De la logique pervertie à la décadence occidentale
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20112023
De la logique pervertie à la décadence occidentale
La science s’est émancipée de la théologie au XVIIe siècle sans pouvoir se départir de toutes ses erreurs. Récupérant la logique scolastique du tiers exclu, elle a créé ses propres mythes et dogmes devenant une nouvelle religion. La science n’a pas évolué, elle est restée confinée à la méthode empirique et analytique de Descartes, oubliant le bon sens, participation intuitive à la sagesse divine, tiers inclus entre la matière (res extensa) et la raison (res cogitans).
« De la lumière de vérité d'un seul surgit la lumière de vérité du multiple, de même d'une seule absurdité de nombreuses autres s'ensuivent » (Giordano Bruno)
L’erreur première est la croyance aux vérités absolue et sans partage que postule la logique des principes d’identité, de non-contradiction et du tiers exclu. Il faut rappeler une fois encore qu’Aristote a conçu sa logique pour les faits d’observation par les sens, mais que Thomas d’Aquin l’a généralisée à tout dogme en l’étendant à la Révélation.
L’absurdité de la croyance aux vérités absolues est étroitement liée au monothéisme. Pourtant le dieu prétendu unique est triple ou multiple, représenté différemment selon l’histoire et les coutumes de chaque religions : judaïque, chrétienne et musulmane, sans compter toutes les sectes sous-traitantes. Les monothéismes ne diffèrent des polythéismes que par la prétention de détenir la vérité unique.
Il ne faut pas confondre le monothéisme avec le monisme des philosophies antiques, égyptienne ou orientales où l’Origine ou l’Un n’est pas une vérité mais un secret (Hermès) ou une énigme, un paradoxe comme "Alpha et Oméga" ou comme le Tao : « celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas ».
Nicolas de Cues, pourtant archevêque et cardinal a fait une définition négative de dieu:
« Plus absolu que la vérité est le concept qui rejette les deux opposés aussi bien disjonctivement que conjonctivement. A la question 'si dieu existe', on ne pourra donc pas répondre autrement qu'en répétant à l'infini qu'il est ni existant ni non existant et aussi qu'il est à la fois existant et non-existant. Ceci est la réponse la plus élevée, la plus simple, la plus absolue et la plus appropriée à toute question concernant cet Être Premier, très simple et ineffable. »
Le mythe d’un dieu anthropomorphe dont la volonté aurait créé le monde et le dirigerait hante aussi les théories scientifiques. C’est au prêtre catholique et physicien belge Lemaître qu’on doit l’interprétation du redshift cosmique de Hubble comme conséquence de l’expansion de l’univers suite à une hypothétique explosion à partir de rien: le Big bang. Et Laplace imaginait une intelligence connaissant toutes les causes et forces de la nature, surnommée "Démon de Laplace", nécessaire pour expliquer les aspects aléatoires et créatifs de la nature qui échappent au raisonnement mathématique.
La version thomiste, généralisée, de la logique aristotélicienne était une imposture de la scolastique. Reprise par la science, cette logique a favorisé les recherches empiriques, mais elle est insuffisante et elle est à l’origine de l’insuffisance des hypothèses épistémologique et des méthodes qu’ont conçues les "Lumières" du XVIIIe siècle. La méthode analytique, le réductionnisme matérialiste et le déterminisme mathématique postulent que le tout n’est rien d’autre que la somme des parties ; ils excluaient que le tout puisse avoir des propriétés émergentes non réductibles à celles des parties. Ces postulats épistémologiques insuffisants, conséquences d’une logique insuffisante, ont permis, par la simplification des problèmes complexes, de développer des applications technologiques. Mais la science se heurte à des impasses dans la compréhension des systèmes naturels complexes.
Contrairement à ce qu’on affirme et qu’on croit, la science ne se renouvelle pas, elle augmente indéfiniment ses connaissances grâce à de nouvelles techniques d’investigation, mais elle reste bloquée par ses principes matérialiste, réductionniste et déterministe. Il faut cependant distinguer la science officielle et celle de la recherche libre.
La science officielle est celle qui décide de la validité des théories par consensus des comités de spécialistes et ce consensus guide les comités de lecture des grands journaux anglo-saxons.
La science libre est celle de chercheurs indépendants passionnés qui ne sont pas liés aux conventions académiques et qui publient des solutions alternatives à leurs propres frais sur internet.
La politique de conformité scientifique de la "communauté scientifique internationale" ne s’est instituée qu’avec l’occupation de l’Europe occidentale par les Américains. Avant la deuxième guerre mondiale, les divergences et les débats animés des physiciens étaient normaux et Albert Einstein pouvait publier son plagiat de la théorie de la relativité sans aucune référence aux travaux antérieurs de Poincaré et Lorentz. Après 1945 toute théorie alternative, même expérimentalement étayée est écartée si elle contredit les théories ou dogmes reconnu. En effet, la science est censée progresser selon Karl Popper en corrigeant et précisant des connaissances antérieures. Toute remise en question des fondements épistémologiques des grandes théories est exclue selon cette doctrine. Le monde de la physique du vingtième siècle est resté matériel, composé d’atomes et de particules, (d’autant plus depuis que le génial Einstein a transformé la lumière en une mitraille de photons). A l’inverse, toutes les théories alternatives qui contestent la relativité, la cosmologie de l’expansion de l’univers et l’évolution biologique convergent vers des conceptions électromagnétiques et ondulatoires. Les innovateurs sont ignorés ou exclus des institutions académiques. Ils doivent émigrer. Ainsi le célèbre Luc Montagnier a pu bénéficier de l’hospitalité de la Chine pour poursuivre sa recherche sur la nature électromagnétique de l’ADN et Jean-Pierre Petit a pu développer en Russie sa magnétohydrodynamique qui a permis la réalisation de vitesses hypersoniques.
(Plus de précisions se trouvent dans le sujet Erreurs, impostures et mensonges scientifiques)
Dès le début du vingtième siècle, des mathématiciens et logiciens tels que Bertrand Russell ont considéré les mathématiques comme le pouvoir qui dirige le monde. Après la relativité d’Einstein, les mathématiques, autrefois l’instrument au service de la physique expérimentale, sont devenues maîtres de la physique théorique et au vingtième siècle postmoderne les simulations informatiques et l’IA remplacent l’observation et l’expérimentation et créent la réalité. En parallèle aux mathématiques et à l’informatique les philosophies postmodernes "déconstruisent" l’objectivité et soutiennent que la réalité est ce qu’on perçoit et ce qu’on croit.
La confiscation anglo-saxonne de la science a conduit dès la fin du vingtième siècle à la soumission de la science aux intérêts d’un amalgame de corporations financières et technologiques privées. Ce sont eux qui dirigent les projets scientifiques, qui ont fait simuler un réchauffement climatique et une pandémie et qui font injecter à tout le monde (sauf aux initiés) un produit expérimental à la fois eugéniste et technologique mais appelé vaccin, non pas pour protéger les gens, mais pour les contrôler, diminuer leur fertilité et produire une dépopulation.
La manipulation perverse des sciences et de l’information a gravement atteint la cohésion sociale.
La psychologie fondée sur le mythe de l’égalité des individus à la naissance et sur la causalité déterministe de la cybernétique des conférences de Palo Alto, attribue tout comportement anormal à l’éducation familiale et accuse les pauvres parents d’être responsables des troubles psychologiques de leurs enfants, oubliant qu’à l’adolescence, la rue et les médias se substituent à l’éducation familiale traditionnelle et la détruisent. L’exemple le plus choquant de la dégénérescence de la psychologie et des droits individuels est la nouvelle théorie du genre qui donne le droit aux enfants de choisir leur sexe.
La morale traditionnelle est ridiculisée, la pédagogie scolaire est adaptée au relativisme ambiant, le savoir remplace la réflexion et la culture générale, les vidéos remplacent la lecture, les échecs scolaires et l’analphabétisme augmentent.
