Dyades et triades de l'organisation cosmique
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Dyades et triades de l'organisation cosmique
I. - La hiérarchie cosmique
Le taoïsme est fondé sur l’Unité dans la Pluralité. L’unité se réalise dans l’équilibre de deux principes opposés, le Yang céleste et le Yin terrestre et dans un processus d’engendrement.
Lao tsé dit dans Tao Te King, verset 42:
Le Tao produit le Un; le Un produit le Deux; le Deux produit le Trois; le Trois produit tous les êtres.
Le pythagorisme grec représentait l’univers de la même manière par les quatre nombres de la Tétraktys
Remarquez que le pythagorisme représente les niveaux par les nombres 1, 2, 3, 4 ; par contre le taoïsme représente les mêmes niveaux par les puissances (exposants ou logarithmes) du nombre : 0, 1, 2 , 3
Nicolas de Cues a expliqué le sens des niveaux de la tétraktys dans l’esprit du néoplatonisme chrétien. (lien)
D’autres traditions symbolisent la hiérarchie par un arbre de vie ou par une échelle
Le Tao[/b] est l’origine mystérieuse de toute existence. Ce n’est pas l’être mais l’ensemble infini des possibilités d’être (omnis potentia = possibilité de tout, traduit communémént par toute-puissance)
Les bouddhistes l’appellent Vide dans le sens du non connaissable, transcendant l’être.
Les Égyptiens l’appelaient Amon le secret, traduit en grec par Hermès l’occulte.
Le Un procède du non-être. Il est l’Unité de l’Existence, de tout ce qui constitue Univers.
Le Deux procède du Trois. Il est l’unité du Devenir, l’unité dans l’alternance d’états contraires.
C’est l’unité du Tai chi dans l’alternance Yin-Yang, principes logiques métaphysiques de la différenciation en deçà de toute qualification.
Le samkkhya-yoga différencie purusha, principe conscient, et prakriti, objet inconscient qui contient en puissance les trois Gunas.
Le Trois procède du Deux. Il est l’unité des principes ou causes des qualités de toute chose créée entre Ciel et Terre.
Les trois Gunas, qualités primordiales de la cosmologie du Samkhya sont tamas l’inerte, rajas l’actif et sattva le subtil, symbolisés par la terre, le feu et l’air.
Dans le taoïsme, ils correspondent au Yin terrestre, au Yang céleste et au Qi, l’ énergie vitale. La dualité Yin-Yang devient trilogie par le Tiers inclus.
Platon a représentés ces principes par les mêmes éléments que le Samkhya et Aristote en a fait les causes matérielle, efficiente et formelle, la cause finale étant la cohésion de l’ensemble. (voir le sujet Ontologie chez Platon et Aristote)
Le taoïsme est fondé sur l’Unité dans la Pluralité. L’unité se réalise dans l’équilibre de deux principes opposés, le Yang céleste et le Yin terrestre et dans un processus d’engendrement.
Lao tsé dit dans Tao Te King, verset 42:
Le Tao produit le Un; le Un produit le Deux; le Deux produit le Trois; le Trois produit tous les êtres.
Le pythagorisme grec représentait l’univers de la même manière par les quatre nombres de la Tétraktys
Remarquez que le pythagorisme représente les niveaux par les nombres 1, 2, 3, 4 ; par contre le taoïsme représente les mêmes niveaux par les puissances (exposants ou logarithmes) du nombre : 0, 1, 2 , 3
Nicolas de Cues a expliqué le sens des niveaux de la tétraktys dans l’esprit du néoplatonisme chrétien. (lien)
D’autres traditions symbolisent la hiérarchie par un arbre de vie ou par une échelle
Le Tao[/b] est l’origine mystérieuse de toute existence. Ce n’est pas l’être mais l’ensemble infini des possibilités d’être (omnis potentia = possibilité de tout, traduit communémént par toute-puissance)
Les bouddhistes l’appellent Vide dans le sens du non connaissable, transcendant l’être.
Les Égyptiens l’appelaient Amon le secret, traduit en grec par Hermès l’occulte.
Le Un procède du non-être. Il est l’Unité de l’Existence, de tout ce qui constitue Univers.
Le Deux procède du Trois. Il est l’unité du Devenir, l’unité dans l’alternance d’états contraires.
C’est l’unité du Tai chi dans l’alternance Yin-Yang, principes logiques métaphysiques de la différenciation en deçà de toute qualification.
