DÉCADENCE OCCIDENTALE ET ASCENDANCE ORIENTALE
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DÉCADENCE OCCIDENTALE ET ASCENDANCE ORIENTALE
Malgré un progrès matériel incontestable, la civilisation de l’Europe occidentale et des Etats-Unis d’Amérique est en déclin suite à la dispersion du savoir et à la relativisation des valeurs.
Il n’est pas nécessaire de démontrer la décadence; de nombreux auteurs la déplorent et annoncent une crise. La décadence se manifeste dans toutes les activités humaines que ce soit en sciences sociales et économiques ou en sciences naturelles et physiques.
Il est par contre nécessaire de se rendre compte des causes de la décadence qui ne sont pas seulement récentes ou modernes, mais qui remontent aux origines de la civilisation européenne. Elles résident dans la manière de penser et de comprendre le monde ; elles concernent la philosophie.
J’ai étudié les étapes du déclin de la pensée occidentale dans le sujet « La Tradition et l'évolution de la civilisation européenne ». J’ai exposé les causes du déclin et les solutions possibles dans le manuscrit RETOUR AU BON SENS. Je me contente ici de résumer les aspects philosophiques du déclin, de faire la synthèse de l’état actuel de l’humanité et d’envisager des possibilités de sortie de la crise actuelle de la civilisation.
Mais d’abord il s’agit de comprendre ce qui est à l’origine d’une culture ou tradition quelle qu’elle soit.
Il n’est pas nécessaire de démontrer la décadence; de nombreux auteurs la déplorent et annoncent une crise. La décadence se manifeste dans toutes les activités humaines que ce soit en sciences sociales et économiques ou en sciences naturelles et physiques.
Il est par contre nécessaire de se rendre compte des causes de la décadence qui ne sont pas seulement récentes ou modernes, mais qui remontent aux origines de la civilisation européenne. Elles résident dans la manière de penser et de comprendre le monde ; elles concernent la philosophie.
J’ai étudié les étapes du déclin de la pensée occidentale dans le sujet « La Tradition et l'évolution de la civilisation européenne ». J’ai exposé les causes du déclin et les solutions possibles dans le manuscrit RETOUR AU BON SENS. Je me contente ici de résumer les aspects philosophiques du déclin, de faire la synthèse de l’état actuel de l’humanité et d’envisager des possibilités de sortie de la crise actuelle de la civilisation.
Mais d’abord il s’agit de comprendre ce qui est à l’origine d’une culture ou tradition quelle qu’elle soit.
Origines de la Culture ou Tradition
Le mot culture vient du verbe latin colere qui signifie à la fois cultiver et célébrer. Il comprend les principes de toute activité humaine. A l’origine préhistorique, avant les Grecs et les Romains et avant l’écriture, ces principes transmis par voir orale, formaient la Tradition, synonyme de Culture, selon la définition de Michel Random :
« Ce que nous entendons par tradition c'est essentiellement ce qui est permanent et stable à travers les lieux, les cultures et les religions. Il existe une science primordiale liée aux propriétés du vivant et à la "sagesse" de la nature, qui est le fondement de toutes connaissances. »
Ce qui est permanent, universel, commun à toutes les cultures, est une trilogie que l’on retrouve dans les cultures préhistoriques sous forme de symboles tels que les triskèles celtique ou méditerranéenne et dans les grandes civilisations antiques et orientales comme principes mystiques tels que les trois Gunas du Samkhya-Yoga ou le Trikaya du Bouddhisme. Plus près de l’Europe, les six Amesha Spenta, « principes bénéfiques » du zoroastrisme de la Perse antique, représentaient une double trilogie, cosmique et humaine. Elles ont inspiré l’ontologie de Platon et d’Aristote ainsi que leurs valeurs morales.
Toute culture est fondée sur des principes d’organisation conformes à l’organisation de la nature Ce sont des principes communs à la nature extérieure physique et à la nature intérieure cognitive ; ils régissent toute activité humaine. Ces principes, science première innée que Descartes appelait «le bon sens », sont de nature symbolique, qualitative, difficilement définissables. Ils ont été exprimés dans les traditions orales par des images, des allégories ou des paraboles et ont été appliqués par analogie aux situations de la vie quotidienne et aux problèmes de la santé.