L’individualisme, la non-discrimination, les droits de l’homme, de la femme, de l’enfant deviennent prioritaires et favorisent les plus égoïstes et les plus vicieux. La justice fait passer l’intérêt individuel avant l’intérêt collectif ; le droit s’effondre.
La superpuissance anglo-américaine conçoit les rapports géopolitiques selon sa logique radicale du jeu à somme nulle de Hobbes où les gains d’un partenaire sont équivalents aux pertes de l’autre et où il n’y a pas de tiers inclus, pas d’alternative entre la victoire et la défaite. C’est pourquoi le président Bush menaçait avant sa destruction de l’Irak: « ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous » ; c’est ainsi aussi que les États-Unis ont refusé le projet de traité de sécurité de Poutine inquiet de l’avancée de l’Otan aux frontières de la Russie et l’ont poussé à la guerre contre l’Ukraine qui, avec la complicité de l’Allemagne et de la France, n’a jamais respecté les traités de Minsk.
La logique de non-contradiction et du tiers exclu, valable selon Aristote pour la seule connaissance sensorielle, a été abusivement étendue aux doctrines ecclésiastique pour soutenir le pouvoir temporel du Pape. Radicalisée à présent sous sa forme hobbesienne du jeu, cette logique justifie l’égoïsme et la suprématie impériale des élites financières contre les peuples au niveau mondial. Leur politique a divisé les familles et réduit la société en individualités impuissantes, elle a perverti la morale et la science, manipulé les informations et, par la guerre permanente, elle abolit la souveraineté des nations et leurs frontières pour que rien ne s’oppose à leur pouvoir prédateur.
Les absurdités de la postmodernité sont spécifiques à la civilisation occidentale. Elles sont la conséquence ultime et finale de la perversion de la pensée naturelle, celle de la complémentarité et des accords équitables dans l’intérêt commun. La logique pervertie de division et d’exclusion est à l’origine de la dégénérescence morale et culturelle qui annonce la fin de la civilisation héritière de Rome et de l’empire romain d’Occident.
Mais quand une étoile disparaît au Couchant d’autres étoiles apparaissent au Levant. L’avenir réside dans les traditions orientales, celles de la Russie (la troisième Rome), de la Chine et de l’Inde qui forment le noyau de la multipolarité des nations souveraines.
« De la lumière de vérité d'un seul surgit la lumière de vérité du multiple, de même d'une seule absurdité de nombreuses autres s'ensuivent » (Giordano Bruno)
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L’erreur première est la croyance aux vérités absolue et sans partage que postule la logique des principes d’identité, de non-contradiction et du tiers exclu. Il faut rappeler une fois encore qu’Aristote a conçu sa logique pour les faits d’observation par les sens, mais que Thomas d’Aquin l’a généralisée à tout dogme en l’étendant à la Révélation.
L’absurdité de la croyance aux vérités absolues est étroitement liée au monothéisme. Pourtant le dieu prétendu unique est triple ou multiple, représenté différemment selon l’histoire et les coutumes de chaque religions : judaïque, chrétienne et musulmane, sans compter toutes les sectes sous-traitantes. Les monothéismes ne diffèrent des polythéismes que par la prétention de détenir la vérité unique.
Il ne faut pas confondre le monothéisme avec le monisme des philosophies antiques, égyptienne ou orientales où l’Origine ou l’Un n’est pas une vérité mais un secret (Hermès) ou une énigme, un paradoxe comme "Alpha et Oméga" ou comme le Tao : « celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas ».
Nicolas de Cues, pourtant archevêque et cardinal a fait une définition négative de dieu:
« Plus absolu que la vérité est le concept qui rejette les deux opposés aussi bien disjonctivement que conjonctivement. A la question 'si dieu existe', on ne pourra donc pas répondre autrement qu'en répétant à l'infini qu'il est ni existant ni non existant et aussi qu'il est à la fois existant et non-existant. Ceci est la réponse la plus élevée, la plus simple, la plus absolue et la plus appropriée à toute question concernant cet Être Premier, très simple et ineffable. »
Le mythe d’un dieu anthropomorphe dont la volonté aurait créé le monde et le dirigerait hante aussi les théories scientifiques. C’est au prêtre catholique et physicien belge Lemaître qu’on doit l’interprétation du redshift cosmique de Hubble comme conséquence de l’expansion de l’univers suite à une hypothétique explosion à partir de rien: le Big bang. Et Laplace imaginait une intelligence connaissant toutes les causes et forces de la nature, surnommée "Démon de Laplace", nécessaire pour expliquer les aspects aléatoires et créatifs de la nature qui échappent au raisonnement mathématique.
La version thomiste, généralisée, de la logique aristotélicienne était une imposture de la scolastique. Reprise par la science, cette logique a favorisé les recherches empiriques, mais elle est insuffisante et elle est à l’origine de l’insuffisance des hypothèses épistémologique et des méthodes qu’ont conçues les "Lumières" du XVIIIe siècle. La méthode analytique, le réductionnisme matérialiste et le déterminisme mathématique postulent que le tout n’est rien d’autre que la somme des parties ; ils excluaient que le tout puisse avoir des propriétés émergentes non réductibles à celles des parties. Ces postulats épistémologiques insuffisants, conséquences d’une logique insuffisante, ont permis, par la simplification des problèmes complexes, de développer des applications technologiques. Mais la science se heurte à des impasses dans la compréhension des systèmes naturels complexes.
Contrairement à ce qu’on affirme et qu’on croit, la science ne se renouvelle pas, elle augmente indéfiniment ses connaissances grâce à de nouvelles techniques d’investigation, mais elle reste bloquée par ses principes matérialiste, réductionniste et déterministe. Il faut cependant distinguer la science officielle et celle de la recherche libre.
La science officielle est celle qui décide de la validité des théories par consensus des comités de spécialistes et ce consensus guide les comités de lecture des grands journaux anglo-saxons.
La science libre est celle de chercheurs indépendants passionnés qui ne sont pas liés aux conventions académiques et qui publient des solutions alternatives à leurs propres frais sur internet.
La politique de conformité scientifique de la "communauté scientifique internationale" ne s’est instituée qu’avec l’occupation de l’Europe occidentale par les Américains. Avant la deuxième guerre mondiale, les divergences et les débats animés des physiciens étaient normaux et Albert Einstein pouvait publier son plagiat de la théorie de la relativité sans aucune référence aux travaux antérieurs de Poincaré et Lorentz. Après 1945 toute théorie alternative, même expérimentalement étayée est écartée si elle contredit les théories ou dogmes reconnu. En effet, la science est censée progresser selon Karl Popper en corrigeant et précisant des connaissances antérieures. Toute remise en question des fondements épistémologiques des grandes théories est exclue selon cette doctrine. Le monde de la physique du vingtième siècle est resté matériel, composé d’atomes et de particules, (d’autant plus depuis que le génial Einstein a transformé la lumière en une mitraille de photons). A l’inverse, toutes les théories alternatives qui contestent la relativité, la cosmologie de l’expansion de l’univers et l’évolution biologique convergent vers des conceptions électromagnétiques et ondulatoires. Les innovateurs sont ignorés ou exclus des institutions académiques. Ils doivent émigrer. Ainsi le célèbre Luc Montagnier a pu bénéficier de l’hospitalité de la Chine pour poursuivre sa recherche sur la nature électromagnétique de l’ADN et Jean-Pierre Petit a pu développer en Russie sa magnétohydrodynamique qui a permis la réalisation de vitesses hypersoniques.
(Plus de précisions se trouvent dans le sujet Erreurs, impostures et mensonges scientifiques)
Dès le début du vingtième siècle, des mathématiciens et logiciens tels que Bertrand Russell ont considéré les mathématiques comme le pouvoir qui dirige le monde. Après la relativité d’Einstein, les mathématiques, autrefois l’instrument au service de la physique expérimentale, sont devenues maîtres de la physique théorique et au vingtième siècle postmoderne les simulations informatiques et l’IA remplacent l’observation et l’expérimentation et créent la réalité. En parallèle aux mathématiques et à l’informatique les philosophies postmodernes "déconstruisent" l’objectivité et soutiennent que la réalité est ce qu’on perçoit et ce qu’on croit.
