Erreurs impostures et mensonges scientifiques.
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Erreurs impostures et mensonges scientifiques.
La Science est devenue la religion de notre époque. A la place de l’Église, elle fournit au peuple ignorant ses vérités qu’il faut croire sans réfléchir. Ce n’est pourtant pas ainsi que le chercheur scientifique conçoit la science. “Douter de tout ou tout croire sont deux solutions également commodes, qui l’une et l’autre nous dispensent de réfléchir.” a écrit Henri Poincaré et “Rien n'est plus dangereux que la certitude d'avoir raison.” avertissait François Jacob.
Selon Descartes, le doute est à l’origine de toute recherche et la réflexion doit être guidée non pas seulement par le savoir acquis, mais par les évidences de l’observation et par le Bon Sens, une compréhension intuitive de la nature que Descartes considérait comme innée et commune à tous les hommes.
Pourtant la communauté scientifique a opposé des limites à la liberté de douter par des doctrines sous forme des "théories reconnues" par "consensus scientifique" et protégées par la censure des publications scientifiques par la "revue de pairs" (peer reviews).
D’autre part la privatisation des services publics a soumis la recherche au financement par des corporations privées qui exigent en retour des applications utiles.
Les recherches fondamentales ont été négligées, les théories principales n’ont pas changé et sont restées incompatibles entre elles, leur unification ne s’est pas réalisée, les progrès ne concernent que leurs applications.
La Science est devenue Technologie avant de devenir un instrument de la Politique et de ses mensonges.
Cependant la stagnation doctrinaire de la Communauté Scientifique n’arrête pas la pensée de nombreux chercheurs motivés qui, avec des moyens modestes mais par leur intuition géniale, proposent des solutions alternatives qui tendent vers une compréhension unifiée de la nature; et ceci en dépit des qualificatifs de pseudoscience ou de charlatanisme qui leur sont attribués.
(à suivre)
Les erreurs des théories fondamentales et les solutions alternatives
Les principales théories scientifiques actuelles ont toutes été remises en question ou réfutées par d’illustres chercheurs du vingtième siècle. Elles ne sont pas fausses mais en général simplificatrices, incomplètes, et par conséquent incompatibles entre elles. C’est le consensus scientifique resté fondé sur des principes remontant aux Lumières qui empêche l’évolution et le progrès scientifique.
La théorie de l’évolution néodarwinienne est fondée sur les mutations et la sélection par éliminations, toutes deux à effet délétère. Cette "loi du plus fort" une fois adoptée par l’élite scientifique de la Royal Society britannique a fait rejeter l’hypothèse du Français Jean-Baptiste de Lamarck, fondateur de la biologie, qui expliquait la complexification progressive des organismes vivants par des mécanismes physico-chimiques naturels.
L’hypothèse de Lamarck a reçu une confirmation par la démonstration thermodynamique de l’auto-organisation des structures dissipatives d’Ilya Prigogine, (prix Nobel 1977). Mais l’auto-organisation reste ignorée et rejetée par Wikipédia sous le prétexte téléologique "que les phénomènes biologiques ne pourraient pas exister sans une cause finale."
La théorie de la relativité de l’espace-temps est une interprétation par Einstein des travaux de Henri Poincaré ; c’est un plagiat et une imposture. Elle fut acceptée grâce à ses amis nationalistes allemands puis sionistes américains, malgré sa confusion logique et mathématique, mais parce qu’elle permit de sortir du paradoxe embarrassant de l’échec de l’expérience de Michelson tout en conservant le rôle de la matière sous forme de masse, comme principe d’existence de l’univers.
Cependant l’hypothèse inverse de H. A. Lorentz (prix Nobel 1902), la contraction des dimensions de la matière en fonction de la vitesse qui respecte les référentiels classiques d’espace et de temps, a été définitivement prouvée par la géométrie d’ondes et les expériences de Yuri Ivanov publiées dans Rhythmodynamics depuis 2007. (v. résumé)
La mécanique quantique a été influencée par la thèse de Louis de Broglie (prix Nobel 1929) qui reconnaissait le fonctionnement ondulatoire de l’électron. Mais en adoptant le modèle hybride de particule-onde, la communauté scientifique n’a pas suivi complètement son idée d’une mécanique ondulatoire fondamentale et universelle. L’interprétation consensuelle conserve le rôle ontologique de la matière sous forme de particules, même si leur existence n’excède pas les fractions de secondes.
Les disciples de la mécanique ondulatoire, Milo Wolff, Geoff Haselhurst et d'autres, se référant à d’illustres physiciens, interprètent les particules comme des phénomènes de résonance sur le modèle d'ondes stationnaires sphériques.
La cosmologie d'expansion de l'univers est une conséquence de la découverte par Hubble du redshift, du décalage vers le rouge du spectre lumineux des étoiles, et de son interprétation par l'effet Doppler que l'on doit au prêtre catholique et physicien belge Lemaître. Son hypothése suppose une vitesse d'éloignement des étoiles après une explosion créatrice à partir de rien. C'est sur la base des redshifts les plus élevés, ceux des quasars supposés être les premières étoiles apparues après le Big bang, que la vitesse d'expansion, la dimension et l'âge de l'Univers ont été calculés.
Or; le décalage spectral mesuré peut avoir plusieurs causes conjuguées:
1 - L'effet Doppler dépend de la vitesse de l'objet par rapport à l'observateur. Le spectre est décalé vers le rouge si l'objet s'éloignent mais vers le bleu s'il se rapproche, ce qui est le cas de d'Andromède la galaxie la plus proche de la Terre qui ne participerait donc pas à l'expansion universelle.
2 – Contrairement à ce que le consensus scientifique prétend, Edwin Hubble n'a pas découvert l'expansion de l'univers, il a découvert le redshift qu'il attribuait à la distance et non pas à la vitesse d'éloignement. Cela semble évident puisque l'intensité ou énergie de la lumière, qui diminue en fonction du carré de la distance, est fonction aussi bien de la fréquence que de l'amplitude. (référence)
3 – L'astronome Halton Arp qui a observé que les quasars à haut degré de redshift se situent devant une galaxie à bas redshift et sont reliés à elle par un lien plasmatique. Il a nommé "intrinsèque" ce redshift émis par ces étoiles jeunes aux conditions énergétiques internes extrêmes. Cette réfutation du Big bang annule aussi les calculs d'âge et de dimension de l'univers. Mais sa découverte a valu à Halton d'être censuré et interdit d'accès au télescope.