« Ce que nous entendons par tradition c'est essentiellement ce qui est permanent et stable à travers les lieux, les cultures et les religions. Il existe une science primordiale liée aux propriétés du vivant et à la "sagesse" de la nature, qui est le fondement de toutes connaissances. »
Ce qui est permanent, universel, commun à toutes les cultures, est une trilogie que l’on retrouve dans les cultures préhistoriques sous forme de symboles tels que les triskèles celtique ou méditerranéenne et dans les grandes civilisations antiques et orientales comme principes mystiques tels que les trois Gunas du Samkhya-Yoga ou le Trikaya du Bouddhisme. Plus près de l’Europe, les six Amesha Spenta, « principes bénéfiques » du zoroastrisme de la Perse antique, représentaient une double trilogie, cosmique et humaine. Elles ont inspiré l’ontologie de Platon et d’Aristote ainsi que leurs valeurs morales.
Toute culture est fondée sur des principes d’organisation conformes à l’organisation de la nature Ce sont des principes communs à la nature extérieure physique et à la nature intérieure cognitive ; ils régissent toute activité humaine. Ces principes, science première innée que Descartes appelait «le bon sens », sont de nature symbolique, qualitative, difficilement définissables. Ils ont été exprimés dans les traditions orales par des images, des allégories ou des paraboles et ont été appliqués par analogie aux situations de la vie quotidienne et aux problèmes de la santé.
Les causes et étapes de la décadence occidentale
Monothéisme et humanisme
Le monothéisme judaïque d’un Dieu unique, à l’image d’Abraham, chef de tribu bédouin, et l’humanisme des philosophes socratiques grecs ont fait perdre la compréhension de l’Un, du monisme des spiritualités antiques et orientales, où l’homme est un microcosme, partie dépendante analogue au Macrocosme Universel de la Nature. Au contraire, le christianisme associant judaïsme et humanisme a institué le mythe de l’Homme-Dieu, maître du monde.
Rationalisme sceptique et empirisme positiviste
L’écriture, répandue à l’époque gréco-romaine, en limitant le sens des mots par des définitions, a fait perdre le sens unificateur du symbole et la logique d’analogie qui relie les niveaux de la réalité s’étageant entre l’unité spirituelle et la multiplicité des phénomènes. Elle favorisa le scepticisme des physiciens empiristes ioniens, auxquels se rallia Aristote, rejetant les principes premiers de son maître Platon. L’empirisme positiviste conduisit aux philosophies principales de la période hellénistique et de l’empire romain : l’épicurisme et le stoïcisme.
Le dualisme moral Bien/Mal d'Augustin
Parmi les mystiques d’Alexandrie du IIIe siècle, Ammonios Saccas essaya de revenir à la trilogie traditionnelle orientale et platonicienne. Parmi ses disciples, Origène proposa la conception théologique de complémentarité esprit-âme-corps qui inspira la trinité chrétienne anthropomorphe Père/Saint-Esprit/Fils. Plotin fonda l’école néoplatonicienne romaine et formula la trilogie néoplatonicienne des trois hypostases : l’Un, l’Intellect et l’Âme du Monde, analogue à la division stoïcienne entre éthique, logique et physique.
Influencé par le dualisme des religions romaines du Mithraïsme de du Manichéisme autant que par le néoplatonisme, Augustin institua un dualisme moral Bien/Mal par son exégèse du péché originel et de la rédemption. A cela s’ajouta une réduction de la trinité à un dualisme théologique par la consubstantialité du Père et du Fils (le filioque) qui conduisit, avec la prétention papale d’exclusivité apostolique, au schisme entre l’Église catholique impériale de Rome et les Églises orthodoxes de Byzance et d’Orient restées fidèles à la logique complémentaire du symbole trinitaire de Nicée.
Le dualisme logique Vrai/Faux de Thomas d’Aquin
Au XIIIe siècle, une réforme théologique opposa la thèse néoplatonicienne du franciscain Bonaventure de Bagnoregio à la thèse aristotélicienne du dominicain Thomas d’Aquin. Celui-ci étendit la logique de non-contradiction, à toute doctrine, alors qu’Aristote la confinait à l’observation empirique et l’utilisait seulement en rhétorique. Cette perversion logique confortant l’exclusivité des doctrines pontificales et justifiant les Croisades et l’Inquisition obtint la préférence de la scolastique.
La logique platonicienne de complémentarité et d’unité mystique de Bonaventure fut abandonnée et les mystiques franciscains furent poursuivis. Elle survit en marge pendant la Renaissance chez des penseurs isolés, mal perçus et mal compris tels que Nicolas de Cues, Giordano Bruno et Descartes.
Le dualisme post-cartésien entre Positivisme scientiste et idéalisme philosophique
L’intolérance dogmatique fit perdre à l’Église catholique sa crédibilité, elle provoqua la Réforme qui ne fit qu’accélérer la déspiritualisation par l’interprétation rationnelle des Écritures et l’élimination des symboles mystiques. Sa logique de non-contradiction facilita aussi l’essor des sciences.