La confiscation anglo-saxonne de la science a conduit dès la fin du vingtième siècle à la soumission de la science aux intérêts d’un amalgame de corporations financières et technologiques privées. Ce sont eux qui dirigent les projets scientifiques, qui ont fait simuler un réchauffement climatique et une pandémie et qui font injecter à tout le monde (sauf aux initiés) un produit expérimental à la fois eugéniste et technologique mais appelé vaccin, non pas pour protéger les gens, mais pour les contrôler, diminuer leur fertilité et produire une dépopulation.
La manipulation perverse des sciences et de l’information a gravement atteint la cohésion sociale.
La psychologie fondée sur le mythe de l’égalité des individus à la naissance et sur la causalité déterministe de la cybernétique des conférences de Palo Alto, attribue tout comportement anormal à l’éducation familiale et accuse les pauvres parents d’être responsables des troubles psychologiques de leurs enfants, oubliant qu’à l’adolescence, la rue et les médias se substituent à l’éducation familiale traditionnelle et la détruisent. L’exemple le plus choquant de la dégénérescence de la psychologie et des droits individuels est la nouvelle théorie du genre qui donne le droit aux enfants de choisir leur sexe.
La morale traditionnelle est ridiculisée, la pédagogie scolaire est adaptée au relativisme ambiant, le savoir remplace la réflexion et la culture générale, les vidéos remplacent la lecture, les échecs scolaires et l’analphabétisme augmentent.
L’individualisme, la non-discrimination, les droits de l’homme, de la femme, de l’enfant deviennent prioritaires et favorisent les plus égoïstes et les plus vicieux. La justice fait passer l’intérêt individuel avant l’intérêt collectif ; le droit s’effondre.
La superpuissance anglo-américaine conçoit les rapports géopolitiques selon sa logique radicale du jeu à somme nulle de Hobbes où les gains d’un partenaire sont équivalents aux pertes de l’autre et où il n’y a pas de tiers inclus, pas d’alternative entre la victoire et la défaite. C’est pourquoi le président Bush menaçait avant sa destruction de l’Irak: « ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous » ; c’est ainsi aussi que les États-Unis ont refusé le projet de traité de sécurité de Poutine inquiet de l’avancée de l’Otan aux frontières de la Russie et l’ont poussé à la guerre contre l’Ukraine qui, avec la complicité de l’Allemagne et de la France, n’a jamais respecté les traités de Minsk.
La logique de non-contradiction et du tiers exclu, valable selon Aristote pour la seule connaissance sensorielle, a été abusivement étendue aux doctrines ecclésiastique pour soutenir le pouvoir temporel du Pape. Radicalisée à présent sous sa forme hobbesienne du jeu, cette logique justifie l’égoïsme et la suprématie impériale des élites financières contre les peuples au niveau mondial. Leur politique a divisé les familles et réduit la société en individualités impuissantes, elle a perverti la morale et la science, manipulé les informations et, par la guerre permanente, elle abolit la souveraineté des nations et leurs frontières pour que rien ne s’oppose à leur pouvoir prédateur.
***
Les absurdités de la postmodernité sont spécifiques à la civilisation occidentale. Elles sont la conséquence ultime et finale de la perversion de la pensée naturelle, celle de la complémentarité et des accords équitables dans l’intérêt commun. La logique pervertie de division et d’exclusion est à l’origine de la dégénérescence morale et culturelle qui annonce la fin de la civilisation héritière de Rome et de l’empire romain d’Occident.
Mais quand une étoile disparaît au Couchant d’autres étoiles apparaissent au Levant. L’avenir réside dans les traditions orientales, celles de la Russie (la troisième Rome), de la Chine et de l’Inde qui forment le noyau de la multipolarité des nations souveraines.
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