La théorie de la gravitation de Newton et la relativité générale (qui n'en est qu'une nouvelle formulation) reposent sur la gravité comprise comme "interaction physique responsable de l'attraction des corps massifs". Les théories de l'astronomie sont toutes fondées sur cette propriété de la matière.
La théorie de l'Univers Électrique soutenue par un groupe d'astrophysiciens et physiciens du plasma, interprète les phénomènes astronomiques par les propriétés électromagnétiques du plasma et conteste le Big bang sur la base des découvertes de Halton Arp et dénonce la matière noire et des trous noirs comme des hypothèses mathématiques ad hoc fabriquées pour combler les failles de la gravitation. En effet, celle-ci ne fonctionne que dans les limites du système planétaire et serait elle-même réductible aux forces électromagnétiiques
Conclusion
Alors que selon Popper, les réfutations devraient être les moteurs faisant progresser la science, l'autorité scientifique, réduite à une minorité invétérée de spécialistes universitaires, rejette ou ignore les observations ou interprétations incompatibles avec les théories reconnues, même si elles proviennent de chercheurs illustres.
La raison en est que l'enseignement universitaire reste attaché aux principes étroits des conditions de l'expérimentation qui ont conduit à la révolution scientifique des "Lumières".
Le principe logique de non-contradiction et du tiers exclu qui fait rejeter toute alternative, une fois qu'une théorie est établie comme vraie.
Le principe ontologique attribué à la matière, qui reste la base de toute théorie scientifique, y compris la mécanique quantique et de la relativité.
Le principe épistémologique de la causalité mécanique et du déterminisme mathématique.
Le principe téléologique d'une cause finale divine justifiant la création, le big bang et le déterminisme.
Le véritable progrès scientifique n'est plus réalisé dans les université mais par des chercheurs indépendants dont les thèses se réfèrent à des physiciens réputés du vingtième siècle et aussi à des scientifiques oubliés du dix-neuvième siècle. Ils publient leurs hypothèses sur leurs sites personnels ou dans des éditions ouvertes et libres de censure. Malgré les divergences, leurs conceptions convergent vers une unification des théories centrée sur l'électromagnétisme ou la mécanique ondulatoire.
La science a besoin surtout d'une nouvelle philosophie, d'une théorie Intégrante, systémique, décrivant le monde par le devenir au lieu de l'être et par les relations plutôt que par la matière, pour comprendre la nature libre que Ilya Prigogine décrite dans "La fin des certitudes" comme fondamentalement chaotique, dont les mouvements, relations et communications sont de nature vibratoire et dont les parties s'auto-organisent mutuellement par résonances harmoniques.
(à suivre)
Fraudes scientifiques au service du mondialisme financier
La dégénérescence intellectuelle postmoderne
Le vingt-et-unième siècle est l’ère de la post-vérité définie par le dictionnaire d’Oxford comme « ce qui fait référence à des circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d'influence pour modeler l'opinion publique que les appels à l'émotion et aux opinions personnelles. »
Utilisé principalement par la politique et les médias, la post-vérité a affecté aussi la pensée en philosophie et en science. En philosophie, l'idée que le réel est ce qui est perçu a été avancée par l’anglo-irlandais George Berkeley (esse est percipi aut percipere) et soutenue par Emmanuel Kant et les idéalistes allemands auxquels se réfèrent les philosophes postmodernes français du déconstructionnisme, justifiant le libéralisme postmoderne social et éthique mais aussi le néolibéralisme capitaliste.
En science, la relativisation de l'objectivité a été introduite déjà avec la théorie de la relativité d'Einstein. Sa relativisation de l’espace-temps a libéré les mathématiques de l’objectivité géométrique. Enfin, les développements et la diffusion des technologies de l'information, les simulations par ordinateur et l'Intelligence Artificielle (IA), en créant des mondes virtuels, ont en définitive fait perdre le sens de la réalité.
Le relativisme, en dénaturant la science dans ce qui constitue son essence, la recherche de la vérité objective par l'observation, a favorisé l’idéologie du scientisme et sa croyance que tout devient possible et que tout ce qui est possible doit être réalisé.
Le scientisme au service du totalitarisme
La fin justifiant les moyens, l’État profond, une cabale de banquiers et de technocrates milliardaires exerçant déjà le contrôle sur la politique et les principaux médias d’information, a utilisé aussi la science pour imposer sa stratégie avec la théorie du réchauffement climatique d’origine humaine et la pandémie du coronavirus.
La théorie du « réchauffement climatique d’origine humaine » soutenue par l’ONU et son choix d’experts du GIEC repose sur la légende dépassée de l’origine fossile du pétrole et l’hypothèse jamais prouvée de l’effet de serre du CO2. Elle prévoit que l’humanité est menacée par un changement climatique catastrophique et une pénurie d’énergie, le « pic pétrolier », dus à l’utilisation d’énergies d’origine fossile
Tout est mensonge dans cette théorie qui est littéralement tirée du vent parce qu’elle ne reconnaît que les données atmosphériques de la météorologie et ignore délibérément les découvertes de la géologie qui la réfutent et qui attribuent les variations climatiques aux cycles d’activité solaire. L’origine du pétrole n'est pas fossile mais abiotique. Le pétrole est formé continuellement dans la croûte terrestre par polymérisation du méthane d’origine magmatique ; la source des hydrocarrbures est pratiquement inépuisable. Le CO2 est aussi d’origine magmatique, produit principalement par le volcanisme sous-marin. Sa concentration atmosphérique est en équilibre physique avec celle de l’océan et dépend de la température de l’eau. La concentration atmosphérique actuelle de cet élément vital pour la végétation est très faible, à la limite de la carence, par rapport à celles des ères géologiques précédentes et elle n’a pratiquement aucun effet de serre. La politique de l’ONU derrière cette théorie et le Green Deal est une sombre histoire qui ne concerne pas la sécurité mais les intérêts hégémoniques des banques et des magnats du pétrole.
Le pic pétrolier et la fonte des pôles prévus ne se produisant pas et la politique du Green Deal ne suffisant pas pour sortir de la crise financière, l’État profond pressé par les dettes, a eu recours précipitamment à un projet imaginé depuis longtemps comme le révèlent les propos cyniques d’un initié trop bavard. Il s’agit d’une pandémie testée en juillet 2019 sur ordinateurs, puis annoncée six mois plus tard au Forum Économique Mondial (FEM) de Davos alors qu’ à Wuhan un virus génétiquement modifié, échappé providentiellement d’un laboratoire chinois géré par des occidentaux, se propage déjà pendant les jeux militaires internationaux.
Comme pour le réchauffement climatique, l’ONU, l’OMS et la propagande médiatique ont été mobilisées pour dramatiser en catastrophe mondiale cette épidémie relativement bénigne qui ne menaçait que les personnes âgées déjà condamnées par des pathologies préexistantes et qui ne méritait donc pas le nom de pandémie. Les statistiques ont été truquées au moyen d’un test PCR non fiable produisant surtout des faux « cas positifs » de personnes saines et en classant toute mort estimée suspecte comme causée par le virus.
La vraie catastrophe na pas été causée par le virus mais par les lois d’urgence sanitaire, par le verrouillage planifié de la vie économique et sociale et par les directives médicales ordonnées par l’OMS. Celles-ci ont fait plus de morts que le virus, d’une part par manque de soins suite à l’interdiction faite aux médecins d’appliquer aux infectés des traitements efficaces et de recevoir en consultations des patients chroniques , d’autre part à cause des traitements inadéquats dans les services de soins intensifs, sans parler des suicides de personnes ruinées.
Cependant le plus grand danger réside dans les vaccins à ARNm qui ont été autorisés sans même avoir été testés sur l’animal et qui par leur nature sont une thérapie génique. La vaccination par ce nouveau type de vaccin est une expérimentation d’ingénierie génique sur des personnes humaines non informées. C’est un crime contre l’humanité.
Les témoignages et statistiques s’accumulent confirmant que ces vaccins causent de nombreux morts et d’innombrables « effets secondaires » par atteinte encore mal comprise des systèmes vasculaires, immunitaires et nerveux. Il manque le recul, mais selon des virologues et spécialistes de vaccinations, le pire est à venir.
Le projet diabolique inavoué derrière la pandémie fabriquée et les lois d’urgence sanitaire a été révélé par l’annonce faite au FEM 2021 d’une Grande Réinitialisation La quatrième révolution industrielle des technologies numériques et de l’IA réduit les besoins en personnel appelé « ressource humaine ». La solution qui a été choisie au problème du chômage consécutif est la dépopulation attribuée à une pandémie.
La stupidité du coup d’État mondialiste
Le coup d’État mondialiste est stupide à tout point de vue .
La fiction, les falsifications et le mensonge n’arrangent rien. L’excès de la propagande mensongère et calomnieuse est contreproductif ; il décrédibilise les médias embrigadés. Le qualificatif de complotisme attribué par les journalistes collabo aux résistants perd son sens avilissant au fur et a mesure que la répression et la censure rendent le complot évident.
La dépopulation par la thérapie génique appelée vaccination éliminera surtout les plus conformistes, les idiots utiles au système totalitaire, et ne touchera pas les résistants qui savent s’informer aux bonnes sources et refusent le vaccin.
La destruction des PME qui constituent la base réelle, constructive et productive de l’économie, ne profitera pas longtemps aux corporations multinationales et financières qui n’en sont que des parasites.
L’échec du marxisme a déjà montré que la planification centralisée ne fonctionne pas. La Grande Réinitialisation conduit à l’autodestruction du néolibéralisme qui réduira l’Occident atlantiste au stade des pays en voie de développement, loin derrière les puissances de la Communauté Économique Eurasienne. En effet, l’Initiative chinoise « une ceinture et une route »
reconstruit un monde multipolaire de nations souveraines sur le mode de l’auto-organisation. Elle reconfinera les anglophones belliqueux sur leurs îles.
(conclusions méthodologiques et logiques à suivre)
Le vingt-et-unième siècle est l’ère de la post-vérité définie par le dictionnaire d’Oxford comme « ce qui fait référence à des circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d'influence pour modeler l'opinion publique que les appels à l'émotion et aux opinions personnelles. »
Utilisé principalement par la politique et les médias, la post-vérité a affecté aussi la pensée en philosophie et en science. En philosophie, l'idée que le réel est ce qui est perçu a été avancée par l’anglo-irlandais George Berkeley (esse est percipi aut percipere) et soutenue par Emmanuel Kant et les idéalistes allemands auxquels se réfèrent les philosophes postmodernes français du déconstructionnisme, justifiant le libéralisme postmoderne social et éthique mais aussi le néolibéralisme capitaliste.
En science, la relativisation de l'objectivité a été introduite déjà avec la théorie de la relativité d'Einstein. Sa relativisation de l’espace-temps a libéré les mathématiques de l’objectivité géométrique. Enfin, les développements et la diffusion des technologies de l'information, les simulations par ordinateur et l'Intelligence Artificielle (IA), en créant des mondes virtuels, ont en définitive fait perdre le sens de la réalité.
Le relativisme, en dénaturant la science dans ce qui constitue son essence, la recherche de la vérité objective par l'observation, a favorisé l’idéologie du scientisme et sa croyance que tout devient possible et que tout ce qui est possible doit être réalisé.
Le scientisme au service du totalitarisme
La fin justifiant les moyens, l’État profond, une cabale de banquiers et de technocrates milliardaires exerçant déjà le contrôle sur la politique et les principaux médias d’information, a utilisé aussi la science pour imposer sa stratégie avec la théorie du réchauffement climatique d’origine humaine et la pandémie du coronavirus.