Descartes, par son Discours de la Méthode formula la méthode analytique, conforme à la logique de non-contradiction. Mais il conçut la méthode empirique comme complément pratique des Principes de philosophie et des Méditations métaphysiques. Ses successeurs positivistes, dits cartésiens, ne retinrent que la méthode analytique et son prolongement mathématique, fondements du matérialisme atomiste et du déterminisme.
En réaction au positivisme scientifique unilatéral, certains philosophes opposèrent à la réalité physique objective et extérieure (res extensa) une réalité psychique subjective et intérieure (res cogitans). L’idéalisme du XVIIe siècle se radicalisa jusqu’au solipsisme philosophique postmodernes prétendant que toute existence relève de la perception individuelle participant à une conscience universelle.
De la relativité physique au relativisme et individualisme
Le solipsisme philosophique s’accordait avec la relativité d’Einstein qui ne reconnaissait comme référentiel seulement celui de l’observateur individuel. Bien que cette théorie ne s’appliquât qu’à un problème mathématique particulier, elle encouragea les philosophes à considérer l’individu comme référentiel psychique et social, relativisant tout principe social, moral, ou biologique tels que le rôle du genre et de l’ordre familial.
La relativisation et déresponsabilisation s’est répandue à la politique néolibérale, grâce aux « Nouveaux philosophes », incitant à la spéculation, aux dérégulations et à la corruption par les banquesters.
Enfin, le gouvernement des USA, seule nation qui est passé directement de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation (selon Oscar Wilde), a répandu le chaos à l’ensemble des pays soumis à son pouvoir, anéantissant leurs spécificité culturelle et leur imposant son modèle d’acculturation par les migrations qu’il n’accepte pourtant pas chez lui.
Conclusion
L’abandon des principes premiers, ceux des monismes orientaux ou de Platon, et de sa logique de complémentarité et d’analogie, ainsi que l’adoption et généralisation d’une logique de non-contradiction et de son application analytique et déterministe, ont conduit à la division du savoir, des activités scientifiques et technologiques et à la division de la société elle-même en égoïsmes individuels
La méthode analytique, appliquée aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences physiques, a apporté des progrès technologiques considérables au prix d’une régression culturelle et d’une décadence sociale catastrophiques. L’Occident se situe dans un état de non-droit qui ressemble à une dictature mais qui est en réalité un état chaotique consécutif à la dissolution des règles morales, sociales et internationales où les puissances de l’argent dominent tout.
Il ne sert à rien de réformer les institutions politiques et financières qui sont des conséquences, sans s’occuper des causes qui résident dans l’abandon des principes premiers de l’existence. Il faut retrouver les principes d’organisation logique globale du monde physique et de l’intelligence qui se le représente.
Le monothéisme judaïque d’un Dieu unique, à l’image d’Abraham, chef de tribu bédouin, et l’humanisme des philosophes socratiques grecs ont fait perdre la compréhension de l’Un, du monisme des spiritualités antiques et orientales, où l’homme est un microcosme, partie dépendante analogue au Macrocosme Universel de la Nature. Au contraire, le christianisme associant judaïsme et humanisme a institué le mythe de l’Homme-Dieu, maître du monde.
Rationalisme sceptique et empirisme positiviste
L’écriture, répandue à l’époque gréco-romaine, en limitant le sens des mots par des définitions, a fait perdre le sens unificateur du symbole et la logique d’analogie qui relie les niveaux de la réalité s’étageant entre l’unité spirituelle et la multiplicité des phénomènes. Elle favorisa le scepticisme des physiciens empiristes ioniens, auxquels se rallia Aristote, rejetant les principes premiers de son maître Platon. L’empirisme positiviste conduisit aux philosophies principales de la période hellénistique et de l’empire romain : l’épicurisme et le stoïcisme.
Le dualisme moral Bien/Mal d'Augustin
Parmi les mystiques d’Alexandrie du IIIe siècle, Ammonios Saccas essaya de revenir à la trilogie traditionnelle orientale et platonicienne. Parmi ses disciples, Origène proposa la conception théologique de complémentarité esprit-âme-corps qui inspira la trinité chrétienne anthropomorphe Père/Saint-Esprit/Fils. Plotin fonda l’école néoplatonicienne romaine et formula la trilogie néoplatonicienne des trois hypostases : l’Un, l’Intellect et l’Âme du Monde, analogue à la division stoïcienne entre éthique, logique et physique.
Influencé par le dualisme des religions romaines du Mithraïsme de du Manichéisme autant que par le néoplatonisme, Augustin institua un dualisme moral Bien/Mal par son exégèse du péché originel et de la rédemption. A cela s’ajouta une réduction de la trinité à un dualisme théologique par la consubstantialité du Père et du Fils (le filioque) qui conduisit, avec la prétention papale d’exclusivité apostolique, au schisme entre l’Église catholique impériale de Rome et les Églises orthodoxes de Byzance et d’Orient restées fidèles à la logique complémentaire du symbole trinitaire de Nicée.
Le dualisme logique Vrai/Faux de Thomas d’Aquin
Au XIIIe siècle, une réforme théologique opposa la thèse néoplatonicienne du franciscain Bonaventure de Bagnoregio à la thèse aristotélicienne du dominicain Thomas d’Aquin. Celui-ci étendit la logique de non-contradiction, à toute doctrine, alors qu’Aristote la confinait à l’observation empirique et l’utilisait seulement en rhétorique. Cette perversion logique confortant l’exclusivité des doctrines pontificales et justifiant les Croisades et l’Inquisition obtint la préférence de la scolastique.
La logique platonicienne de complémentarité et d’unité mystique de Bonaventure fut abandonnée et les mystiques franciscains furent poursuivis. Elle survit en marge pendant la Renaissance chez des penseurs isolés, mal perçus et mal compris tels que Nicolas de Cues, Giordano Bruno et Descartes.
Le dualisme post-cartésien entre Positivisme scientiste et idéalisme philosophique
L’intolérance dogmatique fit perdre à l’Église catholique sa crédibilité, elle provoqua la Réforme qui ne fit qu’accélérer la déspiritualisation par l’interprétation rationnelle des Écritures et l’élimination des symboles mystiques. Sa logique de non-contradiction facilita aussi l’essor des sciences.
Descartes, par son Discours de la Méthode formula la méthode analytique, conforme à la logique de non-contradiction. Mais il conçut la méthode empirique comme complément pratique des Principes de philosophie et des Méditations métaphysiques. Ses successeurs positivistes, dits cartésiens, ne retinrent que la méthode analytique et son prolongement mathématique, fondements du matérialisme atomiste et du déterminisme.
En réaction au positivisme scientifique unilatéral, certains philosophes opposèrent à la réalité physique objective et extérieure (res extensa) une réalité psychique subjective et intérieure (res cogitans). L’idéalisme du XVIIe siècle se radicalisa jusqu’au solipsisme philosophique postmodernes prétendant que toute existence relève de la perception individuelle participant à une conscience universelle.
De la relativité physique au relativisme et individualisme
Le solipsisme philosophique s’accordait avec la relativité d’Einstein qui ne reconnaissait comme référentiel seulement celui de l’observateur individuel. Bien que cette théorie ne s’appliquât qu’à un problème mathématique particulier, elle encouragea les philosophes à considérer l’individu comme référentiel psychique et social, relativisant tout principe social, moral, ou biologique tels que le rôle du genre et de l’ordre familial.
La relativisation et déresponsabilisation s’est répandue à la politique néolibérale, grâce aux « Nouveaux philosophes », incitant à la spéculation, aux dérégulations et à la corruption par les banquesters.
Enfin, le gouvernement des USA, seule nation qui est passé directement de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation (selon Oscar Wilde), a répandu le chaos à l’ensemble des pays soumis à son pouvoir, anéantissant leurs spécificité culturelle et leur imposant son modèle d’acculturation par les migrations qu’il n’accepte pourtant pas chez lui.
Conclusion
L’abandon des principes premiers, ceux des monismes orientaux ou de Platon, et de sa logique de complémentarité et d’analogie, ainsi que l’adoption et généralisation d’une logique de non-contradiction et de son application analytique et déterministe, ont conduit à la division du savoir, des activités scientifiques et technologiques et à la division de la société elle-même en égoïsmes individuels
La méthode analytique, appliquée aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences physiques, a apporté des progrès technologiques considérables au prix d’une régression culturelle et d’une décadence sociale catastrophiques. L’Occident se situe dans un état de non-droit qui ressemble à une dictature mais qui est en réalité un état chaotique consécutif à la dissolution des règles morales, sociales et internationales où les puissances de l’argent dominent tout.
Il ne sert à rien de réformer les institutions politiques et financières qui sont des conséquences, sans s’occuper des causes qui résident dans l’abandon des principes premiers de l’existence. Il faut retrouver les principes d’organisation logique globale du monde physique et de l’intelligence qui se le représente.
