l'oscillateur absorbe une " autre polarité ", les deux polarités se composent et l'amplitude de l'oscillation augmente en dessus de la limite maximum et se détache par l'induction un oscillateur voyageur[/b] - on émet une onde.
Limite minimum. C'est l'amortissement des oscillations jusqu'à ce que les deux tores ont les vecteurs aux polarités totalement fermées, donc sans forces - oscillateur bloqué (neutron).
Conclusions :
- Toutes les propriétés de la substance sont hypostases de fluen.
- Tous les phénomènes de la nature sont interactions de fluen.
- La nature est l'existence éphémère.
- La nature est temps!
- Le temps est l'existence! (la mesure de l'existence - la vie)
Espace sans impuretés.
Comment perçois-je l'espace? L'espace c'est l'existence. L'espace est fini, homogène, et discret, donc il a une structure, il est tridimensionnel et il n'a pas la dimension temps.
Ses propriétés sont démontrées par la propagation de la lumière.
L'espace a de multiples interprétations sous la forme de " champ ". L'exemple éloquent c'est l'éther.
L'éther est l'interprétation de l'espace.
Les propriétés de l'éther sont les propriétés de l'espace. L'espace c'est un " champ neutre " qui peut être polarisé, tel comme un isolateur peut être " électrisé ".
La polarisation de l'espace est le phénomène fondamental qui ajoute à l'existence la dimension temps et les propriétés de substance : élasticité, dureté, interaction, etc.
L'espace polarisé c'est " l'espace mobile " dans l'espace fixe, dont il fait partie.
L'espace polarisé c'est du FLUEN.
Démonstration
Les deux courbes antagonistes du dessin ci-joint, représentent la vitesse de rotation dans le tourbillon solaire mais il y a aussi d'autres interprétations. Par exemple, la courbe de couleur noire exprime aussi l'action de l'espace polarisé (électrique et magnétique) avec les immenses forces centripètes et de leurs effets.
La courbe de couleur bleue montre aussi les effets des forces centripètes - radiations et de leurs effets.
Re: La hiérarchie cosmique
Synthèse
Malgré les apparences et la différence des expressions, il y a un large consensus entre G. Neagu et Y. Ivanov (sujet parallèle ICI) en ce qui concerne la conception de l'espace (éther ou prématière selon Micalef) la présence d'oscillateurs et le flux d'énergie.
Le flux d'énergie que Neagu appelle Fluen, Ivanov le représente par le mouvement d'ondes stationnaires. A mon avis, la divergence n'est qu'apparente. Je propose une synthèse:
L'espace comme milieu de propagation d'ondes est nécessairement composé d'éléments oscillateurs, capables de vibrer. Les ondes sont les vibrations coordonnées qui se propagent: une succession dans le temps et l'espace des amplitudes d'oscillateurs stationnaires. Ce qui se déplace, ce n'est pas l'espace mais l'onde.
Ce que ni l'un ni l'autre ne mentionne suffisamment, c'est que l'espace n'a pas seulement la propriété de la limite maximale c de la vitesse de la lumière mais aussi celle de la limite minimale h du quantum. Or le quantum de Planck a la dimension d'un moment cinétique, celle d'une onde. La distance de Planck représente une demi-onde: la distance entre le maximum et le minimum d'une onde de Planck; ce qui correspond d'ailleurs à la longueur minimale d'onde stationnaire.
La division infinitésimale est un artifice mathématique qui n'existe pas dans la réalité physique. Les physiciens grecs et Giordano Bruno l'avaient bien compris. On peut imaginer la monade, comme un minimum d'espace en rotation (le bruno de J.C. Villame), ou le représenter comme un vecteur comme Neagu.
Je vois donc la hiérarchie cosmique ainsi:
1. - Niveau fondamental de l'existence
Le niveau cosmique fondamental est celui des trois postulats d'Ivanov et semblable à celui du Fluen de Neagu. La configuration de ce niveau est triple, formé de trois principes inséparables.
La nature est mouvement comme les animations sur un écran. La réalité n'est pas Existence mais Devenir. Elle est le temps, ou plutôt son inverse la fréquence qui est l'équivalent de la masse selon la formule mc2 = hf. Sans animations, l'écran est vide.
2. – Niveau des interférences
Les interférences d'ondes sont à l'origine d'un second niveau qui comprend aussi bien les ondes stationnaires d'Ivanov que les ondes électromagnétiques proprement dites de Neagu.
En effet, il faut distinguer les ondes quantiques, et les ondes électromagnétiques.
Les ondes quantiques élémentaires sont considérées dans les théories ondulatoires (M. Wolff, G. Lafrenière, D. Lépinard, Y. Ivanov) comme des ondes scalaires sphériques. Elles peuvent être modélisées mécaniquement comme les ondes sonores.
Les ondes électromagnétiques par contre avec leur double vecteur d'induction ou double tore selon Neagu, résultent secondairement de l'interférence d'ondes quantiques. Cela résulte directement de la géométrie d'interférences d'ondes sphériques. (voir en spoiler ci-dessous).
Les particules subatomiques sont formées par niveaux logarithmiques successifs en vortex selon J.C. Villame. Cette question fera l'objet d'un sujet à part.
4. – Niveau atomique et moléculaire centré sur l'atome d'hydrogène et surtout sur l'électron qui semble bien être le centre et unificateur de toute la hiérarchie (Bernal). C'est surtout le niveau biologique, notre niveau humain.
5. – Niveau astronomique, gravitationnel et électromagnétique (selon le site Plasma universe de W. Thornhill et le Gravitomagnétisme de De Mees.
Chaque niveau repose sur les niveaux précédents. Tout se forme, jusqu'à la galaxie, en vortex à 3 dimensions. Tout emerge finalement de la trilogie des causes d'auto-organisation formulées au niveau de la mécanique ondulatoire quantique par les postulats d'Ivanov et de Neagu.
Malgré les apparences et la différence des expressions, il y a un large consensus entre G. Neagu et Y. Ivanov (sujet parallèle ICI) en ce qui concerne la conception de l'espace (éther ou prématière selon Micalef) la présence d'oscillateurs et le flux d'énergie.
Le flux d'énergie que Neagu appelle Fluen, Ivanov le représente par le mouvement d'ondes stationnaires. A mon avis, la divergence n'est qu'apparente. Je propose une synthèse:
L'espace comme milieu de propagation d'ondes est nécessairement composé d'éléments oscillateurs, capables de vibrer. Les ondes sont les vibrations coordonnées qui se propagent: une succession dans le temps et l'espace des amplitudes d'oscillateurs stationnaires. Ce qui se déplace, ce n'est pas l'espace mais l'onde.
Ce que ni l'un ni l'autre ne mentionne suffisamment, c'est que l'espace n'a pas seulement la propriété de la limite maximale c de la vitesse de la lumière mais aussi celle de la limite minimale h du quantum. Or le quantum de Planck a la dimension d'un moment cinétique, celle d'une onde. La distance de Planck représente une demi-onde: la distance entre le maximum et le minimum d'une onde de Planck; ce qui correspond d'ailleurs à la longueur minimale d'onde stationnaire.
La division infinitésimale est un artifice mathématique qui n'existe pas dans la réalité physique. Les physiciens grecs et Giordano Bruno l'avaient bien compris. On peut imaginer la monade, comme un minimum d'espace en rotation (le bruno de J.C. Villame), ou le représenter comme un vecteur comme Neagu.
Je vois donc la hiérarchie cosmique ainsi:
1. - Niveau fondamental de l'existence
Le niveau cosmique fondamental est celui des trois postulats d'Ivanov et semblable à celui du Fluen de Neagu. La configuration de ce niveau est triple, formé de trois principes inséparables.
- L'espace comme porteur d'onde est la cause matérielle ou prématière (Micalef). Il a une structure formée de minima ou monades de Giordano Bruno correspondant à la distance de Planck.
- Le mouvement d'onde ou l'oscillation coordonnée qui se propage sphériquement de minimum à minimum est la cause efficiente ou de transformation.
- L'interaction ou interférence d'ondes de directions différentes est la cause formelle, cause des créations de formes et structures.
La nature est mouvement comme les animations sur un écran. La réalité n'est pas Existence mais Devenir. Elle est le temps, ou plutôt son inverse la fréquence qui est l'équivalent de la masse selon la formule mc2 = hf. Sans animations, l'écran est vide.
2. – Niveau des interférences
Les interférences d'ondes sont à l'origine d'un second niveau qui comprend aussi bien les ondes stationnaires d'Ivanov que les ondes électromagnétiques proprement dites de Neagu.
En effet, il faut distinguer les ondes quantiques, et les ondes électromagnétiques.
Les ondes quantiques élémentaires sont considérées dans les théories ondulatoires (M. Wolff, G. Lafrenière, D. Lépinard, Y. Ivanov) comme des ondes scalaires sphériques. Elles peuvent être modélisées mécaniquement comme les ondes sonores.
Les ondes électromagnétiques par contre avec leur double vecteur d'induction ou double tore selon Neagu, résultent secondairement de l'interférence d'ondes quantiques. Cela résulte directement de la géométrie d'interférences d'ondes sphériques. (voir en spoiler ci-dessous).
- géométrie d'interférence:
selon mathcurve.com:
http://www.mathcurve.com/courbes2d/conic/conic.shtml (fin de page)
L'onde stationnaire se forme en ligne droite entre les deux foyers. Les hyperboles et ellipses représentent les ondes électromagnétiques avec leurs vecteurs orthogonaux(stationnaires ici mais effectives en cas de mouvement)."Lorsque deux ondes circulaires issues de F et F' se rencontrent, l'amplitude est proportionnelle à la différence des distances à F et F', et la phase est propoprtionnelle à la somme de ces distances : d'où ces figures d'interférence, formées d'un réseau orthogonal d'ellipses et d'hyperboles :"
Voir aussi la page de D. Lépinard à propos des franges d'interférences hyperboliques de l'atome d'hydrogènes, selon la formule de Rydberg. (lien).
Les particules subatomiques sont formées par niveaux logarithmiques successifs en vortex selon J.C. Villame. Cette question fera l'objet d'un sujet à part.
4. – Niveau atomique et moléculaire centré sur l'atome d'hydrogène et surtout sur l'électron qui semble bien être le centre et unificateur de toute la hiérarchie (Bernal). C'est surtout le niveau biologique, notre niveau humain.
5. – Niveau astronomique, gravitationnel et électromagnétique (selon le site Plasma universe de W. Thornhill et le Gravitomagnétisme de De Mees.
Chaque niveau repose sur les niveaux précédents. Tout se forme, jusqu'à la galaxie, en vortex à 3 dimensions. Tout emerge finalement de la trilogie des causes d'auto-organisation formulées au niveau de la mécanique ondulatoire quantique par les postulats d'Ivanov et de Neagu.
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