La théorie du « réchauffement climatique d’origine humaine » soutenue par l’ONU et son choix d’experts du GIEC repose sur la légende dépassée de l’origine fossile du pétrole et l’hypothèse jamais prouvée de l’effet de serre du CO2. Elle prévoit que l’humanité est menacée par un changement climatique catastrophique et une pénurie d’énergie, le « pic pétrolier », dus à l’utilisation d’énergies d’origine fossile
Tout est mensonge dans cette théorie qui est littéralement tirée du vent parce qu’elle ne reconnaît que les données atmosphériques de la météorologie et ignore délibérément les découvertes de la géologie qui la réfutent et qui attribuent les variations climatiques aux cycles d’activité solaire. L’origine du pétrole n'est pas fossile mais abiotique. Le pétrole est formé continuellement dans la croûte terrestre par polymérisation du méthane d’origine magmatique ; la source des hydrocarrbures est pratiquement inépuisable. Le CO2 est aussi d’origine magmatique, produit principalement par le volcanisme sous-marin. Sa concentration atmosphérique est en équilibre physique avec celle de l’océan et dépend de la température de l’eau. La concentration atmosphérique actuelle de cet élément vital pour la végétation est très faible, à la limite de la carence, par rapport à celles des ères géologiques précédentes et elle n’a pratiquement aucun effet de serre. La politique de l’ONU derrière cette théorie et le Green Deal est une sombre histoire qui ne concerne pas la sécurité mais les intérêts hégémoniques des banques et des magnats du pétrole.
Le pic pétrolier et la fonte des pôles prévus ne se produisant pas et la politique du Green Deal ne suffisant pas pour sortir de la crise financière, l’État profond pressé par les dettes, a eu recours précipitamment à un projet imaginé depuis longtemps comme le révèlent les propos cyniques d’un initié trop bavard. Il s’agit d’une pandémie testée en juillet 2019 sur ordinateurs, puis annoncée six mois plus tard au Forum Économique Mondial (FEM) de Davos alors qu’ à Wuhan un virus génétiquement modifié, échappé providentiellement d’un laboratoire chinois géré par des occidentaux, se propage déjà pendant les jeux militaires internationaux.
Comme pour le réchauffement climatique, l’ONU, l’OMS et la propagande médiatique ont été mobilisées pour dramatiser en catastrophe mondiale cette épidémie relativement bénigne qui ne menaçait que les personnes âgées déjà condamnées par des pathologies préexistantes et qui ne méritait donc pas le nom de pandémie. Les statistiques ont été truquées au moyen d’un test PCR non fiable produisant surtout des faux « cas positifs » de personnes saines et en classant toute mort estimée suspecte comme causée par le virus.
La vraie catastrophe na pas été causée par le virus mais par les lois d’urgence sanitaire, par le verrouillage planifié de la vie économique et sociale et par les directives médicales ordonnées par l’OMS. Celles-ci ont fait plus de morts que le virus, d’une part par manque de soins suite à l’interdiction faite aux médecins d’appliquer aux infectés des traitements efficaces et de recevoir en consultations des patients chroniques , d’autre part à cause des traitements inadéquats dans les services de soins intensifs, sans parler des suicides de personnes ruinées.
Cependant le plus grand danger réside dans les vaccins à ARNm qui ont été autorisés sans même avoir été testés sur l’animal et qui par leur nature sont une thérapie génique. La vaccination par ce nouveau type de vaccin est une expérimentation d’ingénierie génique sur des personnes humaines non informées. C’est un crime contre l’humanité.
Les témoignages et statistiques s’accumulent confirmant que ces vaccins causent de nombreux morts et d’innombrables « effets secondaires » par atteinte encore mal comprise des systèmes vasculaires, immunitaires et nerveux. Il manque le recul, mais selon des virologues et spécialistes de vaccinations, le pire est à venir.
Le projet diabolique inavoué derrière la pandémie fabriquée et les lois d’urgence sanitaire a été révélé par l’annonce faite au FEM 2021 d’une Grande Réinitialisation La quatrième révolution industrielle des technologies numériques et de l’IA réduit les besoins en personnel appelé « ressource humaine ». La solution qui a été choisie au problème du chômage consécutif est la dépopulation attribuée à une pandémie.
La stupidité du coup d’État mondialiste
Le coup d’État mondialiste est stupide à tout point de vue .
La fiction, les falsifications et le mensonge n’arrangent rien. L’excès de la propagande mensongère et calomnieuse est contreproductif ; il décrédibilise les médias embrigadés. Le qualificatif de complotisme attribué par les journalistes collabo aux résistants perd son sens avilissant au fur et a mesure que la répression et la censure rendent le complot évident.
La dépopulation par la thérapie génique appelée vaccination éliminera surtout les plus conformistes, les idiots utiles au système totalitaire, et ne touchera pas les résistants qui savent s’informer aux bonnes sources et refusent le vaccin.
La destruction des PME qui constituent la base réelle, constructive et productive de l’économie, ne profitera pas longtemps aux corporations multinationales et financières qui n’en sont que des parasites.
L’échec du marxisme a déjà montré que la planification centralisée ne fonctionne pas. La Grande Réinitialisation conduit à l’autodestruction du néolibéralisme qui réduira l’Occident atlantiste au stade des pays en voie de développement, loin derrière les puissances de la Communauté Économique Eurasienne. En effet, l’Initiative chinoise « une ceinture et une route »
reconstruit un monde multipolaire de nations souveraines sur le mode de l’auto-organisation. Elle reconfinera les anglophones belliqueux sur leurs îles.
(conclusions méthodologiques et logiques à suivre)
Perfidie politique et incohérence logique du scientisme
Un projet scientiste machiavélique et eugéniste
Pour réaliser la mondialisation l’État profond, a eu recours à la méthode des tyrans de toute époque, celle proposée au Prince par Machiavel et que Göring a utilisée pour la dictature nazi d’Hitler : Répandre la peur d’un danger imaginaire pour faire accepter au peuple des lois liberticides.
