Douter c’est le recours au bon sens
Page 1 sur 1
15102023
Douter c’est le recours au bon sens
Nous nous retrouvons aujourd'hui comme à l’époque de Descartes dans une crise de civilisation, au point de bifurcation vers un nouveau paradigme. Avant de proposer des nouveaux repères, il est prudent de revenir à la méthode de Descartes, d’agir sans précipitation et sans présupposés, suivant son premier principe de philosophie « de mettre toutes choses en doute autant qu’il se peut. »
Descartes représente le passage du paradigme théologique au paradigme scientifique. Son doute concernait le dogmatisme ecclésiastique.
« Si on commence avec des certitudes, on finit avec des doutes. Si on commence avec des doutes, on finit avec des certitudes. » a déclaré Francis Bacon, père de l’empirisme scientifique. Mais les certitudes scientifiques ont fini par soulever de nouveaux doutes. Aujourd’hui, le doute concerne aussi bien le dogmatisme scientiste que le dogmatisme théologique. Le doute concerne toujours des dogmatismes fondés sur la croyance à des vérités absolues sans alternatives.
La spécificité de la civilisation occidentale héritière de l’empire romain d’Occident est son intransigeance, un mode de pensée dualiste vrai/faux qui est formulé dans les principes de non-contradiction et du tiers exclu. Aristote a conçu cette logique pour préciser la connaissance empirique, celle des sensations qu’il considérait comme sources de toute connaissance.
Thomas d’Aquin a étendu abusivement cette logique à la théologie, à la philosophie et donc à toute forme de connaissance. La généralisation du principe de non-contradiction est une trahison de la pensée d’Aristote et son dualisme vrai/faux est une trahison par la scolastique du christianisme originel qui est trinitaire par analogie à la trilogie néoplatonicienne.
La logique aristotélicienne est certes légitime en science empirique dans la collecte et le traitement de données. Elle est le fondement de la méthode analytique et de l’expérimentation en milieu fermé. Les conditions simplificatrices de la méthode expérimentale, le réductionnisme, le matérialisme et le déterminisme mathématique, corrélatifs de la logique empiriste, sont devenues les présupposés du paradigme scientifique moderne. Ces fondements épistémologiques de la méthode scientifique sont insuffisants, ils conduisent à des théories physiques contestables et sont incapables d’expliquer l’unité individuelle des êtres vivants, ni leur organisation et leur évolution et quand ces méthodes leur sont appliquées, les résultats peuvent être funestes.
La pensée occidentale dont le bon sens et la raison sont altérés par la logique empiriste, produit l’illusion de vérités absolues dont s’emparent des idéologies sectaires. Cette logique de division a dissocié la société en individus, les droits de l’homme passent avant l’intérêt collectif et l’éthique traditionnelle est méprisée. Le dualisme du bit informatique a été multiplié jusqu’au monstre sans âme de l’intelligence artificielle censée surpasser la raison humaine.
Pire encore, les élites anglo-saxonnes fondent leur empire sur le dualisme radicalisé de la logique hobbesienne du jeu où les gains de l’un sont équivalents aux pertes des autres, ce qui n’autorise que victoire ou défaite, excluant toute alternative, tout accord équitable. Leur géopolitique subversive fondée sur les idéologies darwinistes, malthusiennes et marxistes, pratique le colonialisme raciste, le génocide et fomente des guerre perpétuelles pour créer le Nouvel Ordre Mondial selon le modèle d’Aldous Huxley du « Brave New World » : l’idéal d’un monde de clones transhumains homogènes et dépossédés au service d’une élite minimale de possédants. Le projet est mis en pratique par Klaus Schwab du FEM de Davos selon son traité de « La grande réinitialisation ».
La science confisquée par les anglo-saxons a perdu sa liberté, elle est censurée par les peer reviews des journaux scientifiques américains incontournables. Elle est devenue doctrinaire et, dépendant du financement par les corporations multinationale, elle est devenue politique. Pour manipuler la population, elle produit sur commande des théories sorties des simulations informatiques sur la base de présupposés fabriqués telles que la théories du réchauffement et celle de la pandémie du virus Covid-19 ou encore la théorie du genre et le transhumanisme.
La science n’est plus crédible, elle a perdu la raison et le bon sens. Il faut douter des théories mathématiques et des simulations informatiques qui ne sont même plus fondées sur l’observation. Il faut même se méfier de la médecine.
Il est frappant de constater que ce sont les gens simples, sans éducation secondaire qui ont gardé le bon sens, qui se sont méfiés de l’hystérie médiatique et qui ont refusé la vaccination, alors que les intellectuels d’éducation supérieure y compris les médecins sont majoritairement tombés dans ce piège d’une vaste expérimentation génétique à risques élevés.
L’éducation moderne a fait perdre le bon sens et la raison; la pensée postmoderne a sombré dans la psychopathie. Le doute de Descartes est une fois de plus une nécessité et la résistance un devoir à notre époque de démence postmoderne.
La grande réinitialisation doit être le retour du bon sens, le renouvellement de la Tradition universelle, celle de la grande triade commune aux sagesses orientales et aux platoniciens. L’intérêt collectif doit être prioritaire selon l’éthique confucéenne et la science doit être guidée par la philosophie holiste sous la forme moderne de la méthode systémique.
