Le mystère de la couleur
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Le mystère de la couleur
La vision des couleurs est traitée parWikipédia dans plusieurs pages selon les liens et images commentées suivants, auxquels j’ajoute mes remarques.
Aspect physique : les ondes électromagnétiques
Du point de vue de la physique, la lumière est une variété de rayonnement électromagnétique. Elle occupe une très petite fraction de ce spectre: le spectre visible.
Remarque : La physique sait mesurer la longueur d’ondes de chaque couleur. Mais les longueurs d’onde monochromatiques n’expliquent pas la la perception et différenciation de toutes les nuances de couleur.
Aspect physiologique : La vision des couleurs
La perception des couleurs dépend d’abord de la rétine, l'organe sensible de la vision. La partie sensible de la rétine, d’origine diencéphalique, se compose de bâtonnets sensibles à la luminosité et de cônes sensibles à des zones de fréquences spécifiques.
Les cônes ne représentent que 5 % du total des photorécepteurs et sont principalement concentrés sur la fovéa, au centre de la rétine, qui, ne contient que des cônes.
Trois types decônes ayant une sensibilité plus grande à certaines zones de longueurs d'onde comprises entre environ 400 et 700 nm permettent à l’homme de percevoir une immense variété de couleurs différentes.
L’anatomie distingue les cônes B sensibles aux basses longueurs d'onde (437 ), les cônes V sensibles aux radiations de moyennes longueurs d'onde (533 ), et les cônes R sensibles aux grandes longueurs d'onde (564 ). Ces derniers réagissent d’ailleurs principalement aux radiations provoquant la sensation jaune et ne recouvrent pas le rouge. Il faut donc chercher l’explication des couleurs dans la fonction des centres cérébraux de la vision.
Les neurosciences ont étudié le tri opéré par les liaisons complexes entre les photorécepteurs, bâtonnets et cônes, et le cerveau.
Les cellules ganglionnaires de la rétine envoient leurs longs axones au corps géniculé latéral (CGL) via le nerf optique qui est une partie du cerveau qui traite l'information visuelle provenant de la rétine. L'organisation très stricte qui régit la projection des fibres de la rétine sur le CGL continue aussi à régir la projection de ce dernier sur le cortex strié, par les fibres formant le faisceau des radiations optiques.
Le cortex visuel occupe le lobe occipital du cerveau et est chargé de traiter les informations visuelles. Les neurosciences ont permis de le découper en une multitudes de sous-régions fonctionnelles qui traitent chacune ou collectivement les propriétés multiples des informations provenant des voies visuelles (formes, couleurs, mouvements, etc.).
Remarque : La complexité anatomique, physiologique et biochimique ne fait que masquer le problème. Les neurosciences analysent comment fonctionne la vision, elles n’expliquent pourtant pas pourquoi nous voyons les couleurs selon ce spectre en arc-en-ciel.
Aspect empirique : Les couleurs primaires
On sait qu’en peinture ou teinture on peut obtenir, en mélangeant deux couleurs entre elles, un grand nombre de teintes. Empiriquement on est parvenu ainsi aux systèmes des couleurs primaires et secondaires.
Une couleur primaire est une couleur qui ne peut être reproduite par un mélange d'autres couleurs. Un système de couleurs primaires comprend trois couleurs. Dans les applications industrielles modernes de la synthèse additive des couleurs, on prend une primaire dans chacun des champs chromatiques rouge, vert et bleu.
L’addition deux par deux des couleurs primaires rouge bleu et vert produisent les couleurs secondaires ou complémentaires magenta, cyan et jaune. Par soustraction de deux primaires à partir du blanc, on obtient la troisième.
Si vous choisissez dans le traitement de texte MS les couleurs personnalisées vous obtenez le rouge saturé aussi bien dans le coin supérieur gauche que dans le coin supérieur droit et vous obtenez le bleu cyan, mélange de bleu et de vert, au milieu du spectre.