La théorie du réchauffement d’origine humaine et le Green Deal sont une fraude au niveau mondial. Par contre, la pandémie du coronavirus génétiquement modifié et le vaccin qui est une thérapie génique sont un projet eugéniste dont le but est la dépopulation par maladies, mort ou stérilité. C’est un crime contre l’humanité. Quant à la Grande Réinitialisation économique mondiale, c’ est la promesse du Nouvel Ordre Mondial, une promesse messianique (et satanique) de sauvetage de l’humanité grâce à l’intelligence artificielle: le transhumanisme.
Dans une série d’articles, Matthew Ehret retrace l’histoire du mondialisme et de son contexte idéologique, l’eugénisme, qui est né du rêve obsessif de dépopulation de Thomas Malthus et de l’interprétation par Darwin de l’évolution comme une sélection des plus performants. Ces idées eugénistes satisfaisaient les aspirations impériales de l’aristocratie britannique de la fin du dix-neuvième siècle. Elles ont été promues surtout par Thomas Huxley surnommé "dogue de Darwin". Aldous Huxley, son petit-fils, créa l’idée du Nouvel Ordre Mondial par son roman dystopique Brave New World (Merveilleux Nouveau Monde). Julian Huxley, frère d’Aldous, a introduit le projet mondialiste aux Nations Unie avec la création de l’Unesco. Il a proposé expressément l’eugénisme dans son discours d’inauguration :
« ... il serait important que l’UNESCO veille à ce que le problème de l’eugénisme soit examiné avec le plus grand soin et que l’opinion publique soit informée des questions en jeu, afin que ce qui est aujourd’hui impensable puisse au moins devenir pensable. »
Cependant, l’État profond mené par le cartel bancaire des Rothschild qui était associé dés son origine à ces idéologies, ne pouvait pas attendre que l’eugénisme devienne acceptable. Il fallait sauver d’urgence le système financier menacé de faillite, avec l’aide des nouvelles technologies.
Ehret éclaire « Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme » grâce auxquels l’impensable est devenu pensable. Dans l’esprit rétréci de logiciens psychopathes tels que David Hilbert et Charles Russell, l’univers est un système fermé, régi par le déterminisme mathématique. Pour eux, la diversité naturelle, la liberté et la souveraineté étaient des défauts d’organisation à éliminer. Ils rêvaient d’un monde mathématiquement prévisible par le contrôle total de l’économie et d’une population réduite au strict nécessaire pour l’industrie et l’économie robotisées.
C’est cette utopie que la la Grande Réinitialisation du FEM promet de réaliser : un capitalisme réformé sur le modèle d’un marxisme débarrassé de toute entrave "populiste", où les acteurs humains contrôlés et assistés par intelligence artificielle, sans libre choix, seraient pauvres mais heureux. C’est une utopie absurde, mais comme le remarquait Voltaire :
" Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités."
En effet, l’incroyable complicité des gouvernants et experts opportunistes qui ont suivi sans réfléchir les directives de l’OMS et le conformisme incroyable du public décérébré par la propagande médiatique ont déjà ruiné l’économie. L’intention de décimer la population pour transférer son épargne vers la fortune de l’élite est à peine déguisée. Il faut que tout change afin que rien ne change pour l’élite de la ploutocratie.
Les conséquences lointaines de cette entreprise d’autodestruction sont impossibles à évaluer à l’heure actuelle. Mais ce qui est sûr c’est qu’un retour à la normalité antérieure est devenu impossible. Quelle que soit l’organisation mondiale du futur - capitaliste ou socialiste, atlantiste ou eurasienne - qui émergera du chaos organisé et du conflit de l’Occident contre l’Orient, l’ère des libertés individuelles et du consumérisme sans entrave est terminée. Après une transition catastrophique et tragique, les intérêts collectifs passeront avant les intérêts individuels.
Divergences culturelles entre Occident et Orient
Le conflit géopolitiques entre puissances atlantistes et eurasiennes a des origines culturelles et historiques profondes. Elles concernent l’organisation du monde et sa logique.
La Chine communiste a concilié le marxisme avec sa tradition confucéenne et taoïste qui considère l’univers comme un ensemble de relations cycliques selon la logique de complémentarité et d’alternance yin-yang. Elle conçoit l’organisation sociale et économique comme une coopération multilatérale d’Etats souverains réglée par des accords équitables "gagnant-gagnant" dans le respect des différences culturelles.
La pensée philosophique de la Russie est proche de celle de la Chine par l’héritage platonicien de l’orthodoxie. La Trinité implique une logique de complémentarité qui a sa source dans la mystique socratique exprimée dans Phédon (70d – 71b).
L’Église de Rome, héritière de l’Empire, s’est éloignée très tôt de la conception trinitaire originale du christianisme avec le dualisme éthique de l’exégèse augustinienne.(Mal originel / Bien salvateur). Le dualisme logique (Vrai / Faux) a suivi par l’interprétation thomiste abusive de la logique aristotélicienne. Le principe de non-contradiction qu'Aristote avait conçu pour distinguer les faits d’observation, a été abusivement généralisé par Thomas d’Aquin aux doctrines théologiques pour renforcer l’autorité de l’Église et pour justifier l’Inquisition. Le dualisme logique qui suppose des vérités absolues est une spécificité de l’Europe occidentale de tradition catholique et protestante. L’intolérance religieuse est responsable des massacres et génocides commis pendant les croisades, pendant les colonisations et pendant les guerres de religion entre protestants et catholiques.
Au Royaume Uni, le philosophe Thomas Hobbes a radicalisé le dualisme par la logique du jeu à somme nulle selon laquelle les gains d’un joueur sont équivalents aux pertes du partenaire. Appliquée au jeu de la géopolitique par l’Amérique, cette logique a déjà justifié la destruction de l’Afghanistan, de l’Irak, de la Libye et de la Syrie. La même politique est à l’œuvre avec la politique de mondialisation menée par l’État profond financier, cette fois contre les nations souveraines et contre toute communauté sociale, religieuse ou privée, y compris la famille.
Les failles logiques du mondialisme occidental
La Grande Réinitialisation est vouée à l’échec. Si elle n’est pas déjà sur le point d’échouer par la résistance admirable de bon nombre de journalistes, médecins et juristes indépendants ou par les divisions de l’élite , le mondialisme unipolaire échouera finalement par son incohérence logique et par son incapacité de rivaliser avec les performances du modèle l’organisation multipolaire proposé par la Russie et la Chine.
Le monde unipolaire contrôlé par la cybernétique et l’intelligence artificielle (IA) qu'ont imaginé les idéologues du scientisme est fondé sur le modèle déterministe de l’expérimentation en milieu fermé. Un tel système fermé, déterministe, obéit à la deuxième loi de la thermodynamique et dégénère progressivement en un état chaotique appelé
entropie. L’exemple de l’Union soviétique a montré comment la direction et programmation centralisée conduit à l’inertie bureaucratique et au déclin de l’économe ; c’est le cas aussi à présent dans l’Union européenne. L’expérience malheureuse du totalitarisme marxiste, soviétique ou maoïste réfutent le modèle d’organisation unipolaire.
La théorie néodarwinienne qui prétend expliquer l’évolution et justifier l’organisation unipolaire par la loi du plus fort n'y change rien; elle est incohérente. Les mutations et la sélection sont délétères, elles détruisent mais ne créent rien. Par contre, la découverte par Ilya Prigogine de l’auto-organisation des systèmes complexes appelés structures dissipatives, confirme la validité du modèle d’organisation multipolaire.
Aristote a fondé le principe de non-contradiction sur le postulat ontologique, pour distinguer les constituants et les propriétés observables par les sens. Il a créé la base logique de l’empirisme. Mais le syllogisme n’est utile qu’en politique pour confondre l’auditoire par des sophismes. Inappropriée en sciences humaines, cette logique ne sert qu’aux manipulations.
La logique aristotélicienne est propre à l’arithmétique et à la méthode analytique. Mais l’éclosion du progrès scientifique est due à l’algèbre venu d’Orient et transmis par Al Khwârizmî en même temps que le système décimal et le zéro. Les équations expriment des équivalence ; elles sont une formalisation de la complémentarité de points de vue opposés.
Sans logique de complémentarité et sans la pensée analogique qui guide l’intuition des chercheurs, il n’y aurait pas eu de progrès scientifique. Mais par sa concentration sur les formalismes mathématiques et les algorithmes, la science a perdu son sens : la compréhension de la nature observée. Comme le disait déjà Rabelais : "Science sans conscience n'est que ruine de l’âme". Le rêve scientiste absurde d’un transhumanisme dirigé par la cybernétique et l’IA est un cauchemar. C’est l’autodestruction d’une civilisation technologique qui a perdu la raison.
Ce ne sont pas les technologies qui sont en cause, mais les intentions de ceux qui les utilisent. C’est pourquoi seule la montée en puissance de l’Orient eurasien et l’Initiative « Ceinture et Routes » de la Chine laissent espérer un Retour au Bon Sens de Descartes.
La théorie du réchauffement d’origine humaine et le Green Deal sont une fraude au niveau mondial. Par contre, la pandémie du coronavirus génétiquement modifié et le vaccin qui est une thérapie génique sont un projet eugéniste dont le but est la dépopulation par maladies, mort ou stérilité. C’est un crime contre l’humanité. Quant à la Grande Réinitialisation économique mondiale, c’ est la promesse du Nouvel Ordre Mondial, une promesse messianique (et satanique) de sauvetage de l’humanité grâce à l’intelligence artificielle: le transhumanisme.
Dans une série d’articles, Matthew Ehret retrace l’histoire du mondialisme et de son contexte idéologique, l’eugénisme, qui est né du rêve obsessif de dépopulation de Thomas Malthus et de l’interprétation par Darwin de l’évolution comme une sélection des plus performants. Ces idées eugénistes satisfaisaient les aspirations impériales de l’aristocratie britannique de la fin du dix-neuvième siècle. Elles ont été promues surtout par Thomas Huxley surnommé "dogue de Darwin". Aldous Huxley, son petit-fils, créa l’idée du Nouvel Ordre Mondial par son roman dystopique Brave New World (Merveilleux Nouveau Monde). Julian Huxley, frère d’Aldous, a introduit le projet mondialiste aux Nations Unie avec la création de l’Unesco. Il a proposé expressément l’eugénisme dans son discours d’inauguration :
« ... il serait important que l’UNESCO veille à ce que le problème de l’eugénisme soit examiné avec le plus grand soin et que l’opinion publique soit informée des questions en jeu, afin que ce qui est aujourd’hui impensable puisse au moins devenir pensable. »
Cependant, l’État profond mené par le cartel bancaire des Rothschild qui était associé dés son origine à ces idéologies, ne pouvait pas attendre que l’eugénisme devienne acceptable. Il fallait sauver d’urgence le système financier menacé de faillite, avec l’aide des nouvelles technologies.
Ehret éclaire « Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme » grâce auxquels l’impensable est devenu pensable. Dans l’esprit rétréci de logiciens psychopathes tels que David Hilbert et Charles Russell, l’univers est un système fermé, régi par le déterminisme mathématique. Pour eux, la diversité naturelle, la liberté et la souveraineté étaient des défauts d’organisation à éliminer. Ils rêvaient d’un monde mathématiquement prévisible par le contrôle total de l’économie et d’une population réduite au strict nécessaire pour l’industrie et l’économie robotisées.
C’est cette utopie que la la Grande Réinitialisation du FEM promet de réaliser : un capitalisme réformé sur le modèle d’un marxisme débarrassé de toute entrave "populiste", où les acteurs humains contrôlés et assistés par intelligence artificielle, sans libre choix, seraient pauvres mais heureux. C’est une utopie absurde, mais comme le remarquait Voltaire :
" Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités."
En effet, l’incroyable complicité des gouvernants et experts opportunistes qui ont suivi sans réfléchir les directives de l’OMS et le conformisme incroyable du public décérébré par la propagande médiatique ont déjà ruiné l’économie. L’intention de décimer la population pour transférer son épargne vers la fortune de l’élite est à peine déguisée. Il faut que tout change afin que rien ne change pour l’élite de la ploutocratie.
Les conséquences lointaines de cette entreprise d’autodestruction sont impossibles à évaluer à l’heure actuelle. Mais ce qui est sûr c’est qu’un retour à la normalité antérieure est devenu impossible. Quelle que soit l’organisation mondiale du futur - capitaliste ou socialiste, atlantiste ou eurasienne - qui émergera du chaos organisé et du conflit de l’Occident contre l’Orient, l’ère des libertés individuelles et du consumérisme sans entrave est terminée. Après une transition catastrophique et tragique, les intérêts collectifs passeront avant les intérêts individuels.
Divergences culturelles entre Occident et Orient
Le conflit géopolitiques entre puissances atlantistes et eurasiennes a des origines culturelles et historiques profondes. Elles concernent l’organisation du monde et sa logique.
La Chine communiste a concilié le marxisme avec sa tradition confucéenne et taoïste qui considère l’univers comme un ensemble de relations cycliques selon la logique de complémentarité et d’alternance yin-yang. Elle conçoit l’organisation sociale et économique comme une coopération multilatérale d’Etats souverains réglée par des accords équitables "gagnant-gagnant" dans le respect des différences culturelles.
La pensée philosophique de la Russie est proche de celle de la Chine par l’héritage platonicien de l’orthodoxie. La Trinité implique une logique de complémentarité qui a sa source dans la mystique socratique exprimée dans Phédon (70d – 71b).
L’Église de Rome, héritière de l’Empire, s’est éloignée très tôt de la conception trinitaire originale du christianisme avec le dualisme éthique de l’exégèse augustinienne.(Mal originel / Bien salvateur). Le dualisme logique (Vrai / Faux) a suivi par l’interprétation thomiste abusive de la logique aristotélicienne. Le principe de non-contradiction qu'Aristote avait conçu pour distinguer les faits d’observation, a été abusivement généralisé par Thomas d’Aquin aux doctrines théologiques pour renforcer l’autorité de l’Église et pour justifier l’Inquisition. Le dualisme logique qui suppose des vérités absolues est une spécificité de l’Europe occidentale de tradition catholique et protestante. L’intolérance religieuse est responsable des massacres et génocides commis pendant les croisades, pendant les colonisations et pendant les guerres de religion entre protestants et catholiques.
Au Royaume Uni, le philosophe Thomas Hobbes a radicalisé le dualisme par la logique du jeu à somme nulle selon laquelle les gains d’un joueur sont équivalents aux pertes du partenaire. Appliquée au jeu de la géopolitique par l’Amérique, cette logique a déjà justifié la destruction de l’Afghanistan, de l’Irak, de la Libye et de la Syrie. La même politique est à l’œuvre avec la politique de mondialisation menée par l’État profond financier, cette fois contre les nations souveraines et contre toute communauté sociale, religieuse ou privée, y compris la famille.
Les failles logiques du mondialisme occidental
La Grande Réinitialisation est vouée à l’échec. Si elle n’est pas déjà sur le point d’échouer par la résistance admirable de bon nombre de journalistes, médecins et juristes indépendants ou par les divisions de l’élite , le mondialisme unipolaire échouera finalement par son incohérence logique et par son incapacité de rivaliser avec les performances du modèle l’organisation multipolaire proposé par la Russie et la Chine.
Le monde unipolaire contrôlé par la cybernétique et l’intelligence artificielle (IA) qu'ont imaginé les idéologues du scientisme est fondé sur le modèle déterministe de l’expérimentation en milieu fermé. Un tel système fermé, déterministe, obéit à la deuxième loi de la thermodynamique et dégénère progressivement en un état chaotique appelé
entropie. L’exemple de l’Union soviétique a montré comment la direction et programmation centralisée conduit à l’inertie bureaucratique et au déclin de l’économe ; c’est le cas aussi à présent dans l’Union européenne. L’expérience malheureuse du totalitarisme marxiste, soviétique ou maoïste réfutent le modèle d’organisation unipolaire.
La théorie néodarwinienne qui prétend expliquer l’évolution et justifier l’organisation unipolaire par la loi du plus fort n'y change rien; elle est incohérente. Les mutations et la sélection sont délétères, elles détruisent mais ne créent rien. Par contre, la découverte par Ilya Prigogine de l’auto-organisation des systèmes complexes appelés structures dissipatives, confirme la validité du modèle d’organisation multipolaire.
Aristote a fondé le principe de non-contradiction sur le postulat ontologique, pour distinguer les constituants et les propriétés observables par les sens. Il a créé la base logique de l’empirisme. Mais le syllogisme n’est utile qu’en politique pour confondre l’auditoire par des sophismes. Inappropriée en sciences humaines, cette logique ne sert qu’aux manipulations.
La logique aristotélicienne est propre à l’arithmétique et à la méthode analytique. Mais l’éclosion du progrès scientifique est due à l’algèbre venu d’Orient et transmis par Al Khwârizmî en même temps que le système décimal et le zéro. Les équations expriment des équivalence ; elles sont une formalisation de la complémentarité de points de vue opposés.
Sans logique de complémentarité et sans la pensée analogique qui guide l’intuition des chercheurs, il n’y aurait pas eu de progrès scientifique. Mais par sa concentration sur les formalismes mathématiques et les algorithmes, la science a perdu son sens : la compréhension de la nature observée. Comme le disait déjà Rabelais : "Science sans conscience n'est que ruine de l’âme". Le rêve scientiste absurde d’un transhumanisme dirigé par la cybernétique et l’IA est un cauchemar. C’est l’autodestruction d’une civilisation technologique qui a perdu la raison.
Ce ne sont pas les technologies qui sont en cause, mais les intentions de ceux qui les utilisent. C’est pourquoi seule la montée en puissance de l’Orient eurasien et l’Initiative « Ceinture et Routes » de la Chine laissent espérer un Retour au Bon Sens de Descartes.
Re: Erreurs impostures et mensonges scientifiques.
Un article paru hier me rappelle à ce sujet:
"La stagnation de la science et la mort de la magie" (c'est à dire du sens)
https://reseauinternational.net/la-stagnation-de-la-science-et-la-mort-de-la-magie/
L'auteur constate le goût actuel immodéré pour la magie et la fiction et l'attribue à la recherche d'un sens à la vie et d'une compréhension du monde. La science nous offre beaucoup de théories et d' applications pratiques, mais très peu de compréhension.