***
Descartes représente le passage du paradigme théologique au paradigme scientifique. Son doute concernait le dogmatisme ecclésiastique.
« Si on commence avec des certitudes, on finit avec des doutes. Si on commence avec des doutes, on finit avec des certitudes. » a déclaré Francis Bacon, père de l’empirisme scientifique. Mais les certitudes scientifiques ont fini par soulever de nouveaux doutes. Aujourd’hui, le doute concerne aussi bien le dogmatisme scientiste que le dogmatisme théologique. Le doute concerne toujours des dogmatismes fondés sur la croyance à des vérités absolues sans alternatives.
La spécificité de la civilisation occidentale héritière de l’empire romain d’Occident est son intransigeance, un mode de pensée dualiste vrai/faux qui est formulé dans les principes de non-contradiction et du tiers exclu. Aristote a conçu cette logique pour préciser la connaissance empirique, celle des sensations qu’il considérait comme sources de toute connaissance.
Thomas d’Aquin a étendu abusivement cette logique à la théologie, à la philosophie et donc à toute forme de connaissance. La généralisation du principe de non-contradiction est une trahison de la pensée d’Aristote et son dualisme vrai/faux est une trahison par la scolastique du christianisme originel qui est trinitaire par analogie à la trilogie néoplatonicienne.
La logique aristotélicienne est certes légitime en science empirique dans la collecte et le traitement de données. Elle est le fondement de la méthode analytique et de l’expérimentation en milieu fermé. Les conditions simplificatrices de la méthode expérimentale, le réductionnisme, le matérialisme et le déterminisme mathématique, corrélatifs de la logique empiriste, sont devenues les présupposés du paradigme scientifique moderne. Ces fondements épistémologiques de la méthode scientifique sont insuffisants, ils conduisent à des théories physiques contestables et sont incapables d’expliquer l’unité individuelle des êtres vivants, ni leur organisation et leur évolution et quand ces méthodes leur sont appliquées, les résultats peuvent être funestes.
La pensée occidentale dont le bon sens et la raison sont altérés par la logique empiriste, produit l’illusion de vérités absolues dont s’emparent des idéologies sectaires. Cette logique de division a dissocié la société en individus, les droits de l’homme passent avant l’intérêt collectif et l’éthique traditionnelle est méprisée. Le dualisme du bit informatique a été multiplié jusqu’au monstre sans âme de l’intelligence artificielle censée surpasser la raison humaine.
Pire encore, les élites anglo-saxonnes fondent leur empire sur le dualisme radicalisé de la logique hobbesienne du jeu où les gains de l’un sont équivalents aux pertes des autres, ce qui n’autorise que victoire ou défaite, excluant toute alternative, tout accord équitable. Leur géopolitique subversive fondée sur les idéologies darwinistes, malthusiennes et marxistes, pratique le colonialisme raciste, le génocide et fomente des guerre perpétuelles pour créer le Nouvel Ordre Mondial selon le modèle d’Aldous Huxley du « Brave New World » : l’idéal d’un monde de clones transhumains homogènes et dépossédés au service d’une élite minimale de possédants. Le projet est mis en pratique par Klaus Schwab du FEM de Davos selon son traité de « La grande réinitialisation ».
La science confisquée par les anglo-saxons a perdu sa liberté, elle est censurée par les peer reviews des journaux scientifiques américains incontournables. Elle est devenue doctrinaire et, dépendant du financement par les corporations multinationale, elle est devenue politique. Pour manipuler la population, elle produit sur commande des théories sorties des simulations informatiques sur la base de présupposés fabriqués telles que la théories du réchauffement et celle de la pandémie du virus Covid-19 ou encore la théorie du genre et le transhumanisme.
La science n’est plus crédible, elle a perdu la raison et le bon sens. Il faut douter des théories mathématiques et des simulations informatiques qui ne sont même plus fondées sur l’observation. Il faut même se méfier de la médecine.
Il est frappant de constater que ce sont les gens simples, sans éducation secondaire qui ont gardé le bon sens, qui se sont méfiés de l’hystérie médiatique et qui ont refusé la vaccination, alors que les intellectuels d’éducation supérieure y compris les médecins sont majoritairement tombés dans ce piège d’une vaste expérimentation génétique à risques élevés.
L’éducation moderne a fait perdre le bon sens et la raison; la pensée postmoderne a sombré dans la psychopathie. Le doute de Descartes est une fois de plus une nécessité et la résistance un devoir à notre époque de démence postmoderne.
***
La grande réinitialisation doit être le retour du bon sens, le renouvellement de la Tradition universelle, celle de la grande triade commune aux sagesses orientales et aux platoniciens. L’intérêt collectif doit être prioritaire selon l’éthique confucéenne et la science doit être guidée par la philosophie holiste sous la forme moderne de la méthode systémique.
Sujets similaires
» Le bon sens multipolaire contre le non-sens unipolaire
» Les sens, le Sens et le bon sens
» Le sens de l'art
» Après l'Occident discrédité, le retour au bon sens oriental
» Le sens symbolique du zéro et du crâne
» Les sens, le Sens et le bon sens
» Le sens de l'art
» Après l'Occident discrédité, le retour au bon sens oriental
» Le sens symbolique du zéro et du crâne
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum