Quel sera le prochain paradigme ?
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10122023
Quel sera le prochain paradigme ?
Le conflit civilisationnel millénaire entre l’Occident d’héritage latin, catholique et aristotélicien et la Russie de tradition slave orthodoxe et platonicienne atteint le paroxysme d’une troisième guerre mondiale. La pensée rigide hobbesienne de l’Occident athée refuse ou bafoue les accords de sécurité proposés par l’Eurasie et veut conquérir par le mensonge le monde entier. Quand la victoire du bon sens universel libérera les idées créatives gelées par la censure, un paradigme transdisciplinaire fondé sue la complémentarité et le tiers inclus ouvrira une ère culturelle conciliant la Science avec la Tradition.
« Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas » aurait dit Malraux. Qu’aurait-il dit aujourd’hui ?
Une guerre de tranchées qualifiée de hachoir à viande en Ukraine et un génocide en "Terre Sainte" ouvertement perpétré au vu et au su du tous et dans l’indifférence des grands de ce monde semblent laisser peu d’espoir à l’humanité.
Pourtant le conflit mondial est mené seulement par une petite élite financière et scientiste occidentale contre les puissances russe et chinoise d’Eurasie qui les empêchent d’obtenir le contrôle total de la planète.
Les scientistes anglo-saxons athées croient que le monde est mathématique et que le pouvoir surhumain de l’intelligence artificielle conduira au transhumanisme. Ils réalisent leurs objectifs de dépopulation malthusienne avec le consentement des écologistes grâce aux nouvelles technologies génétiques et informatiques et au financement du cartel bancaire issu du soi disant "peuple élu" qui attend son messie après l’armageddon déjà préparé.
Les élites du monde occidental, atlantiste sont folles.
Dans le camp opposé, les puissances eurasiennes russes et chinoise, ayant toutes deux passé par la démence du marxisme importé d'Occident, reviennent à leurs traditions ancestrales et entendent défendre toute tradition et souveraineté nationale contre le totalitarisme mondialiste.
L’Eurasie défend le Bon Sens de la Tradition.
Qu’est-ce que la Tradition ?
« Ce que nous entendons par tradition c'est essentiellement ce qui est permanent et stable à travers les lieux, les cultures et les religions. Il existe une science primordiale liée aux propriétés du vivant et à la "sagesse" de la nature, qui est le fondement de toutes connaissances. Chaque fois que cette tradition est altérée ou perdue, elle réapparaît sous différentes formes dans l'histoire des civilisations et de l'humanité. » (Michel Random, La Tradition et le vivant)
Qu’est-ce que le Bon Sens ?
« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée, … la puissance de bien juger et distinguer le vrai d’avec le faux, qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses ». (René Descartes, Discours de la méthode)
La "puissance de bien juger" comprend les trois facultés de la connaissance innées :
- La sensation distingue et identifie les faits par la non-contradiction et tiers exclu ;
- la raison comprend les relations par la complémentarité des contraires et le tiers inclus ;
- l’intuition imagine l’organisation globale par la synthèse ou "coïncidence des opposés.
Ces facultés sont communes à tous les hommes de toutes les cultures.
Les traditions particulières sont des expressions différentes de la même « science primordiale liée aux propriétés du vivant et à la "sagesse" de la nature, qui est le fondement de toutes connaissances. » . Chacune est construite sur des événements de son histoire ancestrale devenus légendes ou mythes.
Les religions des grandes civilisations sont des phénomènes sociaux. Leurs doctrines tentent de donner des réponses aux questions de l’origine et du destin des hommes et d’organiser leurs relations par des règles morales.
La spiritualité est la relation personnelle avec l'Origine et Unité transcendante de la Nature. Elle ne dépend pas des religions et elle est à la portée de tous les hommes. Les grandes expériences spirituelles sont spontanées indépendantes des doctrines et des pratiques.
Les conceptions du monde, les traditions et les doctrines changent avec le temps.
Ce qui ne change pas, ce sont les principes ou conditions de la vie. Ils sont symbolisés dans le taoïsme par Yin, Yang et Qi, désignés par Platon par la terre, le soleil et leurs proportions (Timée 31b-32a) et définis par Aristote par les causes matérielle, efficiente et formelle, leur unité vitale étant la cause finale.
Comme principes physico-chimiques, ce sont les conditions de l’auto-organisation des "structures dissipatives" ds Prigogine : les systèmes matériels complexes, l’apport d’énergie et les informations subtiles de l’environnement.
Comme principes cognitifs ils correspondent à la sensation, à la raison et à l’intuition.
Qu’est-ce que le paradigme ?
Paradigme signifie modèle, exemple.
Dans les sciences humaines et sociales, c’est une représentation cohérente du monde.
En philosophie des sciences un paradigme est un ensemble cohérent de postulats et de lois qui fait l’objet d’un consensus de spécialistes.
Selon Thomas Samuel Kuhn, un paradigme peut changer à la suite de nouvelles découvertes qui remettent en cause sa cohérence.
Il existe des paradigmes explicites, scientifiques, définis par des postulats et des lois comme celui de la mécanique céleste de Newton ou la cosmologie d’expansion de l’univers.
Mais il y a en même temps des paradigmes implicites, sous-jacents au paradigme scientifique ; ce sont des croyances traditionnelles considérées comme tellement évidentes qu’ elles ne sont jamais mentionnées ; par exemple la croyance que le monde a un commencement, qu’il a été créé, comme cela est écrit dans la Genèse biblique. Cette croyance a conduit à la théorie du big bang. (lire le sujet: erreurs, impostures et mensonges scientifiques)
Pour Parménide, le monde était existence physique, pour Héraclite transformation permanente et pour Pythagore proportions de nombres ou formes. Platon a fait une synthèse des trois dans Timée.
Mais Aristote a repris de Parménide le principe d’existence, l’ontologie, et la science occidentale héritière de l’empire romain d’Occident et du thomisme a développé l’ontologie au niveau des sciences physiques.
L’empire romain d’Orient, de tradition grecque est resté attaché à la trinité chrétienne d’inspiration néoplatonicienne, symbolisant l’Un, de l’Intellect et des âmes manifestées.
L’importance attribuée à la réalité et aux valeurs matérielles est spécifique de la tradition d’Europe occidentale. L’Inde décrit le monde par ses phénomènes impermanents perceptibles par les sens: Maya qui dissimule par ses illusions la réalité du monde non manifesté. La Chine représente le monde comme une évolution cyclique entre le Yin et le Yang dont les rapports changeants produisent l’« énergie vitale Qi et le Tibet bouddhiste proche du chamanisme considère le monde comme une construction psychique, une "coproduction conditionnée".
Quel sera le prochain paradigme mondial ?
Cela dépend de l’issue du conflit civilisationnel mondial en cours.
La monopolarité occidentale avec sa technologie mathématique et eugéniste ne peut conduire qu’au nihilisme et à l’anéantissement. Elle ne peut pas être envisagée comme nouveau paradigme.
L’avènement de la multipolarité et la reconnaissance des souverainetés et des traditions nationales peut conduire à un consensus social et culturel centré sur ce qui est universel, commun à toutes les cultures : la triade des principes premiers et la triade des niveaux de la connaissance. La grande diversité d’expression de ces principes pourrait conduire à une nouvelle Renaissance.
Quel serait le paradigme scientifique ?
Une révolution paradigmatique est nécessaire aussi en science. Le nouveau paradigme est déjà en préparation par des chercheurs indépendants et dissidents, mais il doit passer les trois épreuves d’Arthur Schopenhauer : « Toute vérité franchit trois étapes. - D'abord, elle est ridiculisée. - Ensuite, elle subit une forte opposition. - Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence. ».
Mes exploration des sciences dissidentes m’ont indiqué une tendance générale vers un paradigme électrique ou ondulatoire. C’est le cas en médecine, biologie et psychologie, mais aussi en cosmologie où l’équipe australienne du thunderbolt project rejette la relativité et le big bang et démontre que les forces cosmiques, celles du plasma, sont de nature électromagnétique.
D’autres chercheurs indépendants considèrent que l’électricité est de nature ondulatoire et que le cosmos, les structures et les mouvements résultent d’interférences d’ondes.
Des lauréats de prix Nobel ont ouvert la science au monde ondulatoire. En premier, Louis de Broglie a fait accepter la nature ondulatoire des particules en mécanique quantique.
Prigogine a admis dans « La fin des certitudes » que la corrélation des particules dans le processus d’auto-organisation des structures dissipatives est due finalement à leurs résonances mutuelles.
Enfin Luc Montagnier a démontré brillamment la la nature ondulatoire de l’ADN.
Le modèle d’un monde non pas matériel et inerte mais actif et vibratoire pourrait réconcilier la science avec les nombreuses expériences psychanalytiques ou paranormales et avec les pratiques chamaniques que la science et la religion ont toujours rejetés.
