Le mondialisme, mort de la civilisation
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Le mondialisme, mort de la civilisation
La civilisation postmoderne, occidentale ou atlantiste, est essentiellement anglo-américaine. Vieillissante et dégénérée, elle aboutit à sa propre perte.
Elle est dirigée en coulisse par une ploutocratie de gérontes (l’État profond ou Deep State) régnant par la corruption, le chantage et par la pression des médias sur une classe de politiciens divisés mais asservis qui ont oublié le peuple et leur mission démocratique de gouverner par la volonté du peuple et pour le peuple.
La sclérose intellectuel de cette civilisation est favorisée par l’obstination dogmatique d’autorités universitaires comparables à un clergé divisé en prêtres spécialistes jaloux de leur compétences restreintes à un seul domaine étroit de la science.
Une civilisation vivante est fondée sur l’unité d’une culture générale commune, définie par le CNRTL par un « Ensemble des connaissances de base dans les domaines intellectuels considérés comme importants par la société en place, qui précède la spécialisation et correspond à un niveau d'instruction secondaire. »
Mais la civilisation technologique postmoderne méprise les traditions et néglige la culture générale. elle méprise le passé et veut construire l’avenir sans base globale sur des simulations. Dans l’enseignement, la réflexion est supplantée par la nécessité de mémorisations et de pratiques spécifiques. La culture de masse est dirigée vers la consommation de biens matériels et de connaissances prédéterminées par la publicité et la propagande médiatique. Toute alternative à la norme est ridiculisée ou condamnée comme pseudoscience, ou conspirationnisme.
La civilisation postmoderne est sclérosée. Fondée sur une science divisée en spécialisations technologiques, elle manque d’unité et de cohérence intellectuelle. Elle est une civilisation sans culture, une civilisation déjà morte.
Le projet de mondialisation sous les directives de la « Grande Réinitialisation » est conçu pour le seul profit et pouvoir d’une « élite » de quelques milliardaires. Il prévoit l’anéantissement des traditions et l’homogénéisation non seulement culturelle mais aussi génétique, instrumentalisée par l’immigration et par l’ingénierie génique appelée vaccination. La Grande Réinitialisation initiée par des technocrates financiers et scientistes doit aboutir à la réduction de la population soit par pandémies, soit par privations et famine, soit par luttes intestines ou guerre totale.
La mondialisation est fondée su une théorie fausse quoique reconnue scientifique : la théorie néodarwinienne selon laquelle l’évolution biologique serait due au hasard des mutations génétiques et à la sélection des meilleures. Cette fausse interprétation a été prise comme justification de la sélection darwinienne des plus forts et de l’élimination malthusienne des plus faibles.
Mais la nature ne peut pas avoir été créée ainsi. C’est statistiquement impossible. Elle évolue par adaptation entre une diversité indispensable des espèces. La possibilité de l’auto-organisation a été expliquée par la thermodynamique de Ilya Prigogine, mais est intentionnellement ignorée par la communauté scientifique.
L’humanité n’a pas progressé en suivant la volonté de quelque autocrate choisi par dieu ou comme accomplissement d’un empire monoculturel et unipolaire. Elle a évolué au contraire par auto-organisation, par la collaboration des peuples, par le partage des connaissance et par leur adaptation à des cultures et tradition différentes.
La mondialisation unipolaire signifie la mort par inertie entropique d’une civilisation.
L’avenir de l’humanité réside au contraire dans l’auto-organisation multipolaire. Il est déjà en réalisation en Asie, avec l’initiative chinoise des routes de la soie (Belt and Road Initiative, BRI) destinée à améliorer les communications par de nouvelles infrastructures ferroviaires , routières et maritimes sur la base d’accords équitables, gagnant-gagnant, entre partenaires souverains, en respectant toute tradition.
L’empire occidental atlantiste est déjà en échec en raison de sa logique traditionnelle de non-contradiction et du tiers exclu qui exige des solutions radicales, unipolaires, interdisant toute collaboration équitable et empêchant toute évolution par auto-organisation. Cette logique impériale ne peut conduire qu’à la guerre.
Elle est dirigée en coulisse par une ploutocratie de gérontes (l’État profond ou Deep State) régnant par la corruption, le chantage et par la pression des médias sur une classe de politiciens divisés mais asservis qui ont oublié le peuple et leur mission démocratique de gouverner par la volonté du peuple et pour le peuple.
La sclérose intellectuel de cette civilisation est favorisée par l’obstination dogmatique d’autorités universitaires comparables à un clergé divisé en prêtres spécialistes jaloux de leur compétences restreintes à un seul domaine étroit de la science.
Une civilisation vivante est fondée sur l’unité d’une culture générale commune, définie par le CNRTL par un « Ensemble des connaissances de base dans les domaines intellectuels considérés comme importants par la société en place, qui précède la spécialisation et correspond à un niveau d'instruction secondaire. »
Mais la civilisation technologique postmoderne méprise les traditions et néglige la culture générale. elle méprise le passé et veut construire l’avenir sans base globale sur des simulations. Dans l’enseignement, la réflexion est supplantée par la nécessité de mémorisations et de pratiques spécifiques. La culture de masse est dirigée vers la consommation de biens matériels et de connaissances prédéterminées par la publicité et la propagande médiatique. Toute alternative à la norme est ridiculisée ou condamnée comme pseudoscience, ou conspirationnisme.
La civilisation postmoderne est sclérosée. Fondée sur une science divisée en spécialisations technologiques, elle manque d’unité et de cohérence intellectuelle. Elle est une civilisation sans culture, une civilisation déjà morte.
Le projet de mondialisation sous les directives de la « Grande Réinitialisation » est conçu pour le seul profit et pouvoir d’une « élite » de quelques milliardaires. Il prévoit l’anéantissement des traditions et l’homogénéisation non seulement culturelle mais aussi génétique, instrumentalisée par l’immigration et par l’ingénierie génique appelée vaccination. La Grande Réinitialisation initiée par des technocrates financiers et scientistes doit aboutir à la réduction de la population soit par pandémies, soit par privations et famine, soit par luttes intestines ou guerre totale.
- Preuve par citations racistes et manichéennes:
« Je soutiens que nous sommes la plus belle race du monde et que plus nous sommes nombreux dans le monde, mieux c’est pour la race humaine. Imaginez simplement ces parties du monde qui sont pour le moment habitées par les spécimens les plus méprisables de l’espèce humaine : quel changement ce serait si on les plaçait sous l’influence anglo-saxonne, regardez encore les bras supplémentaires qu’un nouveau pays ajoute à nos dominions. Je soutiens que chaque acre ajouté à notre territoire implique dans l’avenir la naissance de plus de race anglaise qui autrement n’aurait jamais vu le jour. »
– Cecil Rhodes, Confession of Faith, 1888
« Dès que nous l’envisageons, nous en arrivons à la conclusion que la collectivité a le droit de mettre un prix sur le droit de vivre en son sein. […] Si les gens sont aptes à vivre, laissez-les vivre dans des conditions humaines décentes. S’ils sont inaptes à vivre, tuez-les d’une manière humainement décente. Faut-il s’étonner que certains d’entre nous soient poussés à prescrire la mise à mort comme solution aux cas difficiles dont on fait actuellement excuse pour tirer tous les autres cas à leur niveau, et la seule solution apte à créer un sentiment d’entière responsabilité sociale dans les populations modernes ? »
– George Bernard Shaw, Prefaces (London: Constable and Co., 1934), p. 296
Je crois que maintenant la sélection consciente du meilleur pour la reproduction est impossible et le restera toujours, et que la proposer est afficher une incompréhension fondamentale de ce que l’individualité implique. La voie de la nature a toujours été de tuer le plus faible, et il n’y a toujours pas d’autre manière, à moins que nous puissions empêcher ceux qui deviendraient les plus faibles de naître. C’est dans la stérilisation des échecs, et non dans la sélection des succès d’élevage, que réside la possibilité d’une amélioration du stock humain. »
– H.G. Wells dans American Journal of Sociology, Vol. 10 (1904), p. 11
« Nous pouvons peut-être supposer que, si les gens deviennent moins superstitieux, le gouvernement gagnera le droit de stériliser ceux qui ne sont pas considérés comme des parents souhaitables. Ce pouvoir sera d’abord utilisé pour diminuer l’imbécillité, un objectif des plus souhaitables. Mais probablement, avec le temps, l’opposition au gouvernement constituera la preuve de l’imbécillité, de sorte que les rebelles de toutes sortes seront stérilisés. Les épileptiques, les tuberculeux, les dipsomanes et ainsi de suite seront progressivement inclus ; à la fin, il y aura une tendance à inclure tous ceux qui échouent aux examens scolaires courants. Le résultat sera d’augmenter l’intelligence moyenne ; à long terme, elle pourrait être considérablement augmentée. Mais probablement l’effet sur les intelligences vraiment exceptionnelles sera néfaste.
– Bertrand Russell, ICARUS or the Future of Science (1924)
« L’esprit excentrique, sceptique, observateur, fulgurant et cavalier de Galton l’a amené à un moment donné à devenir le fondateur de la branche la plus importante, significative et, j’ajouterais, authentique de la sociologie qui existe, à savoir l’eugénisme. »
– John Maynard Keynes sur l’eugénisme de Galton, Eugenics Review, 1946
« L’unification politique dans une sorte de gouvernement mondial sera nécessaire […] même si […] toute politique eugéniste radicale sera pendant de nombreuses années politiquement et psychologiquement impossible, il sera important pour l’UNESCO de savoir que le problème eugénique est examiné avec le plus grand soin, et que l’esprit du public est informé des enjeux de sorte que beaucoup de choses qui sont aujourd’hui impensables peuvent au moins devenir pensables. »
– Sir Julian Huxley, L’UNESCO : ses buts et sa philosophie, 1946
« Je ne suis pas d’accord pour dire que le chien dans une mangeoire a un droit d’accès définitif à la mangeoire même s’il y est resté pendant très longtemps. Je n’accepte pas ce droit. Je n’accepte pas d’entendre, par exemple, qu’un grand tort ait été fait aux peaux-rouges d’Amérique ou aux Mélanésiens d’Australie. Je n’accepte pas d’entendre qu’un tort ait été causé à ces gens par le fait qu’une race plus forte, une race plus élevée, une race plus sage pour ainsi dire, ait pris leur place. »
– Winston Churchill à la Commission Peel, 1937
La mondialisation est fondée su une théorie fausse quoique reconnue scientifique : la théorie néodarwinienne selon laquelle l’évolution biologique serait due au hasard des mutations génétiques et à la sélection des meilleures. Cette fausse interprétation a été prise comme justification de la sélection darwinienne des plus forts et de l’élimination malthusienne des plus faibles.
Mais la nature ne peut pas avoir été créée ainsi. C’est statistiquement impossible. Elle évolue par adaptation entre une diversité indispensable des espèces. La possibilité de l’auto-organisation a été expliquée par la thermodynamique de Ilya Prigogine, mais est intentionnellement ignorée par la communauté scientifique.
L’humanité n’a pas progressé en suivant la volonté de quelque autocrate choisi par dieu ou comme accomplissement d’un empire monoculturel et unipolaire. Elle a évolué au contraire par auto-organisation, par la collaboration des peuples, par le partage des connaissance et par leur adaptation à des cultures et tradition différentes.
La mondialisation unipolaire signifie la mort par inertie entropique d’une civilisation.
L’avenir de l’humanité réside au contraire dans l’auto-organisation multipolaire. Il est déjà en réalisation en Asie, avec l’initiative chinoise des routes de la soie (Belt and Road Initiative, BRI) destinée à améliorer les communications par de nouvelles infrastructures ferroviaires , routières et maritimes sur la base d’accords équitables, gagnant-gagnant, entre partenaires souverains, en respectant toute tradition.
L’empire occidental atlantiste est déjà en échec en raison de sa logique traditionnelle de non-contradiction et du tiers exclu qui exige des solutions radicales, unipolaires, interdisant toute collaboration équitable et empêchant toute évolution par auto-organisation. Cette logique impériale ne peut conduire qu’à la guerre.
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