Il constate: "si l’on part du principe que l’humanité est en route pour découvrir la nature et le sens de l’univers et de la réalité en général, quel est le chemin parcouru ? "
"Nous en sommes peut-être à 5%, ou peut-être seulement à 1%. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Prenons quelques exemples de ce que nous ne savons pas."
Toute notre civilisation repose sur l’électricité – mais nous ne savons pas ce qu’est l’électricité ni comment elle fonctionne réellement.
Nous ne savons pas ce qu’est la lumière.
Nous ne savons pas ce qu’est réellement la fréquence de la lumière.
Nous ne savons pas ce qu’est le magnétisme.
Nous ne savons pas pourquoi la Terre a un champ magnétique, ni pourquoi la Lune et Mars en ont un.
Nous ne savons pas comment les souvenirs sont stockés dans le cerveau.
Nous ne savons pas ce qu’est la conscience.
Nous ne savons pas comment les atomes sont structurés.
Nous ne savons pas ce qu’est la gravité.
Nous ne savons pas comment la vie a commencé.
Nous ne savons pas quelle est la taille de l’univers.
Nous ne savons pas pourquoi l’univers est structuré comme un système nerveux central.
Il constate que la science est comme une religion et les spécialistes en sont des prêtres. Le scientifique qui ne se conforme pas à leur consensus n'a pas d'avenir.
"Ils encouragent l’abolition de la curiosité en définissant tout ce qui échappe à leur contrôle comme des «sciences marginales» et des sujets indignes"
"La science fondamentale qui sous-tend tout cela est pour l’essentiel bloquée. Aujourd’hui, cette stagnation a commencé à retarder le progrès technologique, en particulier dans les pays occidentaux. Cela est évident pour quiconque a examiné la situation de près."
"Au lieu de se contenter d’inventer des théories et des concepts comme ersatz de la vraie connaissance, ils ont commencé à créer des sciences complètement fictives pour le compte d’entreprises et d’ingénieurs sociaux aux poches bien garnies".
Cela conduit à la fabrication de fausses théories pour l'élite politique au pouvoir:
"un modèle est une simulation dans laquelle sont insérées des variables qui peuvent être sélectionnées et «ajustées» (manipulées) à volonté. Les modèles de ce type sont rarement des simulations de la réalité – leur but est de créer une réalité alternative. Ce sont des faux, généralement achetés et payés dans un but précis."
"Il existe des domaines entiers qui dépendent presque exclusivement de la modélisation et qui sont presque entièrement coupés de la réalité. La «science du climat» est la plus évidente"
"Tout ce qui concerne la science moderne est une antithèse de la vraie science. La vraie science est aussi simple que possible et jamais inutilement complexe. Elle accepte les contributions et les critiques de n’importe qui, et pas seulement des initiés. Elle repose sur le génie individuel, jamais sur le consensus et la loi du plus grand nombre."
"La stagnation de la science et la mort de la magie" (c'est à dire du sens)
https://reseauinternational.net/la-stagnation-de-la-science-et-la-mort-de-la-magie/
L'auteur constate le goût actuel immodéré pour la magie et la fiction et l'attribue à la recherche d'un sens à la vie et d'une compréhension du monde. La science nous offre beaucoup de théories et d' applications pratiques, mais très peu de compréhension.
Il constate: "si l’on part du principe que l’humanité est en route pour découvrir la nature et le sens de l’univers et de la réalité en général, quel est le chemin parcouru ? "
"Nous en sommes peut-être à 5%, ou peut-être seulement à 1%. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Prenons quelques exemples de ce que nous ne savons pas."
Toute notre civilisation repose sur l’électricité – mais nous ne savons pas ce qu’est l’électricité ni comment elle fonctionne réellement.
Nous ne savons pas ce qu’est la lumière.
Nous ne savons pas ce qu’est réellement la fréquence de la lumière.
Nous ne savons pas ce qu’est le magnétisme.
Nous ne savons pas pourquoi la Terre a un champ magnétique, ni pourquoi la Lune et Mars en ont un.
Nous ne savons pas comment les souvenirs sont stockés dans le cerveau.
Nous ne savons pas ce qu’est la conscience.
Nous ne savons pas comment les atomes sont structurés.
Nous ne savons pas ce qu’est la gravité.
Nous ne savons pas comment la vie a commencé.
Nous ne savons pas quelle est la taille de l’univers.
Nous ne savons pas pourquoi l’univers est structuré comme un système nerveux central.
Il constate que la science est comme une religion et les spécialistes en sont des prêtres. Le scientifique qui ne se conforme pas à leur consensus n'a pas d'avenir.
"Ils encouragent l’abolition de la curiosité en définissant tout ce qui échappe à leur contrôle comme des «sciences marginales» et des sujets indignes"
"La science fondamentale qui sous-tend tout cela est pour l’essentiel bloquée. Aujourd’hui, cette stagnation a commencé à retarder le progrès technologique, en particulier dans les pays occidentaux. Cela est évident pour quiconque a examiné la situation de près."
"Au lieu de se contenter d’inventer des théories et des concepts comme ersatz de la vraie connaissance, ils ont commencé à créer des sciences complètement fictives pour le compte d’entreprises et d’ingénieurs sociaux aux poches bien garnies".
Cela conduit à la fabrication de fausses théories pour l'élite politique au pouvoir:
"un modèle est une simulation dans laquelle sont insérées des variables qui peuvent être sélectionnées et «ajustées» (manipulées) à volonté. Les modèles de ce type sont rarement des simulations de la réalité – leur but est de créer une réalité alternative. Ce sont des faux, généralement achetés et payés dans un but précis."
"Il existe des domaines entiers qui dépendent presque exclusivement de la modélisation et qui sont presque entièrement coupés de la réalité. La «science du climat» est la plus évidente"
"Tout ce qui concerne la science moderne est une antithèse de la vraie science. La vraie science est aussi simple que possible et jamais inutilement complexe. Elle accepte les contributions et les critiques de n’importe qui, et pas seulement des initiés. Elle repose sur le génie individuel, jamais sur le consensus et la loi du plus grand nombre."
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