***
On pourrait rêver d’un monde et d'une humanité harmonieux, fondés sur des résonances harmoniques. Mais l’espace vibratoire de la mécanique ondulatoire est formé de résonances harmoniques et dysharmoniques comme les formes sont composées de traits continus et discontinus. Le mal accompagne le bien et les nouvelles connaissances ont toujours servi d’abord aux armements. Les technologies produisent des armes de plus en plus monstrueuses, au point qu'on peut craindre que seule une catastrophe planétaire pourrait mettre fin à la démence humaine.
***
« Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas » aurait dit Malraux. Qu’aurait-il dit aujourd’hui ?
Une guerre de tranchées qualifiée de hachoir à viande en Ukraine et un génocide en "Terre Sainte" ouvertement perpétré au vu et au su du tous et dans l’indifférence des grands de ce monde semblent laisser peu d’espoir à l’humanité.
Pourtant le conflit mondial est mené seulement par une petite élite financière et scientiste occidentale contre les puissances russe et chinoise d’Eurasie qui les empêchent d’obtenir le contrôle total de la planète.
Les scientistes anglo-saxons athées croient que le monde est mathématique et que le pouvoir surhumain de l’intelligence artificielle conduira au transhumanisme. Ils réalisent leurs objectifs de dépopulation malthusienne avec le consentement des écologistes grâce aux nouvelles technologies génétiques et informatiques et au financement du cartel bancaire issu du soi disant "peuple élu" qui attend son messie après l’armageddon déjà préparé.
Les élites du monde occidental, atlantiste sont folles.
Dans le camp opposé, les puissances eurasiennes russes et chinoise, ayant toutes deux passé par la démence du marxisme importé d'Occident, reviennent à leurs traditions ancestrales et entendent défendre toute tradition et souveraineté nationale contre le totalitarisme mondialiste.
L’Eurasie défend le Bon Sens de la Tradition.
Qu’est-ce que la Tradition ?
« Ce que nous entendons par tradition c'est essentiellement ce qui est permanent et stable à travers les lieux, les cultures et les religions. Il existe une science primordiale liée aux propriétés du vivant et à la "sagesse" de la nature, qui est le fondement de toutes connaissances. Chaque fois que cette tradition est altérée ou perdue, elle réapparaît sous différentes formes dans l'histoire des civilisations et de l'humanité. » (Michel Random, La Tradition et le vivant)
Qu’est-ce que le Bon Sens ?
« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée, … la puissance de bien juger et distinguer le vrai d’avec le faux, qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses ». (René Descartes, Discours de la méthode)
La "puissance de bien juger" comprend les trois facultés de la connaissance innées :
- La sensation distingue et identifie les faits par la non-contradiction et tiers exclu ;
- la raison comprend les relations par la complémentarité des contraires et le tiers inclus ;
- l’intuition imagine l’organisation globale par la synthèse ou "coïncidence des opposés.
Ces facultés sont communes à tous les hommes de toutes les cultures.
Les traditions particulières sont des expressions différentes de la même « science primordiale liée aux propriétés du vivant et à la "sagesse" de la nature, qui est le fondement de toutes connaissances. » . Chacune est construite sur des événements de son histoire ancestrale devenus légendes ou mythes.
Les religions des grandes civilisations sont des phénomènes sociaux. Leurs doctrines tentent de donner des réponses aux questions de l’origine et du destin des hommes et d’organiser leurs relations par des règles morales.
La spiritualité est la relation personnelle avec l'Origine et Unité transcendante de la Nature. Elle ne dépend pas des religions et elle est à la portée de tous les hommes. Les grandes expériences spirituelles sont spontanées indépendantes des doctrines et des pratiques.
Les conceptions du monde, les traditions et les doctrines changent avec le temps.
Ce qui ne change pas, ce sont les principes ou conditions de la vie. Ils sont symbolisés dans le taoïsme par Yin, Yang et Qi, désignés par Platon par la terre, le soleil et leurs proportions (Timée 31b-32a) et définis par Aristote par les causes matérielle, efficiente et formelle, leur unité vitale étant la cause finale.
Comme principes physico-chimiques, ce sont les conditions de l’auto-organisation des "structures dissipatives" ds Prigogine : les systèmes matériels complexes, l’apport d’énergie et les informations subtiles de l’environnement.
Comme principes cognitifs ils correspondent à la sensation, à la raison et à l’intuition.
Qu’est-ce que le paradigme ?
Paradigme signifie modèle, exemple.
Dans les sciences humaines et sociales, c’est une représentation cohérente du monde.
En philosophie des sciences un paradigme est un ensemble cohérent de postulats et de lois qui fait l’objet d’un consensus de spécialistes.
Selon Thomas Samuel Kuhn, un paradigme peut changer à la suite de nouvelles découvertes qui remettent en cause sa cohérence.
