L'évolution par auto-organisation
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L'évolution par auto-organisation
Darwin a constaté que les organismes vivants évoluent dans le temps en s’adaptant à l’environnement.
Les nouvelles sciences génétiques ont cherché à expliquer l’évolution par des mécanismes physico-chimiques. La nouvelle théorie néodarwinienne attribue l’évolution aux mutations génétiques et à la sélection. . Réduite au hasard et à la nécessité selon les termes de Jacques Monod, l’explication est absurde car les mutations aléatoires sont essentiellement délétères et la sélection opère par élimination. Les deux n’aboutissent qu’à des destructions et non pas à la création de fonctions et organes nouveaux.
La probabilité infime de mutations constructives suppose des évolutions progressives très lentes. Cela est incompatible avec les recherches paléontologiques qui constatent des sauts évolutionnaires et l’apparition rapide d’espèces nouvelles après les extinctions de masse consécutives à de brusques changements de l’environnement. La théorie de l'évolution néodarwinienne est tout aussi absurde que la créationnisme biblique.
Les découvertes par Ilya Prigogine des structures dissipatives qui font la synthèse entre la thermodynamique, la théorie des chaos et la physique quantique, offrent une autre explication de l'évolution: l'auto-organisation.
http://sys.theme.free.fr/A_Prigogine.html
https://sciencetradition.forumactif.com/t224-philosophie-holistique-et-modele-systemique#1388
En résumé, les structures complexes (condition matérielle), rendues instables par un apport d’énergie (condition efficiente), deviennent réceptives aux influences électromagnétiques de l’environnement (condition formelle). La résonance ou corrélation non locale entre les fréquences de la structure et celles de l’environnement produit une structure nouvelle (condition finale) dans le sens inverse, négatif de la production d’entropie.
Les corrélations par résonance se réfèrent à la mécanique ondulatoire. Elles sont à l’origine des régulations et organisations et concernent toutes les lois de la nature. Particulièrement dans la nature vivante, tout est corrélé par des rythmes synchronisés.
https://sciencetradition.forumactif.com/t426-synchronisation-correlation-et-evolution
La synchronisation des pendules a été observée déjà au XVIIe siècle par Christian Huygens. La corrélation d’ondes électromagnétiques a été étudiée par Louis de Broglie et qualifiée d’harmonie des phases. Mais ni la biologie de l’évolution, ni les théories de physique quantique, relativiste ou cosmologique n’ont intégré la mécanique ondulatoire dans leurs théories.
Bien que Prigogine ait obtenu le prix Nobel, la science consensuelle lui est restée hostile, refusant ses conclusions qui vont au-delà du déterminisme mathématique et de la réversibilité du temps inscrite dans les théories principales de la physique.
Le consensus scientifique ne reconnaît que le déterminisme mathématique ou le hasard. La page « Auto-organisation » de Wikipédia ne mentionne même pas les structures dissipatives de Prigogine. Préférant un créationnisme divin sous forme du "démon de Laplace", elle conclut en effet :
« De même, lorsqu'on cherche à passer des caractères auto-organisationnels d'un phénomène biologique ou sociologique à une explication physique ou mathématique de ces caractères, on se heurte au fait que ces caractères ne pourraient pas exister sans une cause finale (cf. téléologie) ».(source)
Les nouvelles sciences génétiques ont cherché à expliquer l’évolution par des mécanismes physico-chimiques. La nouvelle théorie néodarwinienne attribue l’évolution aux mutations génétiques et à la sélection. . Réduite au hasard et à la nécessité selon les termes de Jacques Monod, l’explication est absurde car les mutations aléatoires sont essentiellement délétères et la sélection opère par élimination. Les deux n’aboutissent qu’à des destructions et non pas à la création de fonctions et organes nouveaux.
La probabilité infime de mutations constructives suppose des évolutions progressives très lentes. Cela est incompatible avec les recherches paléontologiques qui constatent des sauts évolutionnaires et l’apparition rapide d’espèces nouvelles après les extinctions de masse consécutives à de brusques changements de l’environnement. La théorie de l'évolution néodarwinienne est tout aussi absurde que la créationnisme biblique.
Les découvertes par Ilya Prigogine des structures dissipatives qui font la synthèse entre la thermodynamique, la théorie des chaos et la physique quantique, offrent une autre explication de l'évolution: l'auto-organisation.
http://sys.theme.free.fr/A_Prigogine.html
https://sciencetradition.forumactif.com/t224-philosophie-holistique-et-modele-systemique#1388
En résumé, les structures complexes (condition matérielle), rendues instables par un apport d’énergie (condition efficiente), deviennent réceptives aux influences électromagnétiques de l’environnement (condition formelle). La résonance ou corrélation non locale entre les fréquences de la structure et celles de l’environnement produit une structure nouvelle (condition finale) dans le sens inverse, négatif de la production d’entropie.
Les corrélations par résonance se réfèrent à la mécanique ondulatoire. Elles sont à l’origine des régulations et organisations et concernent toutes les lois de la nature. Particulièrement dans la nature vivante, tout est corrélé par des rythmes synchronisés.
https://sciencetradition.forumactif.com/t426-synchronisation-correlation-et-evolution
La synchronisation des pendules a été observée déjà au XVIIe siècle par Christian Huygens. La corrélation d’ondes électromagnétiques a été étudiée par Louis de Broglie et qualifiée d’harmonie des phases. Mais ni la biologie de l’évolution, ni les théories de physique quantique, relativiste ou cosmologique n’ont intégré la mécanique ondulatoire dans leurs théories.
Bien que Prigogine ait obtenu le prix Nobel, la science consensuelle lui est restée hostile, refusant ses conclusions qui vont au-delà du déterminisme mathématique et de la réversibilité du temps inscrite dans les théories principales de la physique.
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« De même, lorsqu'on cherche à passer des caractères auto-organisationnels d'un phénomène biologique ou sociologique à une explication physique ou mathématique de ces caractères, on se heurte au fait que ces caractères ne pourraient pas exister sans une cause finale (cf. téléologie) ».(source)
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