Dogmes et tabous qui empêchent le progrès
L’époque dite postmoderne du XXIe siècle donne le sentiment que la civilisation technologique, malgré l’extension des applications, n’améliore plus notre vie mais la détériore par la pollution et par les conditions économiques et sociales.
La culture occidentale contemporaine est essentiellement scientifique. La Science occupe aujourd’hui le rôle de référence qu’avait l’Église du Moyen-âge. Les experts, qui ont le rôle du clergé, établissent par consensus ce qu’est la vérité et les comités de lecture anonymes décident ce qui peut être publié. On ne brûle plus les scientifiques hérétiques mais on les exclut de la recherche et des publications.
Les sciences restent bloquées par l’inertie de leurs dogmes fondés sur des présupposés qui ne sont pas explicitement exprimés car considérés comme évidents. Ils sont fondés sur la logique de non-contradiction et sur les conditions restrictives de la méthode expérimentale :
Pourtant la physique a établi l’équivalence de la masse et de l’énergie ; elle a découvert par l’intrication quantique que les particules distantes forment un tout et elle constate en thermodynamique comme en mécanique quantique qu’il existe des phénomènes imprévisibles et irréversibles.
Les principes matérialiste et déterministe, dogmes unilatéraux s’appuyant sur la logique thomiste de contradiction exclue, sont performants dans la recherche d’applications technologiques mais ne fournissent pas une vision correcte des relations naturelles, biologiques et humaines. La nature est faite de principes et qualités contraires et complémentaires. Pour être conforme à la réalité, la philosophie et la science devraient les convertir en dualités complémentaires : matière et énergie, tout et parties , déterminisme et probabilités.
Des logiques alternatives ont pourtant été proposées. Stéphane Lupasco a fait redécouvrir par son principe d’antagonisme la logique de complémentarité qui s’applique aux relations et interaction entre les parties ; Ludwig von Bertalanffy a réhabilité la logique classique d’analogie de proportionnalité en reconnaissant que l’unification des sciences peut être obtenue par l’établissement des homologies qui relient les niveaux hiérarchiques des systèmes naturels. Mais les préjugés scientistes ont fait obstacle au développement de la méthode systémique ; celle-ci a été réduite à des systèmes particuliers, , selon les principes de la cybernétique et robotique, même en psychologie. Le matérialisme déterministe a contribué ainsi à la décadence psychique et sociale, à l’égoïsme individualiste et au fossé social et économique entre richesse et pauvreté.
Au début du vingtième siècle, la physique a créé trois théories principales, la relativité, la mécanique quantique et la cosmologie d’expansion, qui sont reconnues comme des dogmes incontestables. De plus, la relativité de l’espace-temps est un tabou incontestable parce qu’Einstein était juif et que le sionisme en a fait un symbole de l’esprit supérieur du peuple élu. Depuis Einstein, les interrogations et débats entre physiciens ont laissé la place aux hypothèses et extrapolations mathématiques, une attitude qui a été caricaturée par l’expression « ferme la et calcule » (shut up and calculate) . De même en biologie, la théorie de l’évolution et la biochimie moléculaire sont des dogmes qui ne permettent pas à la recherche de s’écarter de la chimie et de la pharmacologie.
Chacune de ces théories est pourtant fondée sur des présupposés contestables et a été réfutée par des théories alternatives. Rejetées par le « consensus scientifique la plupart des alternatives sont fondées sur l’électromagnétisme et donc sur la mécanique ondulatoire, même en biologie.
Il y eut dans les années 1970-80 un renouveau d’idées philosophiques et scientifique publiées en librairie, mais par la suite les éditions réunies dans des grands groupes contrôlés par des investisseurs financiers, ont réservé leurs publications aux thèses strictement conformes au consensus scientifique, défendues par ailleurs par Google, Wikipédia et Futura-Science, gardiens de la bienséance scientifique. La physique est soumise désormais aux intérêts du complexe militaro-industriel et la biologie à ceux du complexe médico-pharmaceutique.
Les scientifiques ne sont pourtant pas tous alignés sur les dogmes conformes au système politico-scientifique. Nombreux sont les scientifiques indépendants qui poursuivent des recherches dans des voies alternatives et dont les théories sont publiées sur des sites ouverts, sans censure. Le progrès des sciences se poursuit, mais en dehors des institutions académiques. Des chercheurs indépendants, philosophes et scientifiques préparent un avenir après la crise de civilisation.
La culture occidentale contemporaine est essentiellement scientifique. La Science occupe aujourd’hui le rôle de référence qu’avait l’Église du Moyen-âge. Les experts, qui ont le rôle du clergé, établissent par consensus ce qu’est la vérité et les comités de lecture anonymes décident ce qui peut être publié. On ne brûle plus les scientifiques hérétiques mais on les exclut de la recherche et des publications.
Les sciences restent bloquées par l’inertie de leurs dogmes fondés sur des présupposés qui ne sont pas explicitement exprimés car considérés comme évidents. Ils sont fondés sur la logique de non-contradiction et sur les conditions restrictives de la méthode expérimentale :
- Le matérialisme atomiste réduit même les interactions à des particules telles que le photon ;
- le réductionnisme analytique considère le tout comme rien d’autre que la somme des parties ;
- le déterminisme mécanique admet la réversibilité des interactions et donc du temps.
Pourtant la physique a établi l’équivalence de la masse et de l’énergie ; elle a découvert par l’intrication quantique que les particules distantes forment un tout et elle constate en thermodynamique comme en mécanique quantique qu’il existe des phénomènes imprévisibles et irréversibles.
Les principes matérialiste et déterministe, dogmes unilatéraux s’appuyant sur la logique thomiste de contradiction exclue, sont performants dans la recherche d’applications technologiques mais ne fournissent pas une vision correcte des relations naturelles, biologiques et humaines. La nature est faite de principes et qualités contraires et complémentaires. Pour être conforme à la réalité, la philosophie et la science devraient les convertir en dualités complémentaires : matière et énergie, tout et parties , déterminisme et probabilités.
Des logiques alternatives ont pourtant été proposées. Stéphane Lupasco a fait redécouvrir par son principe d’antagonisme la logique de complémentarité qui s’applique aux relations et interaction entre les parties ; Ludwig von Bertalanffy a réhabilité la logique classique d’analogie de proportionnalité en reconnaissant que l’unification des sciences peut être obtenue par l’établissement des homologies qui relient les niveaux hiérarchiques des systèmes naturels. Mais les préjugés scientistes ont fait obstacle au développement de la méthode systémique ; celle-ci a été réduite à des systèmes particuliers, , selon les principes de la cybernétique et robotique, même en psychologie. Le matérialisme déterministe a contribué ainsi à la décadence psychique et sociale, à l’égoïsme individualiste et au fossé social et économique entre richesse et pauvreté.
Au début du vingtième siècle, la physique a créé trois théories principales, la relativité, la mécanique quantique et la cosmologie d’expansion, qui sont reconnues comme des dogmes incontestables. De plus, la relativité de l’espace-temps est un tabou incontestable parce qu’Einstein était juif et que le sionisme en a fait un symbole de l’esprit supérieur du peuple élu. Depuis Einstein, les interrogations et débats entre physiciens ont laissé la place aux hypothèses et extrapolations mathématiques, une attitude qui a été caricaturée par l’expression « ferme la et calcule » (shut up and calculate) . De même en biologie, la théorie de l’évolution et la biochimie moléculaire sont des dogmes qui ne permettent pas à la recherche de s’écarter de la chimie et de la pharmacologie.
Chacune de ces théories est pourtant fondée sur des présupposés contestables et a été réfutée par des théories alternatives. Rejetées par le « consensus scientifique la plupart des alternatives sont fondées sur l’électromagnétisme et donc sur la mécanique ondulatoire, même en biologie.
Il y eut dans les années 1970-80 un renouveau d’idées philosophiques et scientifique publiées en librairie, mais par la suite les éditions réunies dans des grands groupes contrôlés par des investisseurs financiers, ont réservé leurs publications aux thèses strictement conformes au consensus scientifique, défendues par ailleurs par Google, Wikipédia et Futura-Science, gardiens de la bienséance scientifique. La physique est soumise désormais aux intérêts du complexe militaro-industriel et la biologie à ceux du complexe médico-pharmaceutique.
Les scientifiques ne sont pourtant pas tous alignés sur les dogmes conformes au système politico-scientifique. Nombreux sont les scientifiques indépendants qui poursuivent des recherches dans des voies alternatives et dont les théories sont publiées sur des sites ouverts, sans censure. Le progrès des sciences se poursuit, mais en dehors des institutions académiques. Des chercheurs indépendants, philosophes et scientifiques préparent un avenir après la crise de civilisation.
Les catastrophes qui peuvent détruire la civilisation occidentale
La logique d’exclusion et de division a conduit l’Europe occidentale aux colonialismes nationaux. La relativisation morale et l’égoïsme individualiste associés à l’interconnexion électronique ont produit l’Empire néocolonialiste mondial dont les centres du pouvoir financier obscur sont à Londres et à New York. Les politiciens qui occupent le devant de la scène des médias ne sont que des marionnettes choisies par l’État Profond (Deep State), une petite communauté de spéculateurs bancaires enrichis par l’obligation des États-nations de financer leur budget par des emprunts aux banques privées plutôt qu’à leur banque centrale émettrice de la monnaie. Le projet avait été fondé au XVIIIe siècle par Mayer Amschel Rothschild en déclarant : "Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois ".
Cette communauté de banquiers s’est assuré les pouvoirs monétaire, politique, intellectuel et ecclésiastique et protège ses monopoles et privilèges par le contrôle des médias. Le pouvoir financier est organisé par le FMI, la Banque Mondiale et l’OIC parmi d’autres institutions onusiennes. Son pouvoir politique est protégé par des traités internationaux contraignants qui annulent la souveraineté nationale démocratique, tels que ceux de l’Union Européenne et de l’OTAN, qui en est le bras militaire.
Le système impérial occidental n’est pas réformable de l’intérieur. Il est imposé par le lavage de cerveau de l’éducation et de la manipulation de l’information médiatique. Il réprime toute manifestation par la violence policière. Seules des catastrophes pourront l’abattre et apporter un changement.
Avant tout, le gigantisme est instable, l’homogénéisation culturelle est une utopie aux risques explosifs. Ses propres contradictions et divisions internes conduisent le système mondialiste à l’autodestruction. La spéculation, la facilité des crédits, le gonflement de la masse monétaire ont produit une bulle de dettes irrécupérables. La crise financière sans précédent er sur le point d’éclater au moment où j’écris. Le monde occidental peut s’effondrer de l’intérieur.
L’empire américain et atlantiste n’est pas seul au monde. Ses excès et sanctions illégitimes provoquent une résistance des nations restées plus ou moins souveraines et qui s’allient aux puissances nouvelles de Chine et de Russie. Une guerre économique est engagée contre la Chine. Le néolibéralisme financier peut s’effondrer sous les ripostes économiques et monétaires de la Chine.
La guerre des civilisations engagée par l’Occident peut dégénérer en conflit armé à l’issue incertaine et même en conflit nucléaire qui risquerait d’anéantir toute civilisation. Une frappe nucléaire « préventive » contre la Russie est même planifiée par le Pentagone et des ogives distribuées en Europe.
Enfin, la civilisation technologique dans son ensemble peut être affectée par l’affaiblissement du champ géomagnétique accompagnant le Grand Minimum d’activité solaire prévu pendant les prochaines décennies. Cette incidence cosmique modifiera le climat dans le sens d’un petit âge glaciaire accompagné de pénuries alimentaires, de famines et de troubles sociaux. Mais elle peut se manifester aussi par des séismes, des explosions de volcans et, dans le pire des cas, par des orages magnétiques et de foudres géantes pouvant anéantir toute technologie fondée sur l’électricité et l’électronique.
Il faut être conscient que plus qu’une simple crise, l’humanité va subir des catastrophes qui réduiront la population humaine, devenue beaucoup trop nombreuse. Mais en aucun cas je ne crois à la fin de la planète ni même à l’effacement de l’humanité. Il est possible toutefois que les humains doivent réapprendre ce que sont les dures conditions de la nature et les principes premiers de la vie qui ont guidé les hommes de la Préhistoire et de l’Antiquité.
Cette communauté de banquiers s’est assuré les pouvoirs monétaire, politique, intellectuel et ecclésiastique et protège ses monopoles et privilèges par le contrôle des médias. Le pouvoir financier est organisé par le FMI, la Banque Mondiale et l’OIC parmi d’autres institutions onusiennes. Son pouvoir politique est protégé par des traités internationaux contraignants qui annulent la souveraineté nationale démocratique, tels que ceux de l’Union Européenne et de l’OTAN, qui en est le bras militaire.
Le système impérial occidental n’est pas réformable de l’intérieur. Il est imposé par le lavage de cerveau de l’éducation et de la manipulation de l’information médiatique. Il réprime toute manifestation par la violence policière. Seules des catastrophes pourront l’abattre et apporter un changement.
Avant tout, le gigantisme est instable, l’homogénéisation culturelle est une utopie aux risques explosifs. Ses propres contradictions et divisions internes conduisent le système mondialiste à l’autodestruction. La spéculation, la facilité des crédits, le gonflement de la masse monétaire ont produit une bulle de dettes irrécupérables. La crise financière sans précédent er sur le point d’éclater au moment où j’écris. Le monde occidental peut s’effondrer de l’intérieur.