Il existe des paradigmes explicites, scientifiques, définis par des postulats et des lois comme celui de la mécanique céleste de Newton ou la cosmologie d’expansion de l’univers.
Mais il y a en même temps des paradigmes implicites, sous-jacents au paradigme scientifique ; ce sont des croyances traditionnelles considérées comme tellement évidentes qu’ elles ne sont jamais mentionnées ; par exemple la croyance que le monde a un commencement, qu’il a été créé, comme cela est écrit dans la Genèse biblique. Cette croyance a conduit à la théorie du big bang. (lire le sujet: erreurs, impostures et mensonges scientifiques)
Pour Parménide, le monde était existence physique, pour Héraclite transformation permanente et pour Pythagore proportions de nombres ou formes. Platon a fait une synthèse des trois dans Timée.
Mais Aristote a repris de Parménide le principe d’existence, l’ontologie, et la science occidentale héritière de l’empire romain d’Occident et du thomisme a développé l’ontologie au niveau des sciences physiques.
L’empire romain d’Orient, de tradition grecque est resté attaché à la trinité chrétienne d’inspiration néoplatonicienne, symbolisant l’Un, de l’Intellect et des âmes manifestées.
L’importance attribuée à la réalité et aux valeurs matérielles est spécifique de la tradition d’Europe occidentale. L’Inde décrit le monde par ses phénomènes impermanents perceptibles par les sens: Maya qui dissimule par ses illusions la réalité du monde non manifesté. La Chine représente le monde comme une évolution cyclique entre le Yin et le Yang dont les rapports changeants produisent l’« énergie vitale Qi et le Tibet bouddhiste proche du chamanisme considère le monde comme une construction psychique, une "coproduction conditionnée".
Quel sera le prochain paradigme mondial ?
Cela dépend de l’issue du conflit civilisationnel mondial en cours.
La monopolarité occidentale avec sa technologie mathématique et eugéniste ne peut conduire qu’au nihilisme et à l’anéantissement. Elle ne peut pas être envisagée comme nouveau paradigme.
L’avènement de la multipolarité et la reconnaissance des souverainetés et des traditions nationales peut conduire à un consensus social et culturel centré sur ce qui est universel, commun à toutes les cultures : la triade des principes premiers et la triade des niveaux de la connaissance. La grande diversité d’expression de ces principes pourrait conduire à une nouvelle Renaissance.
Quel serait le paradigme scientifique ?
Une révolution paradigmatique est nécessaire aussi en science. Le nouveau paradigme est déjà en préparation par des chercheurs indépendants et dissidents, mais il doit passer les trois épreuves d’Arthur Schopenhauer : « Toute vérité franchit trois étapes. - D'abord, elle est ridiculisée. - Ensuite, elle subit une forte opposition. - Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence. ».
Mes exploration des sciences dissidentes m’ont indiqué une tendance générale vers un paradigme électrique ou ondulatoire. C’est le cas en médecine, biologie et psychologie, mais aussi en cosmologie où l’équipe australienne du thunderbolt project rejette la relativité et le big bang et démontre que les forces cosmiques, celles du plasma, sont de nature électromagnétique.
D’autres chercheurs indépendants considèrent que l’électricité est de nature ondulatoire et que le cosmos, les structures et les mouvements résultent d’interférences d’ondes.
Des lauréats de prix Nobel ont ouvert la science au monde ondulatoire. En premier, Louis de Broglie a fait accepter la nature ondulatoire des particules en mécanique quantique.
Prigogine a admis dans « La fin des certitudes » que la corrélation des particules dans le processus d’auto-organisation des structures dissipatives est due finalement à leurs résonances mutuelles.
Enfin Luc Montagnier a démontré brillamment la la nature ondulatoire de l’ADN.
Le modèle d’un monde non pas matériel et inerte mais actif et vibratoire pourrait réconcilier la science avec les nombreuses expériences psychanalytiques ou paranormales et avec les pratiques chamaniques que la science et la religion ont toujours rejetés.
***
On pourrait rêver d’un monde et d'une humanité harmonieux, fondés sur des résonances harmoniques. Mais l’espace vibratoire de la mécanique ondulatoire est formé de résonances harmoniques et dysharmoniques comme les formes sont composées de traits continus et discontinus. Le mal accompagne le bien et les nouvelles connaissances ont toujours servi d’abord aux armements. Les technologies produisent des armes de plus en plus monstrueuses, au point qu'on peut craindre que seule une catastrophe planétaire pourrait mettre fin à la démence humaine.
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