Comme la numération l'indique, le rouge est une couleur primaire pure; le bleu cyan est un mélange des primaires bleu et vert, sans rouge; il est la couleur complémentaire opposée du rouge.
Essai d’interprétation
Comment le cerveau produit-t-il les couleurs ?
Le spectre des couleurs est circulaire alors que le spectre physique est linéaire. Cela tient au fait que le spectre visible est l’équivalent d’une octave en musique où la fréquence est doublée lors du passage d'une octave à l'octave supérieure (ex: La3 440 Hz, La4 880 Hz). Si le rouge est défini par la longueur d’onde de 700 nm, le rouge inférieur est perçu à 350 nm, après le violet et le magenta.
Bien qu’elles ne correspondent pas aux longueurs d’onde des cônes, les trois couleurs primaires forment un ensemble cohérent, géométrique. Ellesreprésentent les trois angles d’un triangle équilatéral inscrit dans le cercle du spectre des couleurs.
En géométrie, trois points quelconques déterminent un triangle et définissent aussi le cercle dans lequel le triangle est inscrit. Les trois repères que constituent les trois types de cônes définissent donc un cercle dans lequel le triangle équilatéral correspondant aux trois couleurs primaires peut être redéfini, même si les zones de sensibilité des cônes ne recouvrent pas le rouge.
Comment le cerveau réalise-t-il cette conversion ? Sans doute par corrélation de fréquences et de phases, comme pour les accords en musique. Comme l’octave est divisée en 6 tons ( 5 tons et 2 demi-tons), la gamme chromatique est composée de 6 couleurs (3 primaires et 3 complémentaires). Le cerveau, comme tout l’univers, fonctionne selon les règles de corrélation de fréquences et de phases de la mécanique ondulatoire. Les pythagoriciens l’avaient bien compris mais à part quelques opticiens et électriciens dissidents, la physique et la biologie l’ignorent encore.
Pourquoi percevons-nous six couleurs principales et complémentaires ?
Le comment de la vision des couleurs peut s’expliquer. Mais pourquoi l’évolution a-t-elle produit un système de couleurs trichromique chez l’homme ? La vision colorée n’est pas seulement une question de physique ou de physiologie, mais aussi une nécessité métaphysique et logique. Elle est une des formes d'expression de l'auto-organisation systémique universelle.
J’ai démontré par l’Ontologie chez Platon et Aristote comment les philosophes grecs représentaient les principes premiers de l’ordre universel et par les états affectifs selon les conceptions holistiques orientales comment les sages orientaux expliquaient les principes de la connaissance.
L’organisation de l’univers physique et psychique est fondée sur trois principes premiers d’auto-organisation dont le système des couleurs primaires n’est qu’une forme d’expression analogue. J’y reviendrai …
Aspect physique : les ondes électromagnétiques
Du point de vue de la physique, la lumière est une variété de rayonnement électromagnétique. Elle occupe une très petite fraction de ce spectre: le spectre visible.
Remarque : La physique sait mesurer la longueur d’ondes de chaque couleur. Mais les longueurs d’onde monochromatiques n’expliquent pas la la perception et différenciation de toutes les nuances de couleur.
Aspect physiologique : La vision des couleurs
La perception des couleurs dépend d’abord de la rétine, l'organe sensible de la vision. La partie sensible de la rétine, d’origine diencéphalique, se compose de bâtonnets sensibles à la luminosité et de cônes sensibles à des zones de fréquences spécifiques.
Les cônes ne représentent que 5 % du total des photorécepteurs et sont principalement concentrés sur la fovéa, au centre de la rétine, qui, ne contient que des cônes.
Trois types decônes ayant une sensibilité plus grande à certaines zones de longueurs d'onde comprises entre environ 400 et 700 nm permettent à l’homme de percevoir une immense variété de couleurs différentes.
L’anatomie distingue les cônes B sensibles aux basses longueurs d'onde (437 ), les cônes V sensibles aux radiations de moyennes longueurs d'onde (533 ), et les cônes R sensibles aux grandes longueurs d'onde (564 ). Ces derniers réagissent d’ailleurs principalement aux radiations provoquant la sensation jaune et ne recouvrent pas le rouge. Il faut donc chercher l’explication des couleurs dans la fonction des centres cérébraux de la vision.
Les neurosciences ont étudié le tri opéré par les liaisons complexes entre les photorécepteurs, bâtonnets et cônes, et le cerveau.
Les cellules ganglionnaires de la rétine envoient leurs longs axones au corps géniculé latéral (CGL) via le nerf optique qui est une partie du cerveau qui traite l'information visuelle provenant de la rétine. L'organisation très stricte qui régit la projection des fibres de la rétine sur le CGL continue aussi à régir la projection de ce dernier sur le cortex strié, par les fibres formant le faisceau des radiations optiques.
Le cortex visuel occupe le lobe occipital du cerveau et est chargé de traiter les informations visuelles. Les neurosciences ont permis de le découper en une multitudes de sous-régions fonctionnelles qui traitent chacune ou collectivement les propriétés multiples des informations provenant des voies visuelles (formes, couleurs, mouvements, etc.).
Remarque : La complexité anatomique, physiologique et biochimique ne fait que masquer le problème. Les neurosciences analysent comment fonctionne la vision, elles n’expliquent pourtant pas pourquoi nous voyons les couleurs selon ce spectre en arc-en-ciel.
Aspect empirique : Les couleurs primaires
On sait qu’en peinture ou teinture on peut obtenir, en mélangeant deux couleurs entre elles, un grand nombre de teintes. Empiriquement on est parvenu ainsi aux systèmes des couleurs primaires et secondaires.
Une couleur primaire est une couleur qui ne peut être reproduite par un mélange d'autres couleurs. Un système de couleurs primaires comprend trois couleurs. Dans les applications industrielles modernes de la synthèse additive des couleurs, on prend une primaire dans chacun des champs chromatiques rouge, vert et bleu.
L’addition deux par deux des couleurs primaires rouge bleu et vert produisent les couleurs secondaires ou complémentaires magenta, cyan et jaune. Par soustraction de deux primaires à partir du blanc, on obtient la troisième.
Si vous choisissez dans le traitement de texte MS les couleurs personnalisées vous obtenez le rouge saturé aussi bien dans le coin supérieur gauche que dans le coin supérieur droit et vous obtenez le bleu cyan, mélange de bleu et de vert, au milieu du spectre.
Comme la numération l'indique, le rouge est une couleur primaire pure; le bleu cyan est un mélange des primaires bleu et vert, sans rouge; il est la couleur complémentaire opposée du rouge.
Essai d’interprétation
Comment le cerveau produit-t-il les couleurs ?
Le spectre des couleurs est circulaire alors que le spectre physique est linéaire. Cela tient au fait que le spectre visible est l’équivalent d’une octave en musique où la fréquence est doublée lors du passage d'une octave à l'octave supérieure (ex: La3 440 Hz, La4 880 Hz). Si le rouge est défini par la longueur d’onde de 700 nm, le rouge inférieur est perçu à 350 nm, après le violet et le magenta.
Bien qu’elles ne correspondent pas aux longueurs d’onde des cônes, les trois couleurs primaires forment un ensemble cohérent, géométrique. Ellesreprésentent les trois angles d’un triangle équilatéral inscrit dans le cercle du spectre des couleurs.
En géométrie, trois points quelconques déterminent un triangle et définissent aussi le cercle dans lequel le triangle est inscrit. Les trois repères que constituent les trois types de cônes définissent donc un cercle dans lequel le triangle équilatéral correspondant aux trois couleurs primaires peut être redéfini, même si les zones de sensibilité des cônes ne recouvrent pas le rouge.
Comment le cerveau réalise-t-il cette conversion ? Sans doute par corrélation de fréquences et de phases, comme pour les accords en musique. Comme l’octave est divisée en 6 tons ( 5 tons et 2 demi-tons), la gamme chromatique est composée de 6 couleurs (3 primaires et 3 complémentaires). Le cerveau, comme tout l’univers, fonctionne selon les règles de corrélation de fréquences et de phases de la mécanique ondulatoire. Les pythagoriciens l’avaient bien compris mais à part quelques opticiens et électriciens dissidents, la physique et la biologie l’ignorent encore.
Pourquoi percevons-nous six couleurs principales et complémentaires ?
Le comment de la vision des couleurs peut s’expliquer. Mais pourquoi l’évolution a-t-elle produit un système de couleurs trichromique chez l’homme ? La vision colorée n’est pas seulement une question de physique ou de physiologie, mais aussi une nécessité métaphysique et logique. Elle est une des formes d'expression de l'auto-organisation systémique universelle.
J’ai démontré par l’Ontologie chez Platon et Aristote comment les philosophes grecs représentaient les principes premiers de l’ordre universel et par les états affectifs selon les conceptions holistiques orientales comment les sages orientaux expliquaient les principes de la connaissance.
L’organisation de l’univers physique et psychique est fondée sur trois principes premiers d’auto-organisation dont le système des couleurs primaires n’est qu’une forme d’expression analogue. J’y reviendrai …
Re: Le mystère de la couleur
La vision colorée n’est pas seulement une question de physique ou de neurophysiologie, mais aussi une nécessité métaphysique et logique.
L’organisation physique, l’organisation biologique et l’organisation psychique, comme toute autre organisation naturelle et universelle, sont toutes fondées sur les mêmes trois principes premiers d’auto-organisation.
Les philosophies indiennes les connaissent comme trois qualités premières indissociables, les gunas : tamas, principe inertiel et existentiel, rajas, principe de transformation dynamique et sattva, principe subtil, qualitatif. Ils correspondent aux principes yin, yang et qi de la cosmologie chinoise. Platon attribuait l’unité de la nature respectivement à la stabilité de la terre, aux transformations par le feu et à la proportionnalité ; et Aristote les a définis comme causes matérielle, efficiente et formelle ; la cause finale étant leur unité. (v. le sujet Ontologie chez Platon et Aristote).
Dans le yoga qui est une pratique d’élévation spirituelle, tamas, rajas et sattva signifient respectivement obscurantisme (noir), passion (rouge) et pureté (blanc). En médecine ayurvédique c’est différent, ce sont des propriétés fonctionnelles analogues aux couleurs primaires.
La trilogie des couleurs primaires est une des formes d’expression de la trilogie des principes de l’auto-organisation universelle, commune au psychique et au physique, qui garantit la corrélation de la connaissance avec la réalité.
Les trois couleurs primaires bleu, rouge et vert ont des significations fonctionnelles ou physiologiques analogues aux trois gunas ou principes premiers d’auto-organisation.
En médecine ayurvédique, la couleur bleue, celle de l’eau froide et lourde, signifie tamas, la stabilité par l’eau, substance vitale existentielle, et donc cause matérielle
Le jaune, couleur existentielle opposée ou complémentaire signifie mobilité.
La couleur rouge, celle du feu et du sang, signifie rajas, l’activité, la force de transformation et de mobilisation, et donc la cause efficiente.
Le, couleur complémentaire turquoise signifie réceptivité passive.
La couleur verte, celle de la végétation, signifie sattva la créativité naturelle, innovation complexe ou intelligence de l’esprit vital : la cause formelle
La couleur complémentaire magenta signifie conservation rigide.
De ces propriétés universelles d’organisation systémiques résultent par analogie les propriétés et valeurs psychiques universelles selon le schéma suivant :
Au centre figurent les trois vertus théologales, la foi, la charité et l'espérance
En violet sont placées les quatre vertus cardinales. Elle ont été transmises du zoroastrisme au christianisme par l’intermédiaire de Platon. J’ai ajouté trois vertus complémentaires en gris et placé la prudence au centre.
Je considère la prudence comme l’équilibre ou voie du milieu. Elle a le rôle du tiers inclus entre tous les opposés périphériques et devient ataraxie ou illumination par développement spirituels supérieurs. C’est la cause finale qui complète comme zéro ou sept les six états périphériques, propriétés de l’auto-organisation systémique
Des explications détaillées ont déjà été données dans les sujets suivants :
Ethique, valeurs morales et vertus ;
Des principes aux valeurs ;
Etats affectifs selon les conceptions holistiques orientales.
L’organisation physique, l’organisation biologique et l’organisation psychique, comme toute autre organisation naturelle et universelle, sont toutes fondées sur les mêmes trois principes premiers d’auto-organisation.
Les philosophies indiennes les connaissent comme trois qualités premières indissociables, les gunas : tamas, principe inertiel et existentiel, rajas, principe de transformation dynamique et sattva, principe subtil, qualitatif. Ils correspondent aux principes yin, yang et qi de la cosmologie chinoise. Platon attribuait l’unité de la nature respectivement à la stabilité de la terre, aux transformations par le feu et à la proportionnalité ; et Aristote les a définis comme causes matérielle, efficiente et formelle ; la cause finale étant leur unité. (v. le sujet Ontologie chez Platon et Aristote).
Dans le yoga qui est une pratique d’élévation spirituelle, tamas, rajas et sattva signifient respectivement obscurantisme (noir), passion (rouge) et pureté (blanc). En médecine ayurvédique c’est différent, ce sont des propriétés fonctionnelles analogues aux couleurs primaires.
La trilogie des couleurs primaires est une des formes d’expression de la trilogie des principes de l’auto-organisation universelle, commune au psychique et au physique, qui garantit la corrélation de la connaissance avec la réalité.
Les trois couleurs primaires bleu, rouge et vert ont des significations fonctionnelles ou physiologiques analogues aux trois gunas ou principes premiers d’auto-organisation.
En médecine ayurvédique, la couleur bleue, celle de l’eau froide et lourde, signifie tamas, la stabilité par l’eau, substance vitale existentielle, et donc cause matérielle
Le jaune, couleur existentielle opposée ou complémentaire signifie mobilité.
La couleur rouge, celle du feu et du sang, signifie rajas, l’activité, la force de transformation et de mobilisation, et donc la cause efficiente.
Le, couleur complémentaire turquoise signifie réceptivité passive.
La couleur verte, celle de la végétation, signifie sattva la créativité naturelle, innovation complexe ou intelligence de l’esprit vital : la cause formelle
La couleur complémentaire magenta signifie conservation rigide.
De ces propriétés universelles d’organisation systémiques résultent par analogie les propriétés et valeurs psychiques universelles selon le schéma suivant :
Au centre figurent les trois vertus théologales, la foi, la charité et l'espérance
En violet sont placées les quatre vertus cardinales. Elle ont été transmises du zoroastrisme au christianisme par l’intermédiaire de Platon. J’ai ajouté trois vertus complémentaires en gris et placé la prudence au centre.
Je considère la prudence comme l’équilibre ou voie du milieu. Elle a le rôle du tiers inclus entre tous les opposés périphériques et devient ataraxie ou illumination par développement spirituels supérieurs. C’est la cause finale qui complète comme zéro ou sept les six états périphériques, propriétés de l’auto-organisation systémique
Des explications détaillées ont déjà été données dans les sujets suivants :
Ethique, valeurs morales et vertus ;
Des principes aux valeurs ;
Etats affectifs selon les conceptions holistiques orientales.
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