Le samkkhya-yoga différencie purusha, principe conscient, et prakriti, objet inconscient qui contient en puissance les trois Gunas.
Le Trois procède du Deux. Il est l’unité des principes ou causes des qualités de toute chose créée entre Ciel et Terre.
Les trois Gunas, qualités primordiales de la cosmologie du Samkhya sont tamas l’inerte, rajas l’actif et sattva le subtil, symbolisés par la terre, le feu et l’air.
Dans le taoïsme, ils correspondent au Yin terrestre, au Yang céleste et au Qi, l’ énergie vitale. La dualité Yin-Yang devient trilogie par le Tiers inclus.
Platon a représentés ces principes par les mêmes éléments que le Samkhya et Aristote en a fait les causes matérielle, efficiente et formelle, la cause finale étant la cohésion de l’ensemble. (voir le sujet Ontologie chez Platon et Aristote)
Re: Dyades et triades de l'organisation cosmique
II. - Intégration existentielle et qualitative de la triade par la dyade
La médecine ayurvédique fondée sur le Samkhya attribue par synthèse deux éléments de sens semblables à chacun des trois Gunas. Par contre, la distinction entre les Gunas est réalisée par des couples d’éléments de sens antagonistes. Cela conduit à un modèle d’intégration systémique formé par la complémentarité de trois principes existentiels qualitatifs et de trois principes relationnels quantitatifs, dont les sens sont analogues aux concepts définissant les unités de mesure de la matière, de l’espace et du temps.
Dans le sens de l’auto-organisation des structures dissipatives les trois principes existentiels sont interprétés par la structure ou cause matérielle, l’énergie ou cause efficiente et l’ organisation ou cause formelle.
Ce modèle fondé sur les principes d’auto-organisation est réalisé concrètement et spécifiquement dans les systèmes biologiques, physiques et sociologiques.
La complémentarité de dyades et de triades est une découverte de l’étude par Gerald Holton de l’imagination scientifique qu’il a symbolisée en couverture de son livre par l’image fractale fondée de l’intrication des triades de colombes et des triade de chauves-souris.
La complémentarité de trois entités et de trois forces antagonistes, illustrée par les trois couleurs principales, se trouve aussi dans le schéma de la chromodynamique quantique avec ses trois quarks et ses trois gluons. Cette théorie semble être sortie plutôt de l’imagination et des principes d’auto-organisation cérébrale du physicien que de ses calculs rationnels.
La médecine ayurvédique fondée sur le Samkhya attribue par synthèse deux éléments de sens semblables à chacun des trois Gunas. Par contre, la distinction entre les Gunas est réalisée par des couples d’éléments de sens antagonistes. Cela conduit à un modèle d’intégration systémique formé par la complémentarité de trois principes existentiels qualitatifs et de trois principes relationnels quantitatifs, dont les sens sont analogues aux concepts définissant les unités de mesure de la matière, de l’espace et du temps.
Dans le sens de l’auto-organisation des structures dissipatives les trois principes existentiels sont interprétés par la structure ou cause matérielle, l’énergie ou cause efficiente et l’ organisation ou cause formelle.
Ce modèle fondé sur les principes d’auto-organisation est réalisé concrètement et spécifiquement dans les systèmes biologiques, physiques et sociologiques.
La complémentarité de dyades et de triades est une découverte de l’étude par Gerald Holton de l’imagination scientifique qu’il a symbolisée en couverture de son livre par l’image fractale fondée de l’intrication des triades de colombes et des triade de chauves-souris.
La complémentarité de trois entités et de trois forces antagonistes, illustrée par les trois couleurs principales, se trouve aussi dans le schéma de la chromodynamique quantique avec ses trois quarks et ses trois gluons. Cette théorie semble être sortie plutôt de l’imagination et des principes d’auto-organisation cérébrale du physicien que de ses calculs rationnels.
Re: Dyades et triades de l'organisation cosmique
III. - Extension dynamique et quantitative de la triade par les dyades
Nous avons défini les trois antagonismes du modèle d’intégration fonctionnelle par les concepts de matière espace et temps sur la base des dualité de sens sous-jacents aux défintion des unités fondamentales de la physique, selon le schéma suivant :
Au lieu de ce modèle en 2D fondé sur les trois principes ou causes existentielles de l’auto-organisation, on peut concevoir un modèle en 3D fondé sur la dynamique relationnelle des trois antagonismes.
Représentés par trois axes orthogonaux, les antagonismes forment un octaèdre inscrit dans une sphère. Placé sur une des faces triangulaires, la projection de l’octaèdre sur le plan horizontal forme un hexagramme et une étoile à six branches.
On obtient une figure où un triangle supérieur blanc est opposé à un triangle inférieur sombre, formant ensemble une étoile à six branches dont les sommets représentent les thèmes épistémologiques dans un nouvel ordre circulaire
Les Trois côtés colorés aux couleurs principales, bleu, rouge, vert, correspondent aux principes de l’auto-organisation structure ou cause matérielle, énergie ou cause efficiente et information ou cause formelle. Les côtés opposés, colorés aux couleurs complémentair, jaune, cyan, magenta, es correspondent à la mobilité, à la passivité, et à la conservation.
L’analogie de la trilogie des couleurs principales avec les principes de l’auto-organisation n’est pas une coïncidence aléatoire. Le cerveau est un système auto-organisé qui interprète les fréquences du spectre visible en fonction de leur incidence sur ces trois principes d’organisation de l’équilibre et adaptation biologique.
On obtient ainsi un cercle coloré correspondant au spectre des couleurs avec un axe vertical entre noir et blanc qui correspond à la luminosité, exactement comme cela est formulé par le logiciel des colorations de nos traitements de texte. Ce schéma en trois dimensions est appelé spectre d’expression systémique, car il représente effectivement un spectre de fréquences qui ont un rôle fonctionnel. Il sert, comme dans les médecines traditionnelles orientales, à classer les observation de la nature physique ou biologique, en fonction du référentiel que constituent les éléments, remplacés ici par des thèmes épistémologiques.
Nous avons défini les trois antagonismes du modèle d’intégration fonctionnelle par les concepts de matière espace et temps sur la base des dualité de sens sous-jacents aux défintion des unités fondamentales de la physique, selon le schéma suivant :
Au lieu de ce modèle en 2D fondé sur les trois principes ou causes existentielles de l’auto-organisation, on peut concevoir un modèle en 3D fondé sur la dynamique relationnelle des trois antagonismes.
Représentés par trois axes orthogonaux, les antagonismes forment un octaèdre inscrit dans une sphère. Placé sur une des faces triangulaires, la projection de l’octaèdre sur le plan horizontal forme un hexagramme et une étoile à six branches.
On obtient une figure où un triangle supérieur blanc est opposé à un triangle inférieur sombre, formant ensemble une étoile à six branches dont les sommets représentent les thèmes épistémologiques dans un nouvel ordre circulaire
Les Trois côtés colorés aux couleurs principales, bleu, rouge, vert, correspondent aux principes de l’auto-organisation structure ou cause matérielle, énergie ou cause efficiente et information ou cause formelle. Les côtés opposés, colorés aux couleurs complémentair, jaune, cyan, magenta, es correspondent à la mobilité, à la passivité, et à la conservation.
L’analogie de la trilogie des couleurs principales avec les principes de l’auto-organisation n’est pas une coïncidence aléatoire. Le cerveau est un système auto-organisé qui interprète les fréquences du spectre visible en fonction de leur incidence sur ces trois principes d’organisation de l’équilibre et adaptation biologique.
On obtient ainsi un cercle coloré correspondant au spectre des couleurs avec un axe vertical entre noir et blanc qui correspond à la luminosité, exactement comme cela est formulé par le logiciel des colorations de nos traitements de texte. Ce schéma en trois dimensions est appelé spectre d’expression systémique, car il représente effectivement un spectre de fréquences qui ont un rôle fonctionnel. Il sert, comme dans les médecines traditionnelles orientales, à classer les observation de la nature physique ou biologique, en fonction du référentiel que constituent les éléments, remplacés ici par des thèmes épistémologiques.
Re: Dyades et triades de l'organisation cosmique
IV. - Dyade et triade du trigramme Yi King
Le trigramme du Yi King symbolise aussi l’unité de trois antagonismes
Chacun des trois antagonismes est représenté par un trait soit continu soit discontinu.
Le Deux relationnel de l’antagonisme continu/discontinu, élevé à la puissance Trois du nombre d’antagonismes (23) conduit au nombre 8 des formes de trigrammes possibles, représentés traditionnellement par la configuration dite du Ciel antérieur.
L’octaèdre formé par trois axes antagonistes orthogonaux est une représentation possible du Yi King. En attribuant le trait continu aux angles du triangle blanc sommital et le trait discontinu au angles du triangle noir basal, les trigrammes s’ordonnent logiquement selon les 8 faces du triangle en fonction des valeurs _+_ ou _-_ des trois angles. Les couleurs rappellent l’analogie avec le spectre d’expression systémique.
Remarque concernant le formalisme : - Dans cette configuration, l’antagonisme ne signifie pas 1 et 0 comme dans la logique dualiste du bit de l’informatique, mais +1 et -1 dans le sens d’un gradient logarithmique. Tout gradient entre deux extrêmes peut être réduit à une échelle logarithmique entre +1 et -1 par rapport à la moyenne géométrique. L’antagonisme est logarithmique ; ceci correspond aux réactions physiologiques qui répondent selon une échelle logarithmique au stimulus physique. Le signe du logarithme (-/+) indique le sens, sa valeur indique l’intensité, par référence à la valeur moyenne, normale, de l’équilibre. Les antagonismes sous échelle logarithmique indiquent donc deux sens opposés, à la fois quantitatif et qualitatif, du point de vue physiologique ou cognitif.
Les interprétations possibles du Yi King sont multiples. C’est la spécificité de la tradition taoïste d’attribuer à ses concepts symboliques des sens divers selon le point de vue considéré. Les antagonismes du trigramme peuvent être interprétés par les gradients des paramètres quantitatifs matière, espace et temps, ou par ceux qualitatifs des trois couleurs principales. D’autres interprétations fondées soit sur la biologie soit sur des ésotérismes et des systèmes divinatoires ont été proposées. Aucune ne sera jamais décisive, chacune sera spécifiquement valable dans un domaine particulier de connaissances ou de pratiques. L’octaèdre inscrit dans une sphère et un cube est un symbole logique universel. C’est le modèle métaphysique pour tout système axiomatique, physique, biologique, sociologique ou psychologique.
Le trigramme du Yi King symbolise aussi l’unité de trois antagonismes
Chacun des trois antagonismes est représenté par un trait soit continu soit discontinu.
Le Deux relationnel de l’antagonisme continu/discontinu, élevé à la puissance Trois du nombre d’antagonismes (23) conduit au nombre 8 des formes de trigrammes possibles, représentés traditionnellement par la configuration dite du Ciel antérieur.
L’octaèdre formé par trois axes antagonistes orthogonaux est une représentation possible du Yi King. En attribuant le trait continu aux angles du triangle blanc sommital et le trait discontinu au angles du triangle noir basal, les trigrammes s’ordonnent logiquement selon les 8 faces du triangle en fonction des valeurs _+_ ou _-_ des trois angles. Les couleurs rappellent l’analogie avec le spectre d’expression systémique.
Remarque concernant le formalisme : - Dans cette configuration, l’antagonisme ne signifie pas 1 et 0 comme dans la logique dualiste du bit de l’informatique, mais +1 et -1 dans le sens d’un gradient logarithmique. Tout gradient entre deux extrêmes peut être réduit à une échelle logarithmique entre +1 et -1 par rapport à la moyenne géométrique. L’antagonisme est logarithmique ; ceci correspond aux réactions physiologiques qui répondent selon une échelle logarithmique au stimulus physique. Le signe du logarithme (-/+) indique le sens, sa valeur indique l’intensité, par référence à la valeur moyenne, normale, de l’équilibre. Les antagonismes sous échelle logarithmique indiquent donc deux sens opposés, à la fois quantitatif et qualitatif, du point de vue physiologique ou cognitif.
Les interprétations possibles du Yi King sont multiples. C’est la spécificité de la tradition taoïste d’attribuer à ses concepts symboliques des sens divers selon le point de vue considéré. Les antagonismes du trigramme peuvent être interprétés par les gradients des paramètres quantitatifs matière, espace et temps, ou par ceux qualitatifs des trois couleurs principales. D’autres interprétations fondées soit sur la biologie soit sur des ésotérismes et des systèmes divinatoires ont été proposées. Aucune ne sera jamais décisive, chacune sera spécifiquement valable dans un domaine particulier de connaissances ou de pratiques. L’octaèdre inscrit dans une sphère et un cube est un symbole logique universel. C’est le modèle métaphysique pour tout système axiomatique, physique, biologique, sociologique ou psychologique.
Re: Dyades et triades de l'organisation cosmique
V - Yi King, mathématique pythagoricienne et techniques du néolithique
Le Yi King est un système logique qui remonte au néolithique et dont l’utilité pratique a été perdue comme ont été perdues les techniques pour tailler transporter et ajuster les blocs de pierre qui constituent les constructions mégalithiques et les pyramides. Chaque fois qu’un savoir est perdu, ses témoignages archéologiques et ses expressions symboliques résiduels incompris sont entourés de mythes et mystères. C’est ainsi que le Yi King, dont l’utilité pratique à été oubliée, a dégénéré en méthode divinatoire.
Un des mystères du mégalithique est la technique de construction. Nos contemporains essaient en vain, par le recours aux forces mécaniques brutes, d’imiter les performances ayant conduit aux édifices mégalithiques et au façonnage de la pierre, au lieu d’imaginer d’autres méthodes. Je me suis demandé si la technique ne serait pas de nature vibratoire, consistant à faire vibrer la pierre par résonance, d’une part pour atténuer le frottement au déplacement des blocs massifs et d’autre part, ceux-ci posés sur d’autres rocs, pour produire une abrasion jusqu’à l’adaptation sans faille ni mortier entre les pièces du mur.
J’ai vu un de ces derniers jours un documentaire au sujet de la trouvaille en Égypte d’un cylindre parfait en granit rose d’Assouan. Il montrait l’échec lamentable d’une tentative d’en découper un semblable avec les seuls instruments mécaniques supposés de l’époque.
L’idée des résonances vibratoires m’est revenue alors sous une nouvelle forme. J’ai appris en effet avec l’école allemande d’acupuncture l’utilisation du Laser thérapeutique et j’ai appris que l’effet n’est pas lié à l’amplitude mais à la fréquence spécifique du type d’organe ou de tissu. J’ai appris aussi dans des séminaires de géobiologie par le moyen de l’antenne Lecher, que chaque substance a sa fréquence propre.
Tout le monde sait aussi qu’une fréquence sonore adaptée et soutenue peut briser un vase en cristal. Les anciens auraient-ils utilisé des vibrations mécaniques et sonores de fréquence adaptée pour briser la structure microcristalline du granit par résonance ?
Admirez la forme géométrique parfaite d’un obélisque, ses angles nets et ses surfaces parfaitement lisses et surtout la gravure du cartouche et de ses hiéroglyphes d’une finesse extraordinaire. On dirait qu’ils viennent d’être cisaillés alors qu’ils ont conservé leurs formes pendant plusieurs millénaires grâce à la dureté de la pierre. Des marteaux, scies et burins pourraient tout au plus détruire. Cela ressemble plutôt aux découpes de métaux par le laser, mais il s’agit de pierre et les Égyptiens ne connaissaient ni acier ni électronique.
Mais ils connaissaient les vibrations et ondes de toute nature, et parmi elles les vibrations mécaniques et sonores. Il connaissaient les effets de résonance puisqu’ils connaissaient la musique.
Les pythagoriciens sont connus pour avoir inventé la théorie musicale et pour l’avoir formalisée par leur mathématique fondée sur les rapports de nombres entiers. Mais avant Pythagore il y avait d’autres cultures, et notamment l’Égypte avec ses obélisques et pyramides, et aussi la Chine avec la logique du Yi King qui semble être aussi une logique de nombres entiers et de rapports de fréquences.
Je me suis demandé alors si le principe du LASER (Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation) pouvait être appliqué aux ondes sonores au lieu des ondes lumineuses, puisque toutes le formes d’ondes obéissent aux mêmes lois de mécanique ondulatoire. J’ai trouvé facilement des liens pour le mot SASER (Sound Amplification by Stimulated Emission of Radiation). La technique existe au moins sous forme expérimentale mais elle est encore fondée sur l’électronique et conçue pour la sonographie.
J’imagine qu’ainsi les Égyptiens ont pu créer des outils spécifiques pour tailler, lisser et graver avec précision le granit rose des obélisques, la pierre la plus dure au monde.
Je rêve surtout du progrès que susciterait pour notre civilisation le passage aux sciences et techniques fondées sur la mécanique ondulatoire.
Les impasses de la physique moderne sont principalement dues à la persistance de la croyance ontologique que l’univers est fait de matière et à la croyance empirique que la réalité se résume à ce qui est observable. Mais les impasses de notre civilisation et de ses sciences sont dues principalement à la logique aristotélicienne selon laquelle une théorie "vraie", parce que confirmée par l’expérience, interdirait toute autre approche différente ou contraire, ou fondée sur la Tradition.
Le Yi King est un système logique qui remonte au néolithique et dont l’utilité pratique a été perdue comme ont été perdues les techniques pour tailler transporter et ajuster les blocs de pierre qui constituent les constructions mégalithiques et les pyramides. Chaque fois qu’un savoir est perdu, ses témoignages archéologiques et ses expressions symboliques résiduels incompris sont entourés de mythes et mystères. C’est ainsi que le Yi King, dont l’utilité pratique à été oubliée, a dégénéré en méthode divinatoire.
Un des mystères du mégalithique est la technique de construction. Nos contemporains essaient en vain, par le recours aux forces mécaniques brutes, d’imiter les performances ayant conduit aux édifices mégalithiques et au façonnage de la pierre, au lieu d’imaginer d’autres méthodes. Je me suis demandé si la technique ne serait pas de nature vibratoire, consistant à faire vibrer la pierre par résonance, d’une part pour atténuer le frottement au déplacement des blocs massifs et d’autre part, ceux-ci posés sur d’autres rocs, pour produire une abrasion jusqu’à l’adaptation sans faille ni mortier entre les pièces du mur.
J’ai vu un de ces derniers jours un documentaire au sujet de la trouvaille en Égypte d’un cylindre parfait en granit rose d’Assouan. Il montrait l’échec lamentable d’une tentative d’en découper un semblable avec les seuls instruments mécaniques supposés de l’époque.
L’idée des résonances vibratoires m’est revenue alors sous une nouvelle forme. J’ai appris en effet avec l’école allemande d’acupuncture l’utilisation du Laser thérapeutique et j’ai appris que l’effet n’est pas lié à l’amplitude mais à la fréquence spécifique du type d’organe ou de tissu. J’ai appris aussi dans des séminaires de géobiologie par le moyen de l’antenne Lecher, que chaque substance a sa fréquence propre.
Tout le monde sait aussi qu’une fréquence sonore adaptée et soutenue peut briser un vase en cristal. Les anciens auraient-ils utilisé des vibrations mécaniques et sonores de fréquence adaptée pour briser la structure microcristalline du granit par résonance ?
Admirez la forme géométrique parfaite d’un obélisque, ses angles nets et ses surfaces parfaitement lisses et surtout la gravure du cartouche et de ses hiéroglyphes d’une finesse extraordinaire. On dirait qu’ils viennent d’être cisaillés alors qu’ils ont conservé leurs formes pendant plusieurs millénaires grâce à la dureté de la pierre. Des marteaux, scies et burins pourraient tout au plus détruire. Cela ressemble plutôt aux découpes de métaux par le laser, mais il s’agit de pierre et les Égyptiens ne connaissaient ni acier ni électronique.
Mais ils connaissaient les vibrations et ondes de toute nature, et parmi elles les vibrations mécaniques et sonores. Il connaissaient les effets de résonance puisqu’ils connaissaient la musique.
Les pythagoriciens sont connus pour avoir inventé la théorie musicale et pour l’avoir formalisée par leur mathématique fondée sur les rapports de nombres entiers. Mais avant Pythagore il y avait d’autres cultures, et notamment l’Égypte avec ses obélisques et pyramides, et aussi la Chine avec la logique du Yi King qui semble être aussi une logique de nombres entiers et de rapports de fréquences.
Je me suis demandé alors si le principe du LASER (Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation) pouvait être appliqué aux ondes sonores au lieu des ondes lumineuses, puisque toutes le formes d’ondes obéissent aux mêmes lois de mécanique ondulatoire. J’ai trouvé facilement des liens pour le mot SASER (Sound Amplification by Stimulated Emission of Radiation). La technique existe au moins sous forme expérimentale mais elle est encore fondée sur l’électronique et conçue pour la sonographie.
- liens pour SASER:
J’imagine qu’ainsi les Égyptiens ont pu créer des outils spécifiques pour tailler, lisser et graver avec précision le granit rose des obélisques, la pierre la plus dure au monde.
Je rêve surtout du progrès que susciterait pour notre civilisation le passage aux sciences et techniques fondées sur la mécanique ondulatoire.
Les impasses de la physique moderne sont principalement dues à la persistance de la croyance ontologique que l’univers est fait de matière et à la croyance empirique que la réalité se résume à ce qui est observable. Mais les impasses de notre civilisation et de ses sciences sont dues principalement à la logique aristotélicienne selon laquelle une théorie "vraie", parce que confirmée par l’expérience, interdirait toute autre approche différente ou contraire, ou fondée sur la Tradition.
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