L’empire américain et atlantiste n’est pas seul au monde. Ses excès et sanctions illégitimes provoquent une résistance des nations restées plus ou moins souveraines et qui s’allient aux puissances nouvelles de Chine et de Russie. Une guerre économique est engagée contre la Chine. Le néolibéralisme financier peut s’effondrer sous les ripostes économiques et monétaires de la Chine.
La guerre des civilisations engagée par l’Occident peut dégénérer en conflit armé à l’issue incertaine et même en conflit nucléaire qui risquerait d’anéantir toute civilisation. Une frappe nucléaire « préventive » contre la Russie est même planifiée par le Pentagone et des ogives distribuées en Europe.
Enfin, la civilisation technologique dans son ensemble peut être affectée par l’affaiblissement du champ géomagnétique accompagnant le Grand Minimum d’activité solaire prévu pendant les prochaines décennies. Cette incidence cosmique modifiera le climat dans le sens d’un petit âge glaciaire accompagné de pénuries alimentaires, de famines et de troubles sociaux. Mais elle peut se manifester aussi par des séismes, des explosions de volcans et, dans le pire des cas, par des orages magnétiques et de foudres géantes pouvant anéantir toute technologie fondée sur l’électricité et l’électronique.
Il faut être conscient que plus qu’une simple crise, l’humanité va subir des catastrophes qui réduiront la population humaine, devenue beaucoup trop nombreuse. Mais en aucun cas je ne crois à la fin de la planète ni même à l’effacement de l’humanité. Il est possible toutefois que les humains doivent réapprendre ce que sont les dures conditions de la nature et les principes premiers de la vie qui ont guidé les hommes de la Préhistoire et de l’Antiquité.
Le retour au bon sens de la Tradition orientale
Alors qu'une étoile décline à l'Occident, de nouvelles étoiles se lèvent en Orient. Trois nouvelles puissances d'Eurasie, la Russie, la Chine et l'Inde résistent à l'impérialisme mondialiste. Sous leur influence, d'autres nations se joignent au projet de coopération eurasiatique, sur la base de la reconnaissance des souverainetés et cultures nationales et du respect d’accords bilatéraux équitables.
Chacune des trois grandes puissances d'Eurasie s'est émancipée d'une domination colonialiste et des l'idéologie matérialiste unilatérales de l'Occident et chacune renoue avec sa tradition.
La Russie, jamais colonisée mais souvent envahie s'est débarrassée de l'infection occidentale qu'était le communisme soviétique fondé sur le matérialisme dialectique. Elle retrouve sa tradition orthodoxe trinitaire et platonicienne fondée sur une logique de complémentarité et d’unité mystique.
La Chine a assoupli son communisme dans l’esprit du confucianisme, accordant à la sphère privée une part de liberté économique et religieuse. Elle retrouve ainsi les vertus du confucianisme et la sagesse taoïste de la complémentarité yin-yang et du symbolisme de ses pictogrammes et trigrammes.
L'Inde a subi les occupations islamique, mongole et britannique, mais elle a conservé sa tradition védique avec la triade divine hindouiste et les trois Gunas de la cosmologie du samkhya.
Les cultures russe, chinoise et indienne ont en commun une logique et une éthique fondées sur la complémentarité et le tiers inclus. L'accord équitable, gagnant-gagnant, respectant les intérêts opposés est le tiers inclus, l'aboutissement de tout marchandage oriental. Faut-il s'étonner que la Russie cherche des compromis par la négociation avec ses adversaires occidentaux hostiles qu'elle appelle pourtant partenaires ? – et ceci alors que l'arrogance occidentale, se déclarant exceptionnelle et indispensable, lui impose des sanctions illégitimes, justifiées seulement par sa propre logique dualiste selon laquelle elle déclare : « Ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous » ?
Il existe une tri-unité universelle, origine de tout devenir, de toute existence. Elle est aussi la structure de la conscience, de ce que nous appelons bon sens et qui oriente le sens de nos choix et de nos actions. La tri-unité est la source inconsciente de l'imagination des scientifiques et de l'intuition de toute tradition authentique.
L’ordre naturel est tenace, « chaque fois que des idéologies ou traditions s’en écartent, - a écrit Michel Random - il réapparaît sous des formes nouvelles dans l'histoire et les traditions des civilisations ».
Chacune des trois grandes puissances d'Eurasie s'est émancipée d'une domination colonialiste et des l'idéologie matérialiste unilatérales de l'Occident et chacune renoue avec sa tradition.
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La Chine a assoupli son communisme dans l’esprit du confucianisme, accordant à la sphère privée une part de liberté économique et religieuse. Elle retrouve ainsi les vertus du confucianisme et la sagesse taoïste de la complémentarité yin-yang et du symbolisme de ses pictogrammes et trigrammes.
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