Synchronisation, corrélation et évolution
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Synchronisation, corrélation et évolution
Le néodarwinisme présentement accepté par la communauté scientifique patauge dans l’ignorance appelée hasard. Cette théorie attribue paradoxalement l’évolution vers la complexité à des mutations aléatoires, des erreurs fondamentalement délétères. Elle exige que l’évolution depuis les micro-organismes jusqu’aux formes végétales et animales actuelles se soit produite de manière continue sur des périodes de temps astronomiques, ce que la géologie et paléontologie réfutent.
Dans la nature, et particulièrement dans la nature vivante, tout est corrélé par des rythmes synchronisés. Qu’ils soient mécaniques (pendules) ou électromagnétiques (atomes), les oscillateurs synchronisent leurs mouvements ; un phénomène observé au XVIIe siècle par Christian Huygens, que la science a ignoré mais qui refait surface de nos jours.
Voici la synchronisation de 72 métronomes:
Prigogine a expliqué la complexification (les structures dissipatives) par une corrélation globale, non local, qu’il attribuait aux résonances de Poincaré en précisant que ces interactions ne sont pas transitoires comme les mutations, mais persistantes comme les vibrations et ondes.
Louis de Brogle et David Bohm ont compris que l’espace universel est un champ vibratoire fondé sur l’harmonie des phases. Des chercheurs contemporains ont confirmé ces conceptions par des simulations et des expériences, considérant que la matière est faite d’ondes et démontrant que la corrélation non locale est due aux ondes stationnaires se formant entre les oscillateurs (les atomes de la matière).
Fritz Popp, physicien et chercheur du domaine des "biophotons" tient compte des découvertes de Prigogine et explique l’activité de l'ADN (dont les gènes de structure ne représentent que 5 %), par l’émission/réception de "biophotons cohérents" L’ADN fonctionnerait comme une antenne ou un laser.
Il y a donc des échanges et corrélations permanentes, principalement par ondes électromagnétiques, d’une part entre l’organisme vivant et son environnement physique et biologique, d’autre part entre toutes les cellules d’un même organisme, ce qui peut expliquer la transmission de caractères acquis aux cellules reproductrices.
Mais la communauté scientifique refuse toute révision radicale de ses postulats mécaniques, matérialistes, atomistes et déterministes, soutenant une théorie de l’évolution en contradiction avec les constats de sauts évolutifs et de discontinuités de l’évolution, mis en évidence par la paléontologie.
Dans la nature, et particulièrement dans la nature vivante, tout est corrélé par des rythmes synchronisés. Qu’ils soient mécaniques (pendules) ou électromagnétiques (atomes), les oscillateurs synchronisent leurs mouvements ; un phénomène observé au XVIIe siècle par Christian Huygens, que la science a ignoré mais qui refait surface de nos jours.
Voici la synchronisation de 72 métronomes:
Prigogine a expliqué la complexification (les structures dissipatives) par une corrélation globale, non local, qu’il attribuait aux résonances de Poincaré en précisant que ces interactions ne sont pas transitoires comme les mutations, mais persistantes comme les vibrations et ondes.
Louis de Brogle et David Bohm ont compris que l’espace universel est un champ vibratoire fondé sur l’harmonie des phases. Des chercheurs contemporains ont confirmé ces conceptions par des simulations et des expériences, considérant que la matière est faite d’ondes et démontrant que la corrélation non locale est due aux ondes stationnaires se formant entre les oscillateurs (les atomes de la matière).
Fritz Popp, physicien et chercheur du domaine des "biophotons" tient compte des découvertes de Prigogine et explique l’activité de l'ADN (dont les gènes de structure ne représentent que 5 %), par l’émission/réception de "biophotons cohérents" L’ADN fonctionnerait comme une antenne ou un laser.
Il y a donc des échanges et corrélations permanentes, principalement par ondes électromagnétiques, d’une part entre l’organisme vivant et son environnement physique et biologique, d’autre part entre toutes les cellules d’un même organisme, ce qui peut expliquer la transmission de caractères acquis aux cellules reproductrices.
Mais la communauté scientifique refuse toute révision radicale de ses postulats mécaniques, matérialistes, atomistes et déterministes, soutenant une théorie de l’évolution en contradiction avec les constats de sauts évolutifs et de discontinuités de l’évolution, mis en évidence par la